topic du foot

Il est tout à fait normal d'être triste lorsque son équipe préférée se fait éliminée !

Le match de ce soir fut décevant !

Citation :

Euro 2008
LE JOURNAL DES BLEUS

Zinédine Zidane milite en faveur de son ancien coéquipier Didier Deschamps. (L'Equipe)


22/06 : ZIDANE : « DESCHAMPS LÉGITIME »

Après Robert Pires et Bixente Lizarazu, un autre ancien champion du monde, et non des moindres puisqu'il s'agit de Zinédine Zidane, a apporté son soutien à Didier Deschamps comme successeur potentiel de Raymond Domenech à la tête des Bleus. L'ancien n°10 qui s'exprimait dimanche à Vienne où il participait à une opération de promotion de son équipementier, a estimé que l'ancien capitaine de l'équipe de France «<I>serait légitime s'il prenait</I>» la suite du sélectionneur... mais sans demander le départ de ce dernier. «<I>Je ne fais pas partie des instances fédérales, Raymond Domenech sera fixé sur son sort le 3 juillet au matin. On verra bien s'il y a un nouveau sélectionneur. Celui qui pourrait le remplacer, c'est Didier Deschamps, il a toutes les qualités. Il serait légitime s'il prenait la succession</I>», a répondu Zidane à une question sur l'opportunité d'un changement à la tête de l'équipe de France après le fiasco de l'Euro.

:cheers: :cheers: :cheers: :cheers: ravie du resultat d'hier soir

j'ai entendu l'interview de zizou ce matin , mais de toute facon ila dit que bien que pour lui domenech devait partir ceux sont les instances qqui doivent en prendre la decision

apparement seul ribery serait pour le maintien de domenech

j'aimerais bien une finale allemagne russie
bien sue je ne verrais aucun ds trois derniers matches mercredi et jeudi je bosse et le week end prochain je serais chez des amis qui n'aiment pas le foot :o

autre apercu de la bataille zidane ribery

Citation :

Zidane-Ribéry, les frères ennemis !
On les a souvent comparés : pour beaucoup, Franck Ribéry est, depuis un certain temps déjà, le successeur "officiel" de Zizou en Equipe de France. L'élève qui tente de remplacer le maître ne manque d'ailleurs aucune occasion de rendre hommage à son mentor : alors que la France était bien mal embarquée dans l'Euro 2008, il avait été jusqu'à dire que si Zizou avait été là, cela aurait changé le cours des choses !Mais à l'occasion du débat suscité par l'Euro Fiasco des Bleus quant au maintien de Raymond Domenech à leur tête, les deux meneurs de jeu ne sont pas d'accord.Zinedine Zidane, qui avait un peu prématurément démis de ses fonctions le sélectionneur il y a quelques jours, en remet une couche. Et s'il se dit "un peu agacé par certains choix", le mythique numéro 10 se refuse à dire quoi que ce soit "qui puisse blesser des gens". Ce qui ne l'empêche pas de prendre position et de faire la promo de son pote Didier Deschamps — qui tient la corde pour remplacer Domenech — : "Je ne fais pas partie des instances fédérales, Raymond Domenech sera fixé sur son sort le 3 juillet, a-t-il rappelé. On verra bien s'il y a un nouveau sélectionneur. Celui qui pourrait le remplacer, c'est Didier Deschamps, il a toutes les qualités. Il serait légitime."Un avis que ne partage pas du tout Ribéry : la super-mobylette des Bleus est montée au créneau pour soutenir l'actuel sélectionneur, dont le contrat court jusqu'en 2010. "Pour moi, Domenech ne doit pas partir, a-t-il déclaré. S'il y a eu des erreurs, il n'était quand même pas tout seul. Il faut qu'il continue le travail avec ce groupe. Il y a une nouvelle génération qui arrive, avec beaucoup de qualités."Il faut avouer que si Zidane peut se permettre d'être un observateur extérieur, Franck Ribéry, qui se remet de sa blessure, doit ménager les susceptibilités : il jouera la Coupe du Monde 2010.

Aussi incroyable que cela puisse être, Domenech possède quelques soutiens parmi les joueurs !

Patrick Vierra qui ne peut pas sentir Didier Deschamps depuis l'Euro 2000!

Et Ribery dont nous savons que la reflexion est loin d'être son point fort !

Pour être plus clair grand talent avec ses pieds, mais pour le reste, tête plutôt creuse !

Et pour d'autres raisons plus politiques, comble de la CONNERIE, la fédération et son président risquent très sérieusement de conserver Domenech comme sélectionneur !

Au pays des abrutis, les imbéciles sont rois ! :cherry:

Citation :

Mercato estival 08>09 Site officiel OM.net aujourd'hui à 13h14

Accord pour le transfert de Ben Arfa
Un accord a été trouvé entre l’Olympique Lyonnais et l’OM pour le transfert définitif de Hatem Ben Arfa.
Le joueur sera dans le prochaines heures à Marseille pour y passer la traditionnelle visite médicale préalable avant la signature du contrat.

ET VIVA ESPAGNA !!!



Le football est un sport magnifique lorsqu'il est pratiqué avec talent et technicité, l'équipe d'Espagne Mérite Amplement sa victoire ce soir dans cette finale, qu'elle a dominé d'abord techniquement par son football superbe, digne héritière des grands seigneurs espagnols que sont le Réal de Madrid et surtout à l'image du football offensif pratiqué par le Barcelone Football club et ensuite, bien sur, tactiquement et physiquement !

Dans le beau football, ce ne sont pas les joueurs qui courent vite, mais c'est le ballon qui se déplace comme l'éclair et qui virevolte des pieds des joueurs !

Citation :

Et l'Espagne conquit l'Europe (29/06/2008 23:04France Football)


Quarante-quatre ans après son seul titre international, l'Espagne renoue avec la victoire en succédant à la Grèce. La Seleccion a battu à Vienne, en finale de l'Euro, l'Allemagne (1-0) grâce à Fernando Torres. Enfin, la sélection ibère brille et gagne. (Photo Presse-Sports)

« Por fin » (Enfin). L'exclamation a dû retentir dans toute l'Espagne. Cri de joie, cri du coeur, cri d'une fin de malédiction. Celle qui a longtemps privé la Seleccion d'un titre pendant 44 ans. Et la Roja n'a jamais autant mérité de remporter l'Euro que cette année. La meilleure équipe du tournoi s'est adjugé la Coupe et la dernière marche a été tout aussi belle que les cinq qui lui ont permis d'être aujourd'hui sur le toit de l'Europe. Les finales des grandes compétitions ont l'habitude d'être fermées. Celle-ci a été vivante, rythmée, intense. De bout en bout. Le seul regret aura été de n'avoir pas vu plus de buts alors qu'il y avait de la place. La faute, sans doute, aux Espagnols, qui n'ont jamais su concrétiser leurs multiples occasions.

La bonne entame est pourtant allemande. Ballack et les siens quadrillent bien le terrain et gênent les Espagnols, incapables de se trouver au-delà de leur zone. Le jour de récupération de plus des hommes de Löw semble déjà les avantager, tellement leurs courses et leur impact physique dominent les Espagnols. Mais la première action de la Seleccion, à l'orée du premier quart d'heure, faillit punir la tranquillité allemande. Sur un contre conclu par un tir d'Iniesta, Metzelder manque de tromper son gardien (14e). Cette action aura le don de lancer définitivement l'Espagne. Six minutes plus tard, Torres trouve le bas du poteau de Lehmann. Dès lors, la Roja retrouve son jeu, Xavi, sa vista, et Torres, sa vivacité. Le premier lance le second en profondeur, celui-ci profite d'une erreur de Lahm, pour tromper Lehmann, en bout de course, d'une pichenette (34e). L'Allemagne est K.-O. à l'image de son capitaine Michael Ballack, très nerveux et coupable de multiples fautes. Ballack le maudit sentait-il déjà que la messe était dite ?
Les nouveaux conquistadors

En tous cas l'Espagne, désormais devant, est à l'aise pour gérer son avantage, guettant le bon moment pour se mettre à l'abri. Face à une Allemagne revenue des vestiaires toujours choquée par le but encaissé (le principal responsable, Lahm, est sorti à la mi-temps), les hommes d'Aragones se contentent d'être bien en place. La Nationalmannschaft doit ainsi profiter d'une erreur de Puyol, qui aboutit à une frappe de Ballack au ras du poteau de Casillas (59e), pour revenir dans le match. La rentrée de Kuranyi à la place d'Hitzlspelger (57e) redonne vie à l'attaque allemande pour quelques petites minutes. Car si cette Espagne est arrivée en finale, c'est parce qu'elle ne ressemble point à ses devancières. Celles qui jouaient bien, mais qui n'arrivaient jamais à gérer les grands rendez-vous. Dans l'arène de Vienne, la Roja a joué les toreros avec le taureau allemand. Instaurant un faux-rythme, apte à anesthésier la volonté allemande, et propice au lancement de ses banderilles. Ramos (67e), Iniesta (68e) et Senna (80e) manquent ainsi de donner le coup de grâce à une Allemagne qui n'arrive plus à s'approcher des cages de Casillas. L'Espagne a fait l'essentiel en première mi-temps, elle n'aura pas le temps de trembler en seconde. Cette finale et ce tournoi, elle les a fait siens depuis longtemps. La bande des Torres, Xavi et Villa succède à celle de Suarez, Pereda et Marcelino, conquistadors d'une époque où l'Euro se jouait à quatre. A l'aube d'un élargissement à 24 équipes, les nouveaux conquistadors trônent fièrement sur une Europe des seize comme des Grands d'Espagne.
Ndiasse Sambe

Toute l'Espagne jubile




Les Espagnols éclatent de joie à Madrid, après la victoire de la sélection
iker casillas
Les Moscovites privés de vodka pour la demi-finale
Un Italien en finale, un Espagnol sur trois devant sa télé

Les Espagnols ont investi les rues du pays entier pour célébrer la victoire de la sélection en finale de l'Euro face à l'Espagne.

Une explosion de joie a accueilli dimanche soir dans toute l'Espagne la victoire de la Roja contre l'Allemagne (1-0) en finale de l'Euro-2008 à Vienne, son premier titre majeur depuis 44 ans et le deuxième de son histoire. Les cris de "Campeon ! Campeon !" (Champion!) et de "Viva España !" ont immédiatement retenti, accompagnés de pétards et de coups de klaxons sur toutes les places et dans tous les bars du pays, où des centaines de milliers d'Espagnols s'étaient rassemblés pour suivre le match de la Roja sur écrans géants.

Une "marée rouge" de drapeaux et de maillots sang et or s'est répandue dans le centre de Madrid, où les supporteurs rassemblés sur la Place de Colon ont commencé notamment à se diriger vers la place emblématique de Cibeles, là où le Real Madrid a l'habitude de fêter ses titres. Une longue soirée de célébrations a commencé, qui sera suivie lundi soir d'un accueil triomphal de l'équipe espagnole au centre de Madrid.

"C'est une victoire de l'équipe, de toute l'Espagne"

"On est enfin champion ! Iker (Casillas) et Torres ont été les meilleurs", estimait Rocio, une jeune supportrice enthousiaste de l'équipe espagnole. "C'est incroyable !", s'est exclamé Alvaro, 17 ans, l'un des nombreux jeunes manifestant leur joie au centre de Madrid. "Nous sommes les meilleurs. Maintenant, nous sommes prêts à gagner la Coupe du monde (en 2010 en Afrique du Sud)", a clamé Joaquin, 48 ans, venu de Salamanque avec sa famille pour le week-end à Madrid.

Tous les commentateurs des médias audiovisuels espagnols estimaient dimanche soir que la victoire de la Roja devant l'Allemagne était amplement méritée et aurait dû être plus large. "Nous avons bien travaillé, nous avons bien fait les choses, nous avons gagné, point final", a déclaré le sélectionneur espagnol Luis Aragones dans une première réaction à la chaîne de télévision Cuatro. "Nous sommes conscients de ce que nous avons obtenu, c'est une immense joie", a déclaré pour sa part Iker Casillas, toujours à la Cuatro. "Je suis content, c'est une victoire de l'équipe, de toute l'Espagne", a estimé pour sa part Fernando Torres, auteur du but de la victoire espagnole à la 33e minute du match.

