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Les Discutailleurs fans de musique...
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"La voix de Nolwenn ? une élégance souveraine, de la soie, du velours." Patrice Demailly. - - - - "Le talent sans génie est peu de chose. Le génie sans talent n'est rien" Valery.
"Je veux que ma musique sonne comme un saut dans le vide, du haut d’un arbre ou d’un immeuble, ou comme la sensation d’être aspiré dans l’océan sans pouvoir respirer,” déclare Florence Welch.
Florence a grandi à Camberwell, au Sud de Londres. Elle était l’aînée de trois enfants. L’un de ses premiers souvenirs musicaux remonte à la fois où elle a dansé sur les Rolling Stones avec son père, debout sur le coffre dans lequel il rangeait ses disques vinyles.
Elle a commencé à chanter à la maison sur Nina Simone et Dusty Springfield, avant de se lancer dans des arias. Préado elle se tourne vers le skate-punk avant de passer à la drum’n’bass et la dance music dans les fêtes organisées dans des squats. Pour Florence le fil rouge de ce mélange éclectique c’est l’émotion. Florence écrit ses meilleures chansons lorsqu’elle a bu ou qu’elle a la gueule de bois, car c’est dans ces moments là que la liberté, la musique sauvage vient à elle à partir de fragments rassemblés sur des cahiers et dans sa tête.
Florence est elle-même pétrie de contradictions : pas tendre de nature, elle est pourtant terrifiée, véritable boule de nerfs, passionnée, elle est à la fois sombre et enjouée. Sur scène il semble qu’elle n’a peur de rien, mais elle a aussi vite fait de porter des jugements sur elle-même. Après tout, cette femme est entrée à l’école des Beaux-arts de Camberwell en concoctant un panneau floral sur lequel elle s’adressait ce message : ‘Tu es une conne’. Elle se dit cinglée, capable de perdre tout contrôle lorsqu’elle est amoureuse. Mais, en ces temps où la pop devient karaoké, Florence est aussi un être extrêmement rare et précieux : une artiste qui a trouvé sa propre et authentique voix.
Forte de ses prestations vocales envoûtantes, de ses mélodies atypiques et de son univers musical très personnel, elle a déjà remporté le prix des critiques lors de l’édition 2009 des Brit Awards. Quelques-uns la comparent à Kate Bush. Mais on peut aussi lui trouver des liens avec Tom Waits et Nick Cave dans son côté sombre et si elle vous fait aussi un peu penser à Bjork, elle prendra cela comme un compliment. Mais surtout, Florence évolue seule et à sa guise, ce qui est excitant et un peu effrayant à la fois.
Dans Lungs (2009), son premier album, il y a des harpes, des chœurs, des batteries, des gaines d’ascenseur, des morceaux de métal, de l’amour, la mort, des feux d’artifice, des quatuors à cordes, des soupirs, d’étranges gémissements électroniques, des moutons, des lions, la maladie, des verres brisés, du sang, la lune, des étoiles, des boissons, des cercueils, de dents, de l’eau, des robes de mariées.. et des silences. Ses chansons sont truffées d’imagerie gothique, d’envolées féériques, et bien que ses paroles aient donné lieu à toutes sortes d’interprétation, Florence explique qu’elles sont généralement simples. Florence trouve sa place en sortant dans les clubs et les pubs, en chantant sur scène et dans sa chambre. A la fin du lycée, elle a déjà écrit des chansons comme ‘Kiss With A Fist’ et sait qu’elle veut faire de la musique mais pas comment s’y prendre. Après avoir travaillé dans un bar pendant un an, elle suit des cours aux Beaux-arts, où elle récupère en dormant sous son bureau dans une sorte de tente, tout en expliquant à ses enseignants qu’il s’agit d’une "installation".
Quant à The Machine, il s’agit d’une bête flexible qui peut se réduire à Florence simplement accompagnée d’une batterie ou d’un piano, mais à l’heure actuelle il s’agit en fait d’un septuor réunissant notamment des collaborateurs de longue date comme Rob Ackroyd (guitare), Chris Hayden (batterie), Isabella Summers (clavier) et Tom Monger (harpe).
En octobre 2011, la rousse revient avec un nouvel album studio intitulé Ceremonials.
Et si on parlait de magie ? Parce que, quand elle est bonne, la musique a quelque chose de magique qui vous élève et vous emporte ailleurs. “Je veux que ma musique sonne comme un saut dans le vide, du haut d’un arbre ou d’un immeuble, ou comme la sensation d’être aspiré dans l’océan sans pouvoir respirer,” déclare Florence Welch. “Quelque chose qui vous submerge et vous remplit et qui va, soit vous faire exploser, soit simplement disparaître.”
Florence écrit ses meilleures chansons lorsqu’elle a bu ou qu’elle a la gueule de bois, car c’est dans ces moments là que la liberté, la musique sauvage vient à elle à partir de fragments rassemblés sur des cahiers et dans sa tête. “Je suis lucide,” explique-t-elle, “mais sans être complètement là. Je flotte dans mes pensées et je peux choisir ce dont j’ai besoin. J’aime bien ces connexions étranges dans l’univers. Quand certaines choses ne cessent de revenir, j’ai l’impression que la vie est comme un trip d’acides qui se répète.”
Florence est elle-même pétrie de contradictions : pas tendre de nature, elle est pourtant terrifiée, véritable boule de nerfs, passionnée, elle est à la fois sombre et enjouée. “Je ressens les choses vraiment intensément, c’est pour cela que la musique doit être intense. Soit je suis terriblement triste, soit je suis très gaie. Je suis épuisée ou totalement surexcitée. C’est dans ces moments-là que je suis plus créative, mais c’est aussi dangereux pour moi. J’ai l’impression que je serais capable d’écrire de bonnes chansons ou de briser des cœurs. Ou bien des tables ou des verres.”
Sur scène il semble qu’elle n’a peur de rien, mais elle a aussi vite fait de porter des jugements sur elle-même. Après tout, cette femme est entrée à l’école des Beaux-arts de Camberwell en concoctant un panneau floral sur lequel elle s’adressait ce message : ‘Tu es une conne’. Elle se dit cinglée, capable de perdre tout contrôle lorsqu’elle est amoureuse. Mais, en ces temps où la pop devient karaoké, Florence est aussi un être extrêmement rare et précieux : une artiste qui a trouvé sa propre et authentique voix.
Forte de ses prestations vocales envoûtantes, de ses mélodies atypiques et de son univers musical très personnel, elle a déjà remporté le prix des critiques lors de l’édition 2009 des Brit Awards. Quelques-uns la comparent à Kate Bush. Mais on peut aussi lui trouver des liens avec Tom Waits et Nick Cave dans son côté sombre et si elle vous fait aussi un peu penser à Bjork, elle prendra cela comme un compliment. Mais surtout, Florence évolue seule et à sa guise, ce qui est excitant et un peu effrayant à la fois.
Dans ‘Lungs’, son premier album, il y a des harpes, des chœurs, des batteries, des gaines d’ascenseur, des morceaux de métal, de l’amour, la mort, des feux d’artifice, des quatuors à cordes, des soupirs, d’étranges gémissements électroniques, des moutons, des lions, la maladie, des verres brisés, du sang, la lune, des étoiles, des boissons, des cercueils, de dents, de l’eau, des robes de mariées.. et des silences. Ses chansons sont truffées d’imagerie gothique, d’envolées féériques, et bien que ses paroles aient donné lieu à toutes sortes d’interprétation, Florence explique qu’elles sont généralement simples. “Elle parlent toutes des garçons!” dit-elle en riant. “Tout l’album parle d’amour – et de douleur. Les gens trouvent que les paroles de mes chansons sont insensées, mais pour moi c’est un disque honnête et sincère. Je n’ai pas décidé de faire quelque chose de délirant, je veux juste que ce disque soit émouvant.”
Florence a grandi à Camberwell, au Sud de Londres. Elle était l’aînée de trois enfants. L’un de ses premiers souvenirs musicaux remonte à la fois où elle a dansé sur les Rolling Stones avec son père, debout sur le coffre dans lequel il rangeait ses disques vinyles. Elle a commencé à chanter à la maison sur Nina Simone et Dusty Springfield, avant de se lancer dans des arias. Préado elle se tourne vers le skate-punk avant de passer à la drum’n’bass et la dance music dans les fêtes organisées dans des squats. Pour Florence le fil rouge de ce mélange éclectique c’est l’émotion. “J’aime tout ce qui a vraiment du feeling, que ce soit ‘A Change is Going To Come’ de Sam Cooke, ‘Wade In The Water’ par Eva Cassidy ou même ‘Umbrella’ de Rihanna – la musique m’obsède. Je peux écouter aussi bien Beyonce et Lil Wayne que ‘Hurricane’ de Bob Dylan ou ‘Going Down’ de Bruce Springsteen, je suis incapable de me cantonner à un genre précis. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a fallu que je crée mon propre genre.”
Après la séparation de ses parents, sa mère tombe amoureuse d’un voisin. Les deux familles emménagent ensemble et à 13 ans, Florence se retrouve brusquement avec six autres adolescents : “J’ai grandi dans une drôle de famille, qui s’apparentait davantage à une tribu d’ados qu’à une famille normale. Il fallait que je partage ma chambre avec ma sœur et mon petit frère dormait dans un placard ! Aujourd’hui je trouve ça sympa d’avoir une grande famille, mais pas à l’époque. Pas étonnant donc que j’ai un peu déraillé, il n’y avait jamais de place pour moi à la maison. Dans ce genre de situation, il faut savoir s’affirmer.”
Florence trouve sa place en sortant dans les clubs et les pubs, en chantant sur scène et dans sa chambre. A la fin du lycée, elle a déjà écrit des chansons comme ‘Kiss With A Fist’ et sait qu’elle veut faire de la musique mais pas comment s’y prendre. Après avoir travaillé dans un bar pendant un an, elle suit des cours aux Beaux-arts, où elle récupère en dormant sous son bureau dans une sorte de tente, tout en expliquant à ses enseignants qu’il s’agit d’une « installation ».
C’est avec l’écriture de l’envoûtant ‘Between Two Lungs’, que tout se met en place. Au lieu d’utiliser des percussions, Florence tape avec ses mains sur les murs du studio. Elle élabore la mélodie au piano sans savoir en jouer et commence par enregistrer les chœurs, avant d’avoir écrit les paroles. Ce titre barré et franchement pas conventionnel, n’en est pas moins génial bien entendu – c’est une chanson étrange sur un amour éperdu. “J’avais trouvé ma voix et j’étais tout simplement euphorique,” se souvient Florence. “Il m’a fallu un certain temps pour comprendre que la façon dont je voulais faire ce disque était en fait la bonne. Pour mener à bien ce projet il a fallu que je me fasse confiance.”
Quant à The Machine, il s’agit d’une bête flexible qui peut se réduire à Florence simplement accompagnée d’une batterie ou d’un piano, mais à l’heure actuelle il s’agit en fait d’un septuor réunissant notamment des collaborateurs de longue date comme Rob Ackroyd (guitare), Chris Hayden (batterie), Isabella Summers (clavier) et Tom Monger (harpe). “J’ai travaillé avec la plupart d’entre eux et ils connaissent mon style, ils savent comment j’écris et ce que je veux.”
Sur scène, Florence and The Machine devient une bête complètement différente. Aucun concert ne ressemble à un autre, Florence, souvent vêtue de vêtements dégotés dans une friperie quelques heures avant, semble possédée. “J’ai une sensation de liberté totale,” dit-elle. “Même si cela n’est certes pas très original, tout ce que je veux c’est toucher les gens. Pas d’une façon bizarre. Je veux juste les aider à ressentir ce que je ressens.”
jacommos Admin
Nombre de messages : 7161 Age : 61 Localisation : le Sud Date d'inscription : 22/03/2008
Sujet: Re: FLORENCE AND THE MACHINE : SA BIOGRAPHIE. Sam 20 Oct - 13:10
Florence and the Machine (ou Florence + the Machine) est le nom de scène de Florence Welch en collaboration avec d'autres musiciens[1].
Depuis le début de sa carrière, Florence and The Machine a reçu le soutien de la BBC. La chaîne a en effet joué un rôle déterminant dans l'ascension de Florence and The Machine grâce à son concept BBC Introducing[2] qui a permis au groupe de se produire au festival de Glastonbury ainsi qu'aux Reading and Leeds Festivals. Leur premier album, Lungs, est sorti le 6 juillet 2009 et est resté numéro 2 dans les charts pendant 5 semaines[3]. Leur second album Ceremonials est paru en octobre 2011.
Florence Leontine Mary Welch est née le 28 août 1986 à Londres dans le quartier de Camberwell. Elle fait ses études secondaires à l'Alleyn's School de Dulwich, à Londres. Pendant cette période, Florence joue de la guitare dans un groupe punk, The Toxic Cockroaches[5]. Elle est diagnostiquée dyslexique et est également atteinte de dysmétrie[6], elle souffre également d'insomnies[7]. Elle poursuit ensuite ses études à la Camberwell School of Art, mais abandonne rapidement pour se consacrer à la musique[7].
Enfant, Florence commence à chanter à l'église avant de se transformer selon ses termes en « une choriste qui a horriblement et désespérément mal tourné. »[8] Elle grandit en écoutant les White Stripes, son groupe préféré, ainsi que Kate Bush[3]. Ses professeurs la réprimandent souvent parce qu'elle chante sans cesse. Sa famille possède alors une collection de vinyles conservée dans un immense coffre de bois. Jeune, Florence et son père se plaisent à monter dessus puis à danser sur des morceaux de Love[9], The Incredible String Band[9], The Smiths[9] et The Velvet Underground[9]. La mère de Florence écoute Tom Jones et The Monkees[9]. Florence affirme que sa manière de chanter a été influencée par ces artistes[9]. Quand Florence atteint ses 13 ans, sa mère emménage avec son voisin et ses trois enfants. La chanteuse déclare : « On s'entend très bien maintenant, mais c'était un cauchemar à l'époque. J'avais l'habitude de rester dans ma chambre à danser »[10].
La fascination de Florence pour la terreur et les atmosphères lugubres s'intensifie après le décès de ses grands-parents à quelques années d'intervalles. À 10 ans, elle assiste à la dégradation de l'état de son grand-père, tandis que sa grand-mère, une historienne de l'art, mettra fin à ses jours 4 années plus tard[7]. Elle écrit des chansons métaphoriques, des « histoires à conséquences avec des étranges problèmes moraux ». Ses inspirations sont diverses[9],[5]. La chanson Dog Days Are Over lui a été inspirée par une installation, Kiss With A Fist parle de « donner aussi bien que tu reçois »[10].
Florence, qui s'est elle-même qualifiée de vrai geek, adore lire[3]. Depuis décembre 2008, elle vit à Camberwell, un quartier du sud de Londres.
The Machine est le groupe de Florence, constitué de plusieurs musiciens, comptant dans ses rangs Devonte Hynes du groupe Lightspeed Champion[1]. Il est actuellement composé de Robert Ackroyd à la guitare, de Christopher Lloyd Hayden à la batterie, d'Isabella Summers aux claviers et de Tom Monger à la harpe[11].
Florence and the Machine a pour manager Mairead Nash, la moitié des DJs Queens of Noize. Nash a décidé de devenir le manager du groupe quand Florence Welch, en état d'ébriété, l'a entraîné dans les toilettes dans un des night clubs de Nash, tout en lui chantant un titre d'Etta James[10].
Au début de l'année 2009, leur premier album Lungs remporte d'emblée un vif succès. Il atteint rapidement la première place des charts anglais quelques semaines après sa parution. Le disque reçoit de bonne critiques de la part de la presse spécialisée[12].
Le second album est annoncé durant l'été 2011 suite à la sortie du premier single What The Water Gave Me en août. Ceremonials paraît finalement le 31 octobre 2011. Une édition deluxe est également disponible. Les singles Shake It Out et No Light, No Light paraissent respectivement octobre et en novembre, le premier se classant à la 79ème place du Billboard Hot 100. En janvier 2012, l'album atteint la 6ème place du classement américain.
Au début de sa carrière, Florence and The Machine perce sur la scène londonienne en effectuant une série de concerts dans des endroits tels que le Lock Tavern, le Blue Flowers et le Filthy Few[13].
En 2008, Florence and The Machine participe au "Vans Warped Tour 2008". Le titre Kiss With A Fist apparaît sur la compilation Warped Tour 2008.
En 2009, Florence and The Machine participe à la tournée NME Awards. Florence décrit son spectacle comme « assez théâtral ». Elle emmène avec elle « autant de tenues bizarres que possible » et ne décide qu'au dernier moment de la tenue qu'elle portera[5].
Florence and the Machine joue dans des concerts caritatifs pour le Teenage Cancer Trust au Royal Albert Hall en mars 2009[16]. Florence and The Machine joue aussi en première partie de Blur pour leur come-back à la MEN Arena de Manchester[17].
En 2010, le groupe se produit en France au festival de Nîmes en première partie de Mika.
En 2012 dans le cadre de son Ceremonials tour, Florence and The Machine joue au Casino de Paris le 27 mars 2012, une date rapidement complète entrainant l'ajout immédiate d'une deuxième représentation le lendemain dans cette même salle. Forte est de constater que le succès parisien est au rendez-vous, le groupe annonce en mars 2012 la prolongation de leur tournée avec notamment un retour à Paris le 27 novembre 2012 mais cette fois au Zénith de Paris.
En 2009, en plus des louanges de la BBC, le groupe reçoit le soutien de la part du magazine NME qui les invite à leur Shockwaves NME Awards Tour , une tournée qui a lieu tous les ans. Florence and the Machine assurent ensuite la première partie des White Lies et des Friendly Fires. Florence apparaît en couverture de la section The Guide du journal The Guardian. Elle reçoit ensuite le Critics' Choice Award lors des Brit Awards 2009. Cette catégorie récompense les nouveaux talents et est décerné par un panel d'experts de l'industrie du disque. La chanteuse Adele se voit attribuer la récompense en 2008 et a ensuite vendu 1,2 million de copies de son album. Lors du sondage Sound of 2009 organisé par la BBC, Florence and the Machine arrive en troisième position[18].
En décembre 2011, "No light, No light" est élu "Song of the year" (chanson de l'année) par l'hebdomadaire américain Time magazine[19] qui a également attribué la deuxième place de l'album de l'année à Ceremonials[20].
Vainqueur du BRIT Award 2009 dans la catégorie Critics' Choice[21].
Troisième du Sound of 2009, un sondage organisé par la BBC au cours duquel un groupe de professionnels issus de tous les secteurs du monde de la musique votent pour le son qui va faire l'année 2009[18].
Florence and the Machine a remporté un MTV Video Music Award pour la meilleure direction artistique pour son clip "Dog Days Are Over" en septembre 2010.
Florence and the Machine a remporté deux NME awards pour la meilleure chanson avec "Shake It Out" et pour la meilleure chanteuse solo en février 2012.