Les Citations

Invité

"Dans le cœur de notre corps reposent la sérénité, l’harmonie, le bonheur,

tout comme la profondeur et la légèreté de l’être.

Entrer dans le cœur de notre corps

c’est vivre le pèlerinage intérieur

de la surface à la profondeur,

du paraître à l’être,

de l’ego à l’âme,

du « moi » au « soi ». "

Marie Lyse Labonté

Nombre de messages : 9072 Date d'inscription : 22/03/2008

4 bougies se consument tout doucement. Si tu es très attentif, tu peux les entendre parler..

La 1ère dit:

"JE SUIS LA PAIX". Personne n'arrive à conserver ma lumière, je crois que je vais m'éteindre"

(Sa flamme devient de plus en plus petite et finit par s'éteindre)

La 2 ème dit:

"JE SUIS LA CONFIANCE". Je suis la plus fragile et je m'éteins rapidement ."

(Une petite bise passa et l'éteignit)

La 3ème dit:

"JE SUIS L'AMOUR"Je n'ai plus de force, les hommes me mettent de côté et ne comprennent pas mon importance. Ils oublient même d'aimer leurs proches"

( et elle s'éteignit)

Un enfant arriva et vit que 3 bougies étaient éteintes. Oh! pourquoi ne brûlez-vous plus? L'enfant devint tout triste.

La 4ème bougie répondit:

"N'aies pas peur, tant que je brûle, on pourra rallumer les autres bougies. JE SUIS L'ESPOIR"

Que la flamme de L'ESPOIR soit toujours en nous! Ainsi, nous garderons LA PAIX, LA CONFIANCE, L'AMOUR POUR TOUS LES TEMPS..........

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Admin Nombre de messages : 15295 Date d'inscription : 22/03/2008

Les Fleurs Du Mal

Charle Baudelaire

Au Lecteur

La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.

Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ;
Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux,
Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches.

Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.

C'est le Diable qui tient les fils qui nous remuent !
Aux objets répugnants nous trouvons des appas ;
Chaque jour vers l'Enfer nous descendons d'un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.

Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange
Le sein martyrisé d'une antique catin,
Nous volons au passage un plaisir clandestin
Que nous pressons bien fort comme une vieille orange.

Serré, fourmillant, comme un million d'helminthes,
Dans nos cerveaux ribote un peuple de Démons,
Et, quand nous respirons, la Mort dans nos poumons
Descend, fleuve invisible, avec de sourdes plaintes.

Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie,
N'ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins
Le canevas banal de nos piteux destins,
C'est que notre âme, hélas ! n'est pas assez hardie.

Mais parmi les chacals, les panthères, les lices,
Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents,
Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants,
Dans la ménagerie infâme de nos vices,

Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !
Quoiqu'il ne pousse ni grands gestes ni grands cris,
Il ferait volontiers de la terre un débris
Et dans un bâillement avalerait le monde ;

C'est l'Ennui ! - l'œil chargé d'un pleur involontaire,
Il rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !

Nombre de messages : 9072 Date d'inscription : 22/03/2008

NUIT DE NOEL

L'air est glacé, mais la nuit est sereine,
Les astres clairs nagent en un ciel pur ;
J'entends gémir les eaux de la fontaine ;
Le firmament étale son azur.

L'airain battu d'un coup triste et sonore
Seul a troublé le repos de la nuit.
Il est une heure, et moi je veille encore ;
Je veille seul, et le repos me fuit.

Oh ! que de fois le silence nocturne
Prêta son calme à mes songes divers !
Oh ! que de fois ma lampe taciturne
M'a vu rêver, lire, tracer des vers !

Nuit de Noël, derniers jours de l'année,
Oh que de jeux, de paix et de plaisirs
Vous rappelez à mon âme fanée !
Et tout a fui sous de nouveaux désirs !

Comme d'un rêve aussi doux que rapide,
Il me souvient de ce bonheur passé.
Bonheur d'enfance, imprévoyant, avide,
Que la raison a si vite effacé...

Il me souvient de ces cadeaux magiques
À mon réveil offerts dès le matin,
Et du foyer, et des plombs fantastiques,
Dont les contours présageaient le destin.

Me disaient-ils que je serais poète,
Victime, hélas ! des désirs de mon coeur ?
Que le chagrin ferait courber ma tête,
Et que jamais je n'en serais vainqueur ?...

*

Déjà la cloche a répété quatre heures ;
Je veille encor, je veille pour chanter.
Un bruit soudain ébranle nos demeures ;
Quelle douceur je trouve à l'écouter !

Quels sons divins, quelle auguste harmonie
L'airain du temple exhale dans les airs !
Comme l'espoir, mon âme rajeunie
Entend vibrer les célestes concerts.

Nuit de Noël, nuit de paix et de joie,
C'est dans ton sein qu'un Sauveur nous est né.
Le coeur soumis qui marche dans ta voie,
Humble et joyeux, n'est pas abandonné.

Ô mon Sauveur, viens éclairer ma route !
Viens me couvrir des ailes de la foi !
Ouvre mon âme et dissipe mon doute ;
Viens, je t'attends et je me livre à toi.

Jacques-Imbert GALLOIX (1808-1828)

Invité

C'EST NOEL TOUS LES JOURS
R
C'est Noël sur la terre chaque jour,
Car Noël, ô mon frère, c'est l'Amour.

1
C'est Noël chaque fois
qu'on essuie une larme
dans les yeux d'un enfant.
C'est Noël chaque fois
qu'on dépose les armes,
chaque fois qu'on s'entend.
C'est Noël chaque fois
qu'on arrête une guerre,
et qu'on ouvre ses mains.
C'est Noël chaque fois
qu'on force la misère
à reculer plus loin.

2

C'est Noël quand nos cœurs,
oubliant les offenses,
sont vraiment fraternels.
C'est Noël quand enfin
se lève l'espérance
d'un amour plus réel.
C'est Noël quand soudain,
se taisent les mensonges
faisant place au bonheur
et qu'au fond de nos vies,
la souffrance qui ronge
trouve un peu de douceur.

3
C'est Noël dans les yeux
du pauvre qu'on visite
sur son lit d'hôpital.
C'est Noël dans le cœur
de tous ceux qu'on invite
pour un bonheur normal.
C'est Noël dans les mains
de celui qui partage
aujourd'hui notre pain.
C'est Noël quand le gueux
oublient tous les outrages
et ne sent plus la faim.

Admin Nombre de messages : 15295 Date d'inscription : 22/03/2008

Le sens de Noël

Les fêtes de Noël viennent nous rappeler,
Que le divin enfant en nos cœurs chaque année,
Tel doux Jésus nous est alors par Dieu livré,
Si l’on se fond dans son Amour pour l’en prier.

Alors peut renaître la douceur et la bonté,
Pour agir et aimer en grande sainteté,
Afin de s’allier dans la fraternité,
Par nos cœurs renaissant à la sérénité.

Le Christ en Jésus incarné fut sacrifié,
Pour réveiller en chacun la divine entité
Qu’est notre âme éternelle, à Dieu dévouée,
Lui permettant à distance de nous guider.

Ainsi chacun peut accepter de rallier
La sphère du Bien, par le chemin indiqué,
En donnant son Amour à tous sans mesurer
Pour ramener la paix en notre humanité.

Puisse chacun ainsi, en son cœur rassembler
L’Amour qui peut courage et foi amplifier,
Pour venir à la joie d’intensément aimer
Et révéler au mieux nos potentialités.

Nombre de messages : 9072 Date d'inscription : 22/03/2008

Tres joli tout cela.....

Noel!!! fête de l'espoir, de la renaissance, de la fraternité...

Si tous les hommes voulaient se donner la main...

Admin Nombre de messages : 15295 Date d'inscription : 22/03/2008

La main?....C'est un rêve Claudia...

santa

Certains donnent la main...d'autres te mettent un bon coup de pied au c*l.

ou parfois ils te donnent la main, mais la retirent vite.

Ils te donnent l'amour ou l'Amitié...comme si cela etait un Grand Cadeau.

Mais l'Amour, l'Amitié, la Charité ne sont pas des cadeaux...mais un Don de Dieu.

trop facile de donner et de reprendre.

Admin Nombre de messages : 15295 Date d'inscription : 22/03/2008

A lire jusqu'au bout

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Le monde continue à étaler sa violence barbare, à s’engluer dans les « affaires », à errer en quête de sens. La société semble pouvoir se passer allégrement de l’Église. Dieu semble bien silencieux, au milieu de tout ça !
Pourtant il est bien là! Mais il est vrai que pour ne pas s’imposer, il ne fait pas de bruit. Chacun est libre d’y être attentif ou pas…
L'an dernier, ainsi que je l’ai déjà évoqué antérieurement, le Seigneur a permis que certaines choses douloureuses surviennent, car il avait quelque chose a montrer par celles-ci, notamment à moi.
Le Seigneur veut être tout en tous!
Il veut être tout en moi ! Il doit passer avant toute personne qui retiendrait mon affection, ce qui n’est pas évident à vivre Il est vrai aussi que mon cœur, contenant sa dose d’amour-propre, a régulièrement besoin de leçons d’humilité. Lorsque je veux marcher par mes propres forces, c’est la chute assurée.
Ainsi, j’ai une fois de plus expérimenté que je ne peux rien faire par moi-même mais tout par Jésus. Mon amour et ma foi sont vains par eux-mêmes, et ont besoin d’être « validés » en recevant la bénédiction du Seigneur.

suite

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Au cours d’un "digne" procès à la Pilate, j'ai été jugée injustement, endossant le rôle du bouc émissaire. La virulence était telle que j'en étais arrivée à douter de moi au point de me croire réellement coupable.
Cette histoire m’a conduite au pied de la Croix, là où Marie veille. Elle m’a enseigné son « oui » d’amour, m’a encouragée au pardon et à la miséricorde, m’a appris à ne plus fixer les yeux que sur l’espérance de la Vie.
Aidée par un accompagnement spirituel qui m’a remis sur les rails, j’ai renoncé à convaincre, à démontrer, à comprendre.
Jusque là en effet, et sans doute autant, si pas davantage, par orgueil que par vertu, je continuais à vouloir porter ma souffrance. Mais j’ai fini par comprendre que c’était de l’énergie perdue, stérile, qui intoxiquait ma vie et m’empêchait d’aimer comme Jésus a besoin que j’aime. Alors, j’ai déposé tout cela au pied de la Croix, et légère, j’ai pu contempler le Christ…
Ses paroles retentissaient inlassablement en moi : " Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font " (Luc 23,34) .

suite

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Du tréfonds de mon âme est venue cette prière : « Merci Seigneur, de m’avoir permis de participer un peu à ton calvaire et de m’avoir amenée jusque ta Croix, car c’est là que tu manifestes ton amour sans limite, en me pardonnant, ainsi qu’à toute l’humanité.

Dans ton agonie et ta passion, en portant ta croix, tu as pris toutes mes peurs, mes angoisses, mes souffrances, mes douleurs, mes péchés. Tout cela t'appartient, et je le dépose au pied de ta croix. Donne-moi la grâce de ne pas les reprendre. Merci, Seigneur, je ne les ai plus, j'en suis libérée. Fais que je n'en parle plus. Amen ! »

Il a fallu travailler pour parvenir à pardonner aux personnes qui m'ont blessée. Priant Dieu de les bénir, je lui ai également demandé pardon de l’avoir aussi blessé par mes manques de foi, d'espérance et d'amour, mes désirs de vengeance, mes difficultés de pardon, ma suffisance…

suite

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« Rendre le bien pour le mal » n’était pas possible par des gestes concrets auprès de ceux pour qui le débat était clos et qui refusaient tout dialogue.

Puisque rien ne m’y empêchait, je me suis bornée à souhaiter de bonnes choses pour eux.

Tout en reconnaissant les dégâts et les erreurs commises,

La paix et la joie ont repris du terrain, la vie a continué…

Épisodiquement, il m’arrivait encore des relents d’amertume, que j’évacuais heureusement assez vite.

La zone restée douloureuse était due au fait que mon pardon, par manque de réciprocité, ne devenait pas réconciliation.

Inlassablement, je priais, j’offrais, je demandais.
J'aimais ...Ce bien que je ne pouvais rendre aux intéressés m’a servi à redoubler d’attention pour semer de l’amour là où il m’était accordé de le faire.

Loin de moi l’idée de jubiler, car c’est aussi le constat d’une pauvreté humaine et d’ une lourde et grave problématique qui dépasse largement ma petite personne.[/i]

[i]Depuis le début de la semaine, je pensais surtout à quelqu’un de qui les réactions m’avaient particulièrement meurtrie.

Dieu serait-il silencieux ? En réalité, il faut apprendre à percevoir son agir au cœur de notre monde comme au cœur de chacune de nos vies.

Dieu ne fait pas de bruit et pourtant il n’y a pas un instant qu’il ne soit à l’œuvre.

Tout vient à point à qui sait attendre...

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Le temps nous file entre les doigts
Les semaines, les mois, les années passent a la vitesse de l'éclair
Un jour nous nous retrouvons au seuil de la vieillesse
Puis soudain, nous arrivons au bout de notre route

Aurai-je eu le temps de dire a l'etre merveilleux qui a partagé ma vie
combien je l'aime, et le remercier pour tout le bonheur qu'il m'a apporté,
pour la famille qu'il m'a donnée, pour tous ces merveilleux souvenirs que
nous nous sommes construits jour apres jour, pour avoir su partager
mes peines comme mes joies tout au long de notre vie ensemble?

Aurai-je le temps de dire a mes enfants qu'ils sont le plus beau cadeau
que la vie m'ait donné? Qu'a travers eux, j'ai revécu ma jeunesse, j'ai
appris la tolérance et qu'il m'ont aidé a atteindre mon idéal; celui de les
mettre au monde, de les avoir vus grandir et devenir de jour en jour ma fierté
et surtout combien je les aime?

Aurai-je eu le temps de dire a mes petits enfants qu'ils sont le rayon de
soleil de mes vieux jours? De leur dire tout l'amour que j'ai au fond de mon
coeur pour ces petits etres si fragiles, si purs et qui deviendront un jour des
femmes et des hommes responsables, et surtout combien ils sont précieurx
pour moi?

Aurai-je eu le temps de dire a mes soeurs et mes freres combien j'ai été
choyée d'avoir fait partie de leur famille, d'avoir partagé avec eux les
jeux de notre enfance, de notre complicité, de nous avoir forgé de
merveilleux souvenirs? De les remercier d'avoir su toujours conserver
intacts les liens qui sont le noyau de notre belle famille?

Aurai-je eu le temps de dire a mes amis(es) combien leur passage dans
ma vie est précieux pour moi? A quel point je leur suis reconnaissante
de leur présence indéfectible a chaque étape de ma vie? Et surtout, a quel
point, je les apprécie et que c'est pour moi un privilege qu'ils m'aient
choisie pour amie?

Aurai-je eu le temps de dire a mes vieux parents lorsqu'ils étaient encore de
ce monde, combien je les aimais et combien ils ont été importants pour moi.
De les remercier de m'avoir donné la vie, d'avoir su semer le bonheur au
sein de notre famille, de m'avoir enseigné l'amour du prochain, la justice et
surtout de m'avoir montré la route pour devenir la personne que je suis
aujourd'hui?

Trouverai-je le temps de trouver le temps?
Il n'est jamais trop tard pour trouver le temps...

Nombre de messages : 9072 Age : 75 Date d'inscription : 22/03/2008

pour ceux qui souffrent...........pour toi............

L' espoir

Nous avons tous besoin d’une raison de vivre.
L’espoir est l’idée maîtresse pour survivre
Afin de surmonter les épreuves et moments difficiles
Quand cette même raison parfois fragile vacille.

L’espoir c’est l’eau pour l’assoiffé,
Un quignon de pain pour l’affamé,
Pour les âmes esseulées c’est l’amour
On en rêve un peu tous les jours.

Ainsi de l’ouvrier au bourgeois repu,
Bien que différents soient nos buts,
Tous on se rejoint dans la souffrance
Liés par l’omniprésent besoin d’espérance.

Souffrance qu’on tait mais qu’on possède
À tout azimuts on cherche les remèdes
À moins d’être un saint ou un parvenu,
Nous sommes tous par l’espoir retenus.

Par espoir, sur des touches blanches je pianote,
Drôle de clavier d’où aucune note ne sort;
Mémoires qui transpirent, mémoires inspirent
Ouvrir les tiroirs des choses reléguées au souvenir.

Dans l’attente du bonheur fugueur futile
Des joies, des peines puériles malhabiles,
La paix intérieure qu’on cherche ailleurs
Ailleurs qu’en dedans de nos propres cœurs.

S’il fallait qu’ensemble on trouve le trésor
Qui dort en nous et qui vaut de l’or,
Y’aurait moins de marchands au temple
On pourrait les pendre à titre d’exemple.

Espoir qui miroite dans le regard des mal-aimés
D’enfin trouver la personne avec qui partager
Concept immatériel qui nous motive à suivre
La mince ligne de la félicité et survivre.

Je ne veux plus vivoter, j’en ai assez,
Assez des longues soirées passées
À rêver, à écrire, à m’apitoyer,
À vouloir m’élever à espérer.

Je le vois passer subtilement de ma fenêtre
Cet espoir qui viendra un jour peut-être
M’emmènera dans les vertes contrées
Je l’attends à bout de souffle , fatigué

Je le vois passer subtilement de ma fenêtre
Cet espoir qui viendra un jour peut-être
M’emmènera dans les vertes contrées
Je l’attends à bout de souffle , fatigué

Oui trés fatiguée, je n'ai plus d'espoir

Je ne veux plus rêver et continuellement espérer, ce n'est pas fait pour moi.

mes espoirs sont brisés..ma vie est brisée

La bouée est bien trop loin cette fois-ci...je ne peut plus nager , je suis trop fatiguée, alors je me laisse couler, la force m'abandonne aussi.

mes yeux sont voilés, je n'apperçois même plus le rivage.

Invité

Le Bonheur

Le bonheur n'apparait pas qu'avec un simple claquement de doigt
Il faut travailler très fort et encore là...
Certains n'ont jamais eu de difficultés l'approcher
Et d'autres, par malheur, ne pourront jamais y gouter...

Il n'y a aucune définition pour le bonheur
Seleument ceux qui l'ont vécu pourront en parler
Tout ce qu'on peut dire c'est que c'est relier par le coeur
Et déjà là, c'est très difficile de l'expliquer...

Le bonheur est comme une drogue qui crée une accoutumance
Car dès que l'on y touche, apparaït une dépendance
Quand on vit avec ses effets si longtemps
On ne veut pas le laisser partir tout simplement...

Un jour ou l'autre le bonheur nous quitte
On souffre alors en se demandant pourquoi il est parti si vite
Il part rendre heureux quelqu'un qui ne l'a jamais vécu
Et ton sourire sur tes lèvres, on ne le reverra plus...

La perte de ce bonheur peut changer notre vie entière
Car le monde peux choisir de quitter cette terre
D'autres laisseront simplement passer le temps
Et cacheront leurs souffrances en faisant semblant...

Le bonheur tout le monde le croise un jour
Si tu ne l'a jamais vu alors garde espoir toujours
Il suffit d'essayer les choses et de faire des erreurs
Pour enfin le trouver et donner le sourire à ton coeur...

Et si le bonheur tu l'a déjà connu, mais qu'il est parti
Ne crois pas que c'est ta faute et continu
Continue d'y croire, ne laisse jamais filer ta vie
Même si tu n'a plus confiance en lui, continue...

Un jour il reviendra te chercher
Et peut-être ce sera mieux que la première fois
Le bonheur est une chose merveilleuse à ne pas rater
Alors s'il te plait, si tu veux tout laisser tomber
Dis-toi que tu seras peut-être le bonheur de quelqu'un d'autre
Et accroche-toi!

Invité

Il y a autant de lettres dans femme que dans amour », Xavier Forneret

« Femmes, c’est vous qui tenez entre vos mains la salut du monde » Leon Tolstoï

« L'amour est une mer dont la femme est la rive » V. Hugo

« Pour beaucoup de femmes, le plus court chemin vers la perfection, c'est la tendresse » François Mauriac

« Le seul défaut d’un homme, c’est de ne pas être une femme…» Sami Bouguerra

Invité

Les Citations - Page 33 081121095737876071

Entre ce que je pense,
ce que je veux dire,
ce que je crois dire,
ce que je dis,
ce que vous voulez entendre,
ce que vous entendez,
ce que vous croyez en comprendre,
ce que vous voulez comprendre, et
ce que vous comprenez, Il y a au moins neuf possibilités
de ne pas se comprendre.

Mais, s'il vous plaît, essayons quand même.

Et s'il revenait un jour

Que faut-t'il lui dire ?

Dites-lui qu'on l'attendit

Jusqu'à s'en mourir…

Et s'il m'interroge encore

Sans me reconnaître ?

Parlez-lui comme une sœur,

Il souffre peut-être…

Et s'il demande où vous êtes

Que faut-il répondre ?

Donnez-lui mon anneau d'or

Sans rien lui répondre…

Et s'il veut savoir pourquoi

La salle est déserte ?

Montrez-lui la lampe éteinte

Et la porte ouverte…

Et s'il m'interroge alors

Sur la dernière heure ?

Dites-lui que j'ai souri

De peur qu'il ne pleure…...

Les Citations - Page 33 O1w8i4vi

Invité

Les Citations - Page 33 726009786c4039fa4871a2dfb0ea47bd

Parfois, on a beau savoir que certaines personnes
sont là pour nous écouter,
pour nous comprendre, pour nous aider,
mais on ne peut pas parler,
on se l'interdit,
on n'y arrive pas,
c'est trop dur.
On préfère se taire et souffrir en silence...
C'est trop dur de dire que l'on va mal,
d'avouer que l'on est faible,
que l'on a peur...
Le silence n'est pas un remède, mais c'est une solution.
Puis un jour, on craque,
on ne peut s'en empêcher,
on pleure, on s'effondre,
on ne peut plus rien retenir...
Et les autres, qui vous pensaient si bien,
ils vous posent des questions,
des questions auxquelles on ne peut pas répondre.
C'est à ce moment là, qu'ils pensent
que l'on n'a pas confiance en eux...
Mais ce n'est pas vrai!
On voudrait tout leur dire...
Mais c'est trop dur...

Nombre de messages : 9072 Age : 75 Date d'inscription : 22/03/2008

C'est une grande habileté que de savoir cacher son habileté.

[François de La Rochefoucauld]

Il en coûte trop cher pour briller dans le monde, Combien je vais aimer ma retraite profonde ! Pour vivre heureux vivons cachés.

[Jean-Pierre Florian]

FAIS LE POUR TOI

N'oublie pas que tu as le droit de pleurer...
Oui tu as le droit d'avoir peur, d'avoir mal...
Tu as le droit de te sentir trahi...
et d'émettre ton opinion...
Tu as aussi le droit de REVER...
même si il y a des avis contraires...
Tu as le droit de hurler ta peine
ou de crier ta joie de vivre...
Pense à toi... fais-le pour toi...

Pas pour leur prouver que tu es
comme ils veulent que tu sois...
Pas non plus parce que tu as peur
d'être jugé, ils te jugeront de toute façon...
Pas non plus parce que tu as peur de la solitude...
Tu te sentiras bien seul même si ils sont près de toi...
Si tu fais quoi que ce soit...
fais-le pour toi...
Pense à toi...

Chasse le négatif en toi...
le positif n'est pas bien loin...
Ne te compare pas aux autres...
tu es très bien toi-même...
Si tu pouvais lire au fond de chacun d'eux...
Tu y découvrirais sûrement qu'ils sont
beaucoup plus malheureux que toi.
Fais-toi plaisir pense à toi...
Fais-le pour toi...

Car si tu ne le fais pas, personne ne le fera...
Tu le sais ça. Accepte-toi tel que tu es...
Tu as des qualités et des défauts...
Mais eux aussi en ont...
Et tous ceux qui t'aiment vraiment resteront à tes côtés...
Ils t'appuieront quoi que tu fasses...
Leurs mains resteront sur ton épaule
pendant tout ce temps...

Et si tu t'apperçois que l'un d'eux t'abandonne...
Dis-toi que son amitié ou son amour était superficiel...

Alors si tu fais quoi que ce soit, en tout
premier pense à toi...
... FAIS LE POUR TOI

Il est possible de vivre sans se souvenir et de vivre heureux, comme le démontre l'animal,
mais il est impossible de vivre sans oublier.

[Friedrich Nietzsche] [i][b]

Invité

Bonne année

Une année vient de se terminer
Une année pleine de souvenirs
D’inquiétudes
De plaisirs
D’incertitudes
Joies et tristesses
De l’amour, de la tendresse.

Une nouvelle année
Vient de commencer
Et déjà souhaitons
Une année d’un amour chaud
Comme le soleil d’été
D’une immense joie
D’une fraîcheur de Printemps
Une année de roses
Mais sans épines
Qui ne puissent pas blesser
Qu’on ne verse pas de sang.
Une année qui puisse nous unir
A tous, dans un amour fraternel
Passons-la
Comme nous avons passé Noël.
Une année de découvertes
Tous les jours, des jours de fête
Avec une excellente santé.
Une année est morte
Vive la nouvelle année.
Bonne Année!..

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JOHNNY
Le regard des autres

Paroles et Musique: Jean-Jacques Goldman

Pas vraiment un hasard, ce goût des lunettes noires.
Oh, y a pas plus bavard qu'un regard.
On vous a dit tout p'tit, les bons points et les fautes.
Moi, j'ai appris la vie dans le regard des autres.

Y en a des froids, des durs qui te veulent du mal
Des qui te clouent au mur à la Lauren Bacall.
J'en ai vu des si clairs, si purs et si profonds
Que j'ai donné, misère, l'bon Dieu sans confession.

Y en a qui te jugent, précis, sans indulgence,
Comme un combat de rue dans le froid, dans l'urgence
Et les tendres et discrets dans un battement de cils
Qui te disent : "Je sais : c'est pas toujours facile."

J'y vois ce que je suis, ce que je ne suis plus.
C'est le livre où je lis tout c'que j'ai jamais lu
Et si je parle peu dans vos conversations
Regarde-moi dans les yeux, je te dirai ton nom.

Y en a des obliques, ceux des chiens de faïence,
Y a les regards suppliques, y a les regards offenses.
J'y ai lu du désir, de l'envie, du mépris
Et parfois du plaisir, parfois, c'est c'que j'ai dit.

J'y ai vu des appels plus stridents que des cris,
Les phrases les plus belles, plus sûres que par écrit.
Ils te disent l'amour, ils te disent la haine
Bien mieux qu'aucun je t'aime, bien mieux qu'aucun discours.

Tu peux changer de pays, même changer de visage
Mais ton regard te suit, signé comme un tatouage.
Si même les plus saints avaient besoin d'apôtres
C'est que personne n'est rien, sans le regard des autres.

Y a ceux qui te cherchent, y a ceux qui te hantent
Ceux que tu espères et tous ceux qui te manquent.
Regarde-moi dans les yeux, regarde-moi dans les yeux,
Dans les yeux

Invité

Tiens tes promesses ...

Le soleil timidement pose un rayon
Sur mes vitres et les traverse
J'ouvre les yeux encore brouillons
Je lis en lettres d'or «tiens tes promesses»

J'avais tant de fois promis à mon Jean
Au temps où la joie chez nous était reine
Énigmatiques mes pensées en ce moment
Comment garder le sourire quoi qu'il advienne

Ne jamais baisser ni les yeux ni les bras
Voir le futur sans oublier le présent
Garder en toute occasion mon sang froid
Vivre pleinement chacune des saisons

Accepter l'amour qui frappe à ma porte
Vivre l'instant du bonheur qui se montre
Aux moments de faiblesse m'imaginer forte
Oublier sabliers, horloges et montres

Promesses de vie, ho! combien fabuleuses
Que l'on fait un jour sans y voir d'importance
Le temps vous apporte des idées nébuleuses
Où chaque promesse prend de la distance

Hier Aujourd'hui demain je le sais
Les promesses non tenues m'égratignent
Elles virevoltent, troublent mes pensées
Revoir son sourire suis-je encore digne

J'ai depuis tant de fois broyé du noir
Essuyé les larmes perlant à mes yeux
Perdu tant et tant des fois l'espoir
Pourtant je crois avoir fait de mon mieux

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Invité

Petite fée

Posé sur son petit nuage doux,
L’ange observe, songeur, l’enfer des bas fonds
Il aperçoit une lueur qui l’appel, sanglotante.

C’est une petite fée apeurée.
Doucement elle s’éteint.

Alors l’ange lui relève délicatement la tête.
Elle a mal.
Le monde l’accable.

Ses courbes la déchirent.
Son estomac est noué jusqu’au sang.
Ses petites ailes s’agitent sans cesse, la panique s’amplifie.
Sa main tremble face à son dégoût.

Elle aimerait pouvoir se délecter de son nectar sucré.
Mais elle ne peut l’atteindre.Damnation suprême.
Son ennemi la serre fort.Désespoir des jours bannis.
Elle rêve de retrouver sa magie.
Elle veut tenir sa place, seulement reste maîtresse la folie.

L’ange attristé la prend alors entre ses mains,
La réchauffe d’un amour certain.
Il lui chuchote des vers divins.

La petite fée s’est endormie,
Pour la première fois depuis une décennie.
Son réveil sera léger, son poids retiré.

De nouveau elle pourra prendre son envol,
Et sauver le monde de ses paillettes multicolores.

Le réveil est brutal.
La petite fée a rêvé.
Les anges n’existent pas.

Elle se bat.
Un jour tout se finira, elle y croit.

Les Citations - Page 33 Am5rbuq5

„Die Hoffnung ist eine viel grössere Stimulierung des Lebens als irgendein Glück.”
« L'espoir est un stimulant vital bien plus grand que le bonheur, quelqu'il soit. »
Nietzsche

Le Silence....est la solution des lâches.

Blablablablaba

TOUS DES HOMMES SONT FAUX...
"Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels;

toutes les femmes sont perfides, arrtificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux.

On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux;
mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit: J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois; mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice crée par mon orgueil et mon ennui."
Musset

On badine pas avec l'amour.