D'après agence

Source : YahooFrance Sport

Citation :

Malgré l'échec de l'Euro, le Conseil Fédéral de la FFF a décidé de maintenir Raymond Domenech mais sous certaines conditions. Sur 19 votants, 18 ont apporté leur soutien au sélectionneur de l'équipe de France pour préparer la Coupe du monde 2010.

Le nouveau sélectionneur de l'équipe de France sera donc... Raymond Domenech. Malgré l'impressionnante campagne à laquelle il a dû faire face, en particulier de la part des champions du monde 98, il a donc résisté à la déception du 17 juin dernier. Sorti sans gloire dès le premier tour de l'Euro (2 défaites, 1 nul, 6 buts encaissés, 1 but marqué), l'ancien patron des Espoirs, en poste depuis juillet 2004, n'en sortira toutefois pas indemne. Si 18 des 19 votants (1 abstention) lui ont apporté leur soutien, le président de la FFF Jean-Pierre Escalettes a choisi le maintien "pour préparer le Mondial 2010, en redéfinissant les conditions d'exercice de sa mission et les modalités de gestion de la sélection nationale".

Jean-Pierre Escalettes, appuyé par Aimé Jacquet, Gérard Houllier, Noël Le Graët, a visiblement usé de son influence pour faire passer ses idées et convaincre notamment le monde amateur, particulièrement critique. "La solution la plus courageuse n'est pas celle de suivre l'opinion publique ou celle des médias", s'est-il justifié. "Si on allait chercher quelqu'un d'autre, il y aurait eu une période de tâtonnement". Pourtant, le patron de la Fédération a stigmatisé un "échec retentissant, pas très glorieux, sur le plan sportif, et plus grave peut-être, sur le plan de la dégradation de l'image de l'équipe de France". "Pour les responsabilités, il y a en premier lieu le sélectionneur, a-t-il poursuivi. Il s'est isolé, et il nous l'a expliqué. Il a reconnu toute une série d'erreurs. Il faut donc immédiatement trouver les moyens d'y apporter des remèdes".

Un Club France 2010

Parmi les principaux griefs à l'encontre de Domenech, Escalettes a mis en cause une "communication par moments désastreuse car trop personnalisée". L'équipe de France devrait donc entamer une grande campagne d'ouverture et de séduction. "Il faut que ça change. Raymond a demandé à s'appuyer sur les services fédéraux et que le président s'implique davantage. Il n'a qu'une mission : le terrain, et rien que le terrain. Il va communiquer sur l'équipe de France et pas sur ses états d'âme" , a annoncé le président. Les joueurs, eux, devront également se montrer plus disponibles et se rapprocher du public une "charte" de communication qu'ils devront signer.

Autour de Domenech, les visages vont également changer. Ses adjoints d'abord. Le staff médical, mis en cause après la blessure de Patrick Vieira, pourrait suivre après un audit dirigé par Gérard Houllier. Un comité de gestion de la sélection (le Club France 2010) ainsi qu'un responsable administratif et financier vont aussi l'encadrer. Concernant le Club France 2010, il s'agira d'un groupe "composé des deux présidents (LFP et FFF), du sélectionneur et du DTN ainsi que des représentants du monde professionnel" et chargé de vérifier la mise en place de ses nouvelles mesures. En d'autres termes, c'est une mise sous tutelle et la fin des pleins pouvoirs du sélectionneur au sein de l'équipe de France.

"Le sélectionneur a accepté toutes ces modifications" , a assuré Jean-Pierre Escalettes. Mais Domenech sait qu'il sera désormais jugé sur le terrain. Concrètement, il devra fournir des résultats sur le court-terme. Pas de contrat d'objectif mais un "contrat moral" sous la forme d'un premier bilan qui sera effectué mi-octobre après les trois premiers matches des éliminatoires. Outre les résultats, seront jugés l'ouverture et le style de l'équipe de France. Heureusement pour lui, le sélectionneur peut toujours compter sur le soutien de nombreux joueurs. Ribéry, Vieira, Benzema, Sagnol, Diarra, Govou, Mandanda ou même Ben Arfa, s'étaient déjà exprimés en sa faveur. Mais, pour changer, l'équipe de France devra s'ouvrir, aller de l'avant et séduire. On saura alors si la FFF a fait le bon choix....

Anthony PROCUREUR / Eurosport

Ce maintient représente avant toute chose la victoire de l'incompétence !!!

Certes, celle d'un sélectionneur qui n'a jamais rien gagné, à part un titre de champion de division 2 avec Lyon , mais aussi celle d'une fédération qui préfère maintenir un incompétent pour des raisons politiques, mais aussi pour cloisonner et affirmer son pouvoir à la fédération au détriment de la réussite de l'équipe de France !

Avec ce maintient, le football français fait vraiment figure de Charlot surtout vis à vis de tous les autres pays européens !

Ridicule nous le fumes durant l'euro avec l'équipe de France et les frasques de son sélectionneur, ridicule nous le sommes avec la décision de la fédération et de son président, ridicule nous le seront dans un proche avenir avec les futurs matchs !!! :joker:

Nous verrons bien............



WAIT AND SEE

degoutée du maintien de cet homme a la tete de l'equipe de france et maintenant qu'il garde son poste il va se charger de ne plus retenir les joueurs qui ont oser parler contre lui

voici l'éffectif 2008/2009 du losc (mon équipe préféré )




cette saison le losc va etre 1er Coupet est plus a Lyon :cheers: (youpi )


allez le losc

ou l'om
il son trop nul

allez le Losc

Source : L'équipe.fr

LIGUE 1
1re journée
2008-2009

C'EST REPARTI POUR UN TOUR

Par Bruno RODRIGUES
Après
deux mois et demi de coupure, la Ligue 1 reprend ses droits samedi soir
(21h00). Marseille va tester son impressionnante puissance offensive à
Rennes. Bordeaux, autre prétendant sérieux au titre, accueille Caen,
alors que le nouveau Paris-SG se rend à Monaco. Dimanche (21h00), le
septuple champion de France lyonnais reçoit Toulouse.


Hatem Ben Arfa devrait être le dynamiteur de l'attaque marseillaise. (L'Equipe)

Marseille et Bordeaux, candidats déclarésCette
fois, la donne pourrait bien avoir enfin changé. Après avoir pris la
fâcheuse habitude de regarder derrière lui depuis sept longues années,
Lyon va peut-être devoir apprendre à regarder devant. Marseille
et Bordeaux, respectivement troisième et deuxième du précédent
exercice, ont chacun à leur façon su renforcer cet été un groupe déjà
prometteur. L'OM, qui possédait l'an passé avec Cissé et Niang la paire
d'attaquants la plus rentable de l'élite, lui a adjoint les services du
feu-follet niçois Bakari Koné et du très prometteur Hatem Ben Arfa. Un
quatuor offensif qui devrait en théorie semer la terreur dans pas mal
de défenses cette saison. Rennes, dont l'effectif a mis bien du
temps à se dessiner, pourrait déjà faire les frais de l'énorme ambition
olympienne. Les Bretons ne pourront compter sur Jimmy Briand et Lucien
Aubey mais ils profiteront de leur recrue offensive Gyan Asamoah alors
que l'ancien Lensois Kader Mangane devrait débuter sur le banc. Bordeaux,
de son côté, a mis toutes les chances de son côté pour tenter de
rivaliser avec l'insatiable ogre lyonnais : un recrutement limité en
nombre mais aussi précieux que ciblé avec un joyau en devenir
(Gourcuff), un joueur de caractère (Placente) et un autre qui a toutes
les chances d'éclater (Gouffran). Ce dernier retrouvera d'ailleurs à
Chaban-Delmas son ancienne formation, Caen, qui tentera
d'éviter le début de saison cauchemardesque qu'il avait vécu l'an
passé. Steve Savidan, arrivé de Valenciennes, tentera de l'y aider.

Le Paris-SG en outsiderDerrière les deux candidats aux dents longues, le Paris-SG
nouvelle version pourrait bien avoir son mot à dire. Traumatisés par
les deux dernières saisons du club, passé à chaque fois tout près de la
relégation, les dirigeants parisiens ont enfin décidé de passer la
vitesse supérieure. Même si Stéphane Sessègnon (suspendu) fera défaut
sur la pelouse de Monaco, Paul Le Guen devrait titulariser
Ludovic Giuly et peut-être même Claude Makelele, ses deux recrues
phares. En attendant l'arrivée d'un attaquant (Kezman ?) et d'un
défenseur central, il fera également confiance aux jeunes Guillaume
Hoarau (meilleur buteur de L2 la saison passée) et Mamadou Sakho pour
tenter de lancer sa saison du mieux possible, et éviter ainsi de se
replonger dans une certaine psychose. Monaco, de son côté, qui semble
plus que jamais naviguer en eaux troubles (Piquionne, Monsoreau ou
encore Bolivar sont partis), ne cherchera finalement qu'à se rassurer
avec notamment l'attraction américaine Freddy Adu, actuellement aux
Jeux Olympiques. Saint-Etienne, qui retrouve cette saison la
Coupe d'Europe après 26 ans de disette, tentera également de jouer les
troubles-fête avec les Matsui, Grax et autre Monsoreau. Le voyage à Valenciennes, où Kombouaré a pris l'habitude de faire déjouer bien des pronostics, devrait servir de premier révélateur.
Nancy à l'affûtNancy,
malheureux quatrième du dernier exercice, espère confirmer son
excellente saison, qui l'a vu décrocher le meilleur classement de son
histoire. Reste à savoir si les arrivées de Calvé ou Ouaddou suffiront
à combler le manque créé par les départs de Kim et Puygrenier. Premier
élément de réponse contre le nouveau Lille de Rudy Garcia. Le Mans,
dépouillé cet été (Matsui, Romaric, Sessègnon, Yebda, De Melo,
Calvé...) va essayer de justifier sa prise de risques (arrivée des
méconnus Helstad et Stromstad) face à une équipe de Lorient très peu retouchée. Les trois promus, Nantes, Grenoble et Le Havre,
vont eux passer un test grandeur nature. Les Canaris, qui ont réussi
l'un des plus beaux coups de l'été en enrôlant le Croate Ivan Klasnic,
s'en vont défier Auxerre, à la défense remodelée. Grenoble, avec ses nouveaux vieux briscards (Jemmali, Batlles, Courtois ou encore Moreira...) rend visite à Sochaux alors que Le Havre reçoit Nice, qui devra apprendre à exister offensivement sans Koné ni Laslandes. Enfin, le Lyon version Claude Puel tentera dimanche face à Toulouse d'envoyer un message fort à tous ceux qui espérent le détrôner et briser ainsi ses rêves de grand huit.

déféte du losc a domicile face a le man 1-3
mais c'est normal Miralss n'est pas l'a

( il au JO avec la belgique qui c'est qualifié pour les demi-finale face a l'italie 3-2 :cheers: )

le Losc est mal parti mais ce n'est pas grave..Il suffit de bien arriver..

Rappelle-toi le départ catastrophique de l'OM, la saison dernière, cela ne l'a pas empêché de finir ....3ème ce qui leur vaut de jouer la phase préliminaire de "LA Coupe aux grandes oreilles" :cheers:

je n'ai pas pu avoir de place pour le match es merlus contre lyon tout etait complet depuius longtemps , mai sj esuis ravie que nis petits merlus ai tenu la dragée haute au lyonnais

dece du debut de saisn de mes chouchous de nantes j'espere qu'ils vont vite se ratttraper

L'équipe.fr

Citation :

LIGUE 1

3e journée

Saison 2008-2009


samedi 23 août 2008dimanche 24 août 2008

19h00	Le Havre (8)	0-1	Marseille (2)	Confrontations
	Monaco (4)	1-1	Caen (6)	Confrontations
	Valenciennes (13)	3-1	Lorient (5)	Confrontations
	Le Mans (7)	1-0	Saint-Etienne (9)	Confrontations
	Sochaux (20)	1-1	Paris-SG (12)	Confrontations
	Nancy (18)	0-0	Toulouse (14)	Confrontations
21h00	Lyon (3)	2-0	Grenoble (1)	Confrontations
16h00	Auxerre (15)	0-1	Nice (11)	Confrontations
	Rennes (16)	2-1	Lille (19)	Confrontations
21h00	Bordeaux (10)	-	Nantes (17)	Confrontation

CLASSEMENTS

Général Domicile Extérieur Buteurs Passeurs Fair-Play

Equipe Pts J. G. N. P. p. c. Diff.

1	Marseille	7	3	2	1	0	9	4	5
2	Lyon	7	3	2	1	0	5	0	5
3	Le Mans	6	3	2	0	1	4	2	2
4	Valenciennes	6	3	2	0	1	5	4	1
5	Nice	6	3	2	0	1	3	2	1
6	Grenoble	6	3	2	0	1	3	3	0
7	Monaco	5	3	1	2	0	3	2	1
8	Caen	4	3	1	1	1	5	4	1
9	Rennes	4	3	1	1	1	6	6	0
10	Paris-SG	4	3	1	1	1	2	2	0
11	Lorient	4	3	1	1	1	2	3	-1
12	Toulouse	4	3	1	1	1	2	4	-2
13	Bordeaux	3	2	1	0	1	2	2	0
14	Le Havre	3	3	1	0	2	2	3	-1
15	Saint-Etienne	3	3	1	0	2	2	3	-1
16	Auxerre	3	3	1	0	2	2	6	-4
17	Nancy	2	3	0	2	1	1	2	-1
18	Nantes	1	2	0	1	1	2	3	-1
19	Sochaux	1	3	0	1	2	3	5	-2
20	Lille	1	3	0	1	2	2	5	-3

Citation :

EQUIPE DE FRANCE
Autriche - France : (3-1), Qualifications Coupe du monde 2010
2008-2009



LES RUINES FUMENT ENCORE
Par Cédric ROUQUETTE, à Vienne

Collectivement à la dérive, l'équipe de France a été battue en Autriche (1-3) lors de son premier match de qualifications vers la Coupe du monde 2010. Raymond Domenech ne survivrait pas à une absence de réaction mercredi contre la Serbie.
Une soirée cauchemardesque pour Karim Benzema, Thierry Henry et Lassana Diarra. (L'Eq.)



Encore pris au piège des coups de pied arrêtés

Il y a ce que dit l'histoire : la France ne s'est jamais qualifiée pour une Coupe du monde après avoir perdu son premier match des éliminatoires, ni en 1968 (0-1 contre la Norvège), ni en 1992 (0-2 contre la Bulgarie). Il y a surtout ce que dit le terrain. Sa vérité a été confondante, samedi à Vienne, où les Bleus ont été battus par l'Autriche, sa cent-unième place au classement FIFA et ses «pieds carrés» (Mexès) (1-3). Il fallait oublier l'Euro. Sur la pelouse où l'Espagne avait régalé, l'équipe de France a fait pire que se rappeler à son mauvais souvenir : elle a poursuivi sa dérive, à toutes enjambées, n'offrant rien qui puisse la sauver du désastre à part une détermination séquentielle et désordonnée. Contre la Roumanie (0-0), elle s'était cachée derrière sa présumée solidité défensive. Contre les Pays-Bas (1-4), derrière son nombre d'occasions. Contre l'Italie (0-2), derrière l'expulsion d'Abidal. Il n'y a presque plus d'argument aujourd'hui. L'Autriche a terrassé les Bleus sur deux longs coups de pied arrêtés lancés dans le tas, déviés de façon heureuse par Janko (8e) puis Afhauser (41e), joueurs patauds mais pas suffisamment pour ne pas gagner leur duel devant Mexès puis Gallas. Le même genre de buts que celui de France - Sénégal à la Coupe du monde 2002 (0-1), en stéréo cette fois. Le même genre de buts, surtout, que la France encaisse à foison depuis des années. LE danger dont elle était prévenue.

A l'heure où, revenue à 1-2, elle espérait se relancer dans un système en 3-2-3-2 avec Gourcuff à la baguette, un penalty indiscutable provoqué par une ceinture de Mexès sur Harnik a clos l'affaire (but d'Ivanschitz, 71e). Manquer de réussite à ce point n'est pas facile à admettre. C'est peut-être ce qu'a pensé Evra lorsqu'il a vu son centre dévié par Prödl sur la transversale (15e). Mais manquer de tout le reste du temps n'est pas le fruit du hasard. C'est le résultat d'une vacuité de projet dont la responsabilité incombe forcément au leader survivant de cette équipe, Raymond Domenech, sur lequel l'étau se resserre de jour en jour. Même la plus élémentaire solidité défensive - son vieux fonds de commerce - a été noyée dans le tourbillon de l'échec. Les Français restent sur onze buts encaissés en quatre rencontres : c'est encore plus que Nantes, l'équipe malade de la Ligue 1 (neuf). Il n'a fallu que quelques minutes pour observer une équipe désarticulée, étirée, sans la moindre consistance collective, incapable d'opposer une réponse cohérente à une équipe lente mais organisée, décomplexée et portée par la foule. Scènes vues en quelques secondes au coeur de la première période : l'équivalent d'une steppe russe abandonnée au milieu aux pauvres Toulalan et Diarra ; puis Gallas, Mexès et Evra se marchant dessus pour le même ballon... Toulalan est redevenu ce que Claude Puel ne veut plus voir à Lyon : un marathonien qui joue arrière droit et arrière gauche en même temps.

La qualification est déjà menacée

Offensivement, en dehors de quelques séquences de jeu court, habiles mais assez loin du but, ce fut une collection de tentatives individuelles. Certaines auraient pu sauver les apparences : Toulalan a vu sa frappe très pure repoussée sur l'équerre par Manninger (65e). Si ça passait, ça faisait 2-2. Govou avait inscrit son troisième but en deux matches cinq minutes plus tôt (61e, sur un centre d'Evra) et l'Autriche cherchait alors sa respiration. Elle finirait pourtant par aller au bout de son rêve. De la tribune où il était relégué, Malouda a dû penser à la même chose que Jean-Pierre Escalettes et tous les décideurs fédéraux : les cas individuels sont devenus anecdotiques dans le groupe déboussolé qu'est désormais l'équipe de France. Ce qui ne s'était pas produit grâce au retour des anciens en 2004-2005 pend désormais au nez du football français : quelques années de disette telles que celles qui avaient suivi la Coupe du monde 1986. A l'époque, cela avait coûté deux phases finales de Mondial. Celle de 2010 est déjà menacée. Si les Bleus ne corrigent pas franchement leur affaire mercredi contre la Serbie, ils deviendront outsiders dans ce groupe pourtant moyen. Encore faudra-t-il y arriver. Vu d'où ils partent, ce serait une divine surprise.

Une soirée cauchemardesque pour Karim Benzema, Thierry Henry et Lassana Diarra. (L'Eq.)

Suite à la défaite "Glorieuse de l'Equipe de France" :lol: :lol:

J'ai entendu parler d'un truc pour remettre les gens au boulot.....ah oui...le RSA(Remuer Son Arriere Train)

ça a remplacé le (RMI)(Reste Majoritairement Immobile) :lol: .....c'est inventé par ....

.....(l'UMP)USINE A MERDIER PROFESSIONNEL :lol: :lol:


Vrai de vrai!

arfffffffffff Certains joueurs n'ont rien à faire en équipe de France. Mais que fait donc le sélectionneur"?

pitoyable cette defaite et dire que l'autriche n'avait pas battu :la france depuis 38 ans
le selectionneur est un nul il priviligie ses cchouchou au joueur de qualite a cette allure la france ne participera pas au prochain mondial

de certains arbitres


Ce sont des rigolos qui ne méritent même pas d'arbitrer des équipes de district...

Je pense aux arbitres du match Lyon-Nice ( qui a accordé un pénalty tout à fait imaginaire à Lyon , à 1mn de la fin du match. - Lyon a gagné - ) et à celui du match qui se déroule actuellement à .....Paris ( )


et Mr Vessière dit que si on sifffle pénalty pour PARIS, ici, l'arbitre aurait dû aussi siffler un péno pour l'OM, hier, ce qu'il n'a pas fait ...

chercher l'erreur..


Ben, l'un concerne PSG , l'autre concerne l'OM

nantes a perdu

manue5610 a écrit:

nantes a perdu

les arbitres en ont que pour.......Lyon et...........PSG

Tu es pour ........Paris et Lyon, Gilou?