Les Discutailleurs fans de musique... Nous sommes des Fans de Musique, de Poésie, de peinture... ouverts à la diversité immense que nous proposent tous les arts majeurs |
"La voix de Nolwenn ? une élégance souveraine, de la soie, du velours." Patrice Demailly. - - - - "Le talent sans génie est peu de chose. Le génie sans talent n'est rien" Valery. |
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| Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger | |
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Auteur | Message |
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Gilou Admin
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| | | | claudia
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| | | | Gilou Admin
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| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mar 9 Mar - 14:54 | |
| Pour l'instant 18 concerts de prévus pour Olivia
Concert Le Havre Les Docks
Demain 10 mars à 20:00 Concert Equeurdreville
Espace Agora samedi 13 mars, à 20:00
Concert Wroclaw (Pologne) Théâtre
lundi 15 mars, à 20:00 Concert Hervé (Belgique)
Belzik Festival vendredi 19 mars, à 20:00
Concert Brive Parc des Expositions
vendredi 26 mars, à 20:00 Concert Argelès
Salle Polyvalente samedi 27 mars, à 20:00
Concert Montélimar Espace Mistral
jeudi 1 avril, à 20:00 Concert Istres
Usine vendredi 2 avril, à 20:00
Concert La Défense Festival Chorus des Hauts de Seine
samedi 3 avril, à 00:00
Printemps de Bourges Le Phénix jeudi 15 avril, à 19:00 | |
| | | Gilou Admin
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| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mer 10 Mar - 7:27 | |
| - Citation :
- Geris Date : 10/03/2010 08:13 - Titre : concert a caen au cargo le 04/03/2010
superbe concert , bravo à olivia et ses musiciens pleins de talents avec la diversité d'instruments possble et inimaginable (passer de la guitare electrique au trombone) quelle energie pour une petit bout de femme 1 h30 de spectacle et 30 minutes de rappel. Que certains artistes en prennent de la graine. a bientot a caen l | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mer 10 Mar - 9:01 | |
| 30 minutes de rappel ! ça laisse rêveur.... bravo à elle, en tous cas ! |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Date d'inscription : 22/03/2008
| | | | moal
Nombre de messages : 173 Date d'inscription : 23/02/2010
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Sam 8 Mai - 14:25 | |
| Super olivia simple naturelle qui ne pete pas plus haut que son cul qui ne renie pas ses racines pour des euros elle est charmante notre petite olvia | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Ven 21 Mai - 15:52 | |
| Concert à NIMES La Maison Carrée Le 23/05/10 à 22:00 heures Entrée : Entrée gratuite |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Lun 24 Mai - 17:30 | |
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| | | jacommos Admin
Nombre de messages : 7161 Age : 61 Localisation : le Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| | | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Lun 24 Mai - 18:59 | |
| En tous cas , elle enflamme bien , elle se donne vraiment à son public....Bravo à elle.
Merci Serge. | |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mar 10 Aoû - 11:24 | |
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| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Ven 13 Aoû - 9:10 | |
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| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mar 17 Aoû - 10:34 | |
| Olivia Ruiz : son premier rôle au cinéma 2010-07-21T08:26:00+0200 21-07-2010 - 08h26 | La chanteuse fera ses premiers pas à l'écran dès l'année prochaine, dans une comédie de Martin Valente ( Fragile(s) ), intitulée Le père de ma fille . Pour son premier rôle au cinéma, Olivia Ruiz aurait pu tomber bien pire. Elle sera à l'affiche du Père de ma fille, et rejoint pour l'occasion un casting prestigieux. Elle jouera au coté de Gérard Jugnot et François Berléand . Le film racontera l'histoire de deux hommes, l'un riche et hautain, l'autre, pauvre et porté sur l'alcool. Les deux personnages sont chacun persuadés d'être le père de Chloé, interprétée par la jeune chanteuse. Ils partent tous les deux à sa recherche, mais découvrent que la jeune fille s'est trouvé un père de substitution, interprété par l'acteur anglo-américain Jamie Bamber , que l'on a vu dans la série Londres police judicaire (on se demande bien d'ailleurs ce qu'il vient faire ici, mais quand on voit l'acteur, on comprend pourquoi Olivia l'a choisit en substitut à Jugnot et Berléand) C'est sous la direction de Martin Valente que l'actrice en herbe débutera. Le réalisateur en profitera pour retrouver François Berléand, avec lesquels il avait déjà tourné Fragile(s). On souhaite à la 'femme chocolat' de réussir dans ce nouveau projet, et d'être à la hauteur des deux acteurs charismatiques du cinéma français. Mais étant donné qu'elle a réussi à survivre plus de 6 mois en sortant de la Star Academy, et surtout à s'imposer dans la chanson française, on sait déjà qu'elle sait relever de grands challenges | |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mar 17 Aoû - 10:40 | |
| http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Video/INTERVIEW-Olivia-Ruiz-et-sa-premiere-experience-de-doublage/(gid)/2388256INTERVIEW - Olivia Ruiz et sa première expérience de doublage ! 2010-08-11T17:36:00+0200 11-08-2010 - 17h36 | Elle est la voix de Shelly dans Le Voyage extraordinaire de Samy . La jeune chanteuse Olivia Ruiz nous parle de sa première expérience de doublage sur le film d'animation de Ben Stassen et évoque ses influences cinématographiques. Shelly est la jolie ne tortue intrépide dont le petit Samy tombe amoureux à peine sorti de l'œuf. La vie les séparera pour mieux les réunir dans ce dessin animé qui nous plonge au cœur de l'océan, de ses beautés et de ses dangers, en compagnie des voix d' Olivia Ruiz Olivia Ruiz , élue interprète de l'année 2010 aux victoires de la musique, continue sa percée dans le 7ème art. Il y a quelques mois, elle révélait à Première.fr qu'elle doublerait le personnage de Miss Acacia dans l'adaptation sur grand écran de La Mécanique du coeur , un roman écrit par son compagnon Mathieu Malzieu (qui donna déjà lieu à un album entier, du groupe Dionysos, dont l'écrivain est aussi le chanteur-compositeur). Avant cela, la Femme Chocolat a doublé une tortue de mer dans le film d'animation en 3D : Voyage extraordinaire de Samy . Le projet, signé Ben Stassen (réalisateur de Fly Me to the Moon , passionné par l'Imax ) et qui a pour toile de fond le réchauffement climatique, sortira sur les écrans le 11 août prochain. | |
| | | claudia
Nombre de messages : 9072 Age : 76 Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mar 17 Aoû - 11:54 | |
| Elle ne rechigne à rien, la petite; c'est tout à son avantage et à son honneur; elle a bien raison. Il faut battre le fer tant qu'il est chaud. | |
| | | Invité Invité
| | | | claudia
Nombre de messages : 9072 Age : 76 Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mar 17 Aoû - 15:20 | |
| C'est clair que ce serait mieux pour son image. | |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mer 18 Aoû - 19:58 | |
| FESTIVAL TRENET
Centre Ville Concert Jeudi, 26 Août, 2010 (Toute la journée) Vendredi, 27 Août, 2010 (Toute la journée) Samedi, 28 Août, 2010 (Toute la journée) Pour la troisième année consécutive la Ville de Narbonne s’associe aux Editions Raoul Breton, dirigées par Gérard Davoust et son équipe, dans un partenariat actif autour du Festival Trenet. Les mêmes éditions détenues depuis 1995 par… Charles Aznavour, qui a accepté d’être le parrain du Festival Trenet et honorera la Ville de Narbonne de sa présence.
Quand un mythe de la chanson Française vient rendre hommage à l’un de ses pères fondateurs… Une formidable marque de reconnaissance pour ce désormais incontournable Festival dédié à la chanson Francophone.
PROGRAMME
Soirée d'ouverture du Festival Trenet au Château de Montplaisir - Narbonne Jeudi 26 Août 2010 avec Michel Fuguain
Vendredi 27 Août 2010 - Espace Contemporain à 20h30 Le Prix Sacem / Trenet ACI de la Chanson Francophone 5 Finalistes qui essaieront de plaire au jury d'exception de cette troisième édition présentée par Laurent Boyer
A 22h Concert exceptionnel avec Olivia Ruiz
Samedi 28 Août 2010 - Espace Contemporain à 20h00 Première Partie avec le lauréat du Prix / Sacem 2009 : Narcixxx
21h00 : Le Grand Orchestre de René Coll | |
| | | claudia
Nombre de messages : 9072 Age : 76 Date d'inscription : 22/03/2008
| | | | Gilou Admin
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| | | | Gilou Admin
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| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Jeu 19 Aoû - 6:58 | |
| NARBONNE Édition du mercredi 18 août 2010 Photo L. T. (Sud Ouest) Narbonne. CinémaPremiers pas devant la caméra pour Olivia RuizRAPPEL : Olivia Ruiz a entamé à Bordeaux le tournage de son premier long métrage : Le Père de ma fille Les inconditionnels et les plus impatients doivent pour l'heure faire appel à leur délirante imagination. C'est sous les traits d'une tortue qu'ils doivent pour l'instant se contenter d'apprécier les performances d'Olivia Ruiz sur grand écran. Depuis le 11 août, la "femme chocolat" prête sa voix à Shelly, un des personnages du Voyage extraordinaire de Samy, film d'animation en 3D contant les aventures d'une tortue de mer confrontée au réchauffement climatique. Pour la voir en chair et en os dans les salles obscures, les fans devront attendre 2011. Mais c'est bien en ce début août que la chanteuse audoise a entamé sa première aventure cinématographique. Direction Bordeaux pour le tournage des premières scènes du long métrage Le père de ma fille, réalisé par Martin Valente. Au programme, des scènes dans le centre historique, de Saint-Pierre aux Chartrons, mais aussi un plan sur l'esplanade des Quinconces récemment classée au patrimoine mondial de l'Unesco, comme Carcassonne, sa ville natale. Son rôle, celui de Chloé, une jeune fille sur le point de se marier et que vont retrouver deux hommes persuadés d'être son père. Dans ces rôles de prétendants paternels, deux prestigieux parrains pour les premiers pas au cinéma de la double lauréate 2010 des Victoires de la musique : avec Gérard Jugnot et François Berléand, Olivia Ruiz pouvait imaginer pire compagnie pour se lancer dans le 7 e art, alors que dès 2007 bruissaient les rumeurs d'une première tentative. Les forums et autres blogs l'envoyaient alors sur le tournage de J'ai mis mon coeur dans ces roses, d'Armand Lameloise, aux côtés de François Hadji-Lazaro. Projet mort-né, puisque c'est ensuite l'improbable duo Stomy Bugsy / Arielle Dombasle qui apparaissait à l'affiche de cet ovni cinématographique, porté disparu des écrans. Avec Le père de ma fille, Olivia Ruiz vit clairement un projet d'une tout autre portée.
Et s'offre au passage un été marathon, entre tournage et concerts. Car la jeune femme, tout juste trentenaire, ne se contente pas de découvrir les plateaux.
A peine Bordