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 Fayrouz, chanteuse libanaise

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miminem

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MessageSujet: Fayrouz, chanteuse libanaise   Fayrouz, chanteuse libanaise Icon_minitimeMar 20 Avr - 20:13

Fairuz (فيروز), née le 20 novembre 1935 dans un village de la montagne libanaise sous le nom de Nouhad Haddad (نهاد حداد), est une des plus célèbres chanteuses libanaises. Son nom de scène, également orthographié Fairouz ou Fayrouz, signifie « turquoise » en arabe.

Biographie et œuvre musicale

Sa famille s’installe avec elle à Beyrouth en 1935 dans le quartier de Zqaq El Blat où elle grandit. Avec les frères Rahbani, Assi et Mansour (Assi deviendra son mari), elle crée un nouveau style de musique libanaise initialement très influencé par la musique latino-américaine.

Son premier concert public a lieu en 1957. Elle devient très vite célèbre dans tout le monde arabe mais se fait rare pendant la guerre civile libanaise afin d’éviter d’être utilisée par un camp ou par un autre. Cette retenue lui vaut l’affection et l’intérêt du public de toutes confessions.

Depuis la fin de la guerre civile, elle travaille avec son fils Ziad Rahbani. Sa musique est de plus en plus influencée par les rythmes jazz.



Les débuts au festival de Baalbeck

Fairuz n’acquit sa célébrité que lorsque les frères Rahbani commencèrent à composer pour elle au début des années 1950. Ces années-là furent très fertiles et Fairuz s’essaya à de nombreux genres musicaux, et, ayant un penchant pour la modernité et la musique occidentale, les frères Rahbani vont exceller aussi bien dans des compositions symphoniques que dans des tangos et autres danses latines. Ceci ne fut pas du goût de tous les auditeurs et critiques de l’époque habitués aux longs chants égyptiens aux mélodies languissantes et aux orchestrations aussi naïves que traditionnelles.

Mais le style des Rahbani s’impose petit à petit, et c’est en 1957 que le comité du festival international de Baalbeck, qui fêtait son premier anniversaire, demanda aux Rahbani de préparer une « soirée libanaise »[1] qui ferait découvrir au public du festival (composés surtout d’étrangers et de libanais intellectuellement occidentalisés, le festival se contentant jusque là de présenter des spectacles de musique et de danses classiques et des tragédies grecques), les musiques et danses traditionnelles du Liban.

Le programme fut à la hauteur des espérances et le public revint aussi nombreux en 1959 pour applaudir le ballet Rambert que pour applaudir Fairuz encore une fois invitée pour faire la vedette des soirées libanaises (sachant que le festival s’était interrompu en 1958 à cause de troubles communautaires). Cependant il ne faudrait pas croire que les Rahbani présentaient ce qui est communément appelé le Folklore : leurs compositions étaient bel et bien personnelles, et quand il y avait des chants folkloriques dont les compositeurs étaient inconnus, les Rahbani prenaient bien soin de leur donner un nouveau souffle de vie en les présentant dans des orchestrations symphoniques somptueuses ou sur des rythmes latins.

En 1961 Fairuz revint à Baalbeck avec une superproduction : le spectacle de 1957 était une suite de tableaux sans véritable lien, en 1959 était présentée une opérette d’un seul acte (Al' Mouhakama — le procès) mais les Rahbani créèrent en 1961 une comédie musicale en 4 actes intitulée Al Ballbakieh (la Baalbakiote). Pénétrant l’univers de la mythologie, les Rahbani écrivirent l’histoire d’une jeune fille dotée d’une voix envoutante, universelle et éternelle, Fairuz chanta ainsi aussi bien les mélodies andalouses que celles puisées dans la pure musique classique occidentale (la célèbre « Ode à Baalbeck »).

En 1962, Fairuz revint encore une fois, dans une comédie musicale, cette fois en 2 actes : Jisr el Kamar qui est le nom d’un village situé au nord du Liban et qui, traduit textuellement signifie le pont de la Lune. Cette comédie musicale dans laquelle Fairuz joue le rôle d’une fée qui cherche à réconcilier les habitants de deux villages voisins en guerre, vit s’épanouir les talents des compositeurs Rahbani, leur musique devenant de plus en plus expressive et dramatique, s’agissant des passages chantés par le chœur, et plus lyrique s’agissant des passages chantés par Fairuz.

Cette évolution va être encore plus remarquée en 1963, quand les Rahbani composeront Allayl wa’l Kandil (Nuit et Lumière), où Fairuz (mantoura), jeune vendeuse de lanternes, tombe amoureuse d’un « horla » (hawlou) qui trahit sa confiance, et qui fut représentée au théâtre du Casino du Liban ainsi qu’à la foire internationale de Damas.

En 1964, fut montée au festival des Cèdres, la pièce qui sera l’année d’après le premier film de Fairuz et des Rahbani, Bayya’a el khawatim (Le vendeur de bagues) histoire d’une jeune orpheline fataliste (Fairuz) prise dans les méandres des mensonges d’un oncle mythomane. Au Liban, on parle désormais du « théâtre des Frères Rahbani » : le théâtre musical libanais né de rien, se développe à une vitesse vertigineuse.

En 1965 les frères Rahbani présentèrent au festival de Baalbeck une nouvelle comédie musicale avec pour vedette cette fois-ci la chanteuse libanaise Sabah : Dawalib el hawa — les moulinets —, histoire d’amour impossible entre un seigneur féodal et h’ala (Sabah) jeune fille très belle mais têtue (ce fut la deuxième et dernière fois que les frères Rahbani montèrent une pièce avec Sabah après la première en 1960 à Baalbeck aussi : mawsemm el e’ezz, La belle saison).

En 1966, un retour en force de Fairuz et des Frères Rahbani au festival de Baalbeck toujours, avec cette fois une fiction historique : Ayyam Fakhreddine — Du temps de l’émir Fakhreddine. Tout est dans le titre : Otr ellayl (Fairuz) se veut la conscience fictive d’un peuple qui attend que son souverain le protège et fasse de lui un peuple souverain et indépendant (Fakhreddine est un émir Libanais qui régna sur la montagne libanaise au XVIIe siècle).



Du Piccadilly au Carnegie Hall

Jusqu’en 1966, Fairuz n’était encore jamais montée sur scène à Beyrouth, mis à part un passage furtif en 1962 au théâtre du Capitole où elle présenta un programme de variétés et une opérette de 20 minutes glorifiant l’armée libanaise qui avait récemment fait face à une tentative de coup d’État. En 1967, en plein cœur du quartier le plus intellectuel et cosmopolite de Beyrouth, à Hamra, un théâtre venait d’ouvrir ses portes : le théâtre Piccadilly. Fairuz et les Rahbani y furent invités et présentèrent leur dernière production : Hala wel Malik ( Le Roi et Hala), une comédie musicale de « masques et bergamasques », où les passages récitatifs sont presque inexistants, un nouveau tour de force : Hala, jeune fille sans défense, est reniée par son père, un ivrogne qui avec la cour du Roi veulent faire croire à ce dernier que Hala est fille de roi et qu’elle lui est envoyée comme épouse. Le succès est fulgurant et la pièce est reprise en été au festival des Cèdres et en automne à la foire internationale de Damas.

En 1967, sort aussi la deuxième production cinématographique des Frères Rahbani, Safar barlik (L’exil) qui relate une période de l’histoire du Liban, l’occupation ottomane et la résistance qui s’exacerba en 1914 lorsque le sultanat prit des mesures drastiques contre la population libanaise. Ce film fut suivi d’un autre en 1968, qui fut le dernier, Bint el hariss (la fille du garde), qui, dans un tout autre registre que l’Exil, traite des délicates questions du chômage et de l’adultère dans le cadre d’un petit village où rien ne peut rester secret. Cette année là Fairuz ne monta pas sur les planches au Liban, et ce fut en Syrie qu’elle donna avec les Frères Rahbani la première de Ash-shakhs (Son Excellence) qui est le premier volet d’une trilogie satirique (avec Yaish Yaish et Sahh Ennom en 1970) de la bureaucratie et la politique des régimes arabes de l’époque. Ashakhs est l’histoire d’une vendeuse ambulante de tomates qui se trouve avec sa charrette au beau milieu d’une réception donnée en l’honneur d’un hôte de marque, soupçonnée d’espionnage elle se retrouve au tribunal au banc des accusés. En 1969 la pièce fut jouée pendant près de trois mois au théâtre Piccadilly, et pour l’été de la même année les Frères Rahbani composèrent une comédie musicale épique pour le festival de Baalbeck, Jibal As-sawan (Les montagnes de Silex), prônant la résistance à l’oppresseur et dont le moment fort reste le tableau final où Gherbeh meurt en martyre.

L'année 1970 fut une année particulièrement riche, les Rahbani composèrent deux comédies musicales, Yaish Yaish (Longue vie à sa majesté..) et Sahh En-nom (Avez-vous bien dormi ?). La première, présentée au théâtre Piccadilly de Beyrouth en hiver, est une satire grinçante de l’instabilité des gouvernements et des incessants coups d’État qui secouaient la région. Elle ne fut pas représentée en Syrie où les Rahbani montèrent Sahh En-nom, une comédie musicale qui emprunte beaucoup au théâtre de l’absurde, où le gouverneur ne fait que dormir et les citoyens pâtir.

En 1971, les Frères Rahbani composèrent une comédie musicale « mise en abîme » puisqu’elle avait elle-même pour sujet une troupe de chanteurs et de danseurs, à leur tête Maria (Fairuz). La première de Nass min Warak (Gens de papier) fut donnée à la FI de Damas, suivie d’une tournée dans les salles les plus prestigieuses de l’Amérique du nord (le Carnegie Hall notamment), avant d’atterrir au Piccadilly de Beyrouth en hiver 1972.

Pour l’été 1972, les frères Rahbani présentèrent avec Fairuz au festival de Baalbeck Natourit al Mafatih (La gardienne des clés), une comédie noire où un peuple opprimé choisit la résistance passive : tout le monde fuit le royaume de Sira sauf Zad el khayr (Fairuz) qui reste seule face au tyran. Après les représentations de Baalbeck, ce fut le tour de Damas. À la fin de la saison, Fairuz esquintée, est conduite dans une clinique de Beyrouth. Son mari et compositeur fétiche Assi Rahbani, la rejoint quelques jours plus tard : un accident cardio-vasculaire cérébral a failli lui coûter la vie.


La maladie et la séparation

L’état de Assi Rahbani était précaire. Plusieurs interventions chirurgicales furent nécessaires et il fut transporté jusqu’à Paris à bord du jet privé du président syrien de l’époque Hafez el Assad pour recevoir les soins nécessaires. Son état se rétablit peu à peu mais Assi Rahbani était devenu pseudo-amnésique et une bonne partie de son cerveau avait été gravement touchée. Toutefois, il put composer de nouveau et sa première mélodie fut Layali esh-imal el hazini (Les tristes nuits) pour Fairuz qui la chanta en ouverture de la Comédie musicale Al-mahatta (la gare) qu’on représenta au théâtre Piccadilly en février 1973 ; histoire d’une jeune étrangère qui fait croire à tout un village qu’un train venant de nulle part passera pour les prendre « vers le nord » où ils trouveront le bonheur. Une comédie aux mélodies grinçantes et mélancoliques qui vit naître la première composition de Ziad Rahbani pour sa mère : Sa’alouni en-nas (On m’a demandé de tes nouvelles), dédiée à Assi Rahbani, qui était toujours hospitalisé à Paris le jour de la première, et ce fut le cadet de la famille Elias Rahbani qui prit la houlette du chef d’orchestre.

Pour l’été 1973, un spectacle de variétés fut monté à Baalbeck, Qasidet Hobb (Un poème d’amour) où Ziad Rahbani composa une deuxième chanson pour Fairuz, Eddaysh kan fi nass (il y avait du monde) dans le style des grands classiques. En 1974, les frères Rahbani jouèrent la comédie musicale Loulou au Piccadilly, où Fairuz tenait le rôle d’une prisonnière blanchie après 15 ans de prison et qui menace tout son entourage d’une vengeance sanglante. Le 13 avril 1975, la guerre civile éclata au Liban pendant que les frères Rahbani et Fairuz jouaient au Piccadilly Mays Er-rim, un village où deux familles se font la guerre et qui prennent Zayyoun (Fairuz) pour témoin, et dont l’ouverture du premier acte est restée l’une des plus importantes compositions de Ziad Rahbani (qui composa aussi une des chansons de la comédie, habbou ba’adoun — ils se sont tant aimés).

En 1976, un spectacle de variétés fut monté à la FI de Damas, et en 1977 les frères Rahbani composèrent Petra dont la première fut donnée à Amman à l’occasion de l’anniversaire de l’accession au trône du Roi Hussein, et fut jouée par la suite à Damas, au Casino du Liban et au Piccadilly. Petra, dernière comédie musicale qui unit les frères Rahbani à Fairuz, est une comédie musicale historique où Chakila (Fairuz) reine du royaume de Petra en guerre contre Rome se trouve prise dans un dilemme cornélien : sauver sa fille kidnappée au prix de la défaite de son armée. En 1978, Fairuz et les Rahbani présentèrent un concert au London Palladium, et l’année suivante l’Olympia de Paris vivait le dernier concert où Fairuz chantait sous la direction de Assi Rahbani. Leur collaboration artistique se termina ainsi que leur vie commune.


Les années 1980 et 1990 : l’ère "Ziad Rahbani"

L’année 1979 qui vit la séparation du couple artistique Fairuz-les frères Rahbani, vit aussi naître le premier album de Fairuz dont les compositions étaient toutes signées de son fils Ziad Rahbani. L’album Wahdoun (Seuls) est un tournant dans la carrière de la chanteuse qui s’adonne pour la première fois aux mélodies et arrangements jazzy de son fils (Wahdoun ,al bosta), qui a pu aussi lui composer des mélodies orientales dans un style se rapprochant de celui des « frères » (Habbaytak ta nsit ennawm- je t’ai aimé à en oublier le sommeil-, ana andi hanine-je suis nostalgique-). Mais le public, habitué aux textes romantiques des frères Rahbani fut choqué par les textes crus et osés de Ziad et son humour noir. Cette querelle des « anciens » et des « modernes » renaîtra d’ailleurs avec chaque nouvelle album de la chanteuse.

Le deuxième album de ce couple dont la réputation devint très vite sulfureuse, ne vit le jour qu’en 1987, Maarefti fik(Notre rencontre). Très hétéroclite, il regroupe aussi bien des atmosphères orientales (toujours dans le style Rahbani) que jazz (surtout la chanson-titre Ma’erefti fik). Entretemps, Assi Rahbani était mort le 21 juin 1986. Fairuz, peu de temps auparavant se produisit au Royal Festival Hall de Londres, accompagné de Ziad Rahbani au piano, et qui écrivit aussi de nouvelles orchestrations pour les anciennes chansons de Fairuz. En 1988, Ziad Rahbani l’accompagna aussi pour un concert-évènement au Palais Omnisports de Paris-Bercy, à l’occasion duquel elle fut nommée commandeur des arts et des lettres par le ministre de la culture française de l’époque Jack Lang (Fairuz recevra la légion d’honneur à Beyrouth en 1998).

En 1991, sortit le troisième album de Fairuz et Ziad, Kifak enta ? (Comment vas-tu ?), qui fit couler beaucoup d’encre. Les textes de Ziad Rahbani était décidément trop modernes pour le goût de certains qui refusaient d’écouter Fairuz déclarer son amour à un homme qu’elle savait marié ! (la chanson comment vas-tu ? raconte l’histoire d’une femme qui rencontre son ancien amant désormais marié, et lui dit ouvertement qu’elle aimerait se remettre en ménage avec lui). Ces critiques virulentes laissèrent peu de place à l’appréciation de la musique que présentait Ziad Rahbani (toujours aussi hétéroclite), et ce n’est que des années plus tard que Kifak enta? deviendra un « classique » de Fairuz, qu’elle chante dans presque tous ses concerts.

En 1994, Fairuz qui n’avait pas chanté au Liban depuis 1977 se produisit dans un méga-concert dans le centre-ville de Beyrouth et en 1995, Ziad Rahbani et Fairuz présentèrent en hommage à Assi Rahbani, l’album Ila Assi (À Assi), qui regroupa 19 des chansons de Fairuz et des frères Rahbani réorchestrées par Ziad Rahbani. Ce n’est qu’en 1999 que Fairuz sortit un nouvel album avec Ziad Rahbani, Mish Kayen Hayk Tkoun (Tu as vraiment changé), cet album contint aussi des chansons composées par le syrien Mohammed Mohsen.


Les concerts au festival de Beiteddine

En 2000, Fairuz préparait son véritable come-back. Son concert de 1994 était fait de nostalgie plus que de musique et l’anthologie qu’elle présenta au festival de Baalbeck en 1998 (qui avait repris ses activités en 1997), où elle chanta en playback, ne purent convaincre ses fans. C’est alors qu’en août 2000, elle présenta au festival de Beiteddine, accompagné de son fils Ziad Rahbani, et d’un orchestre symphonique composé de musiciens arméniens, français, hollandais et libanais, sous la houlette de l’arménien Karen Durgaryan, trois concerts dont le programme, choisi avec le plus grand soin, regroupait des anciennes chansons savamment réorchestrées ( dont la fameuse La inta habibi -tu n’es plus mon amour) ainsi que de nouveaux titres (dont le tout aussi fameux, désormais, Sabah w massa-matin et soir). Fairuz avait reconquis un public jeune et convaincu les plus réticents. L’été 2001, le même orchestre fut à Beiteddine pour Fairuz. Un nouvel album sortit en janvier 2002 Wala kif (…ni comment), précédé en 2001 par l’enregistrement des concerts de Beiteddine 2000. En 2003, Fairuz revint avec le même orchestre une fois de plus à Beiteddine (en 2002, Fairuz avait présenté à Beiteddine avec un orchestre restreint un programme-rétrospective). Désormais c’est cet orchestre dont la plus grande partie est composée de membres de l’orchestre symphonique d’Erevan, sous la direction de Karen Durgaryan qui accompagne Fairuz dans ses tournées.

En 2006, la comédie musicale Sahh ennom des frères Rahbani et Fairuz qui avait été représentée en 1970 connut une seconde vie : elle fut programmée pour ouvrir les festivités de Baalbeck qui fêtaient leur cinquantenaire. Mais la guerre qui éclata le jour même obligea Fairuz et Ziad Rahbani de remettre les représentations à plus tard. Ce n’est qu’en décembre 2006 que le public libanais eut la chance de découvrir au BIEL (Beyrouth) les nouvelles orchestrations de Ziad Rahani pour Sahh ennom ainsi que la come back d’une Fairuz comédienne. Fairuz en tournée dans Sahh ennom depuis 2006 joua à Damas en 2008 à guichets fermés pour neuf représentations, à Sharjah et à Amman.





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MessageSujet: Re: Fayrouz, chanteuse libanaise   Fayrouz, chanteuse libanaise Icon_minitimeMar 20 Avr - 20:18

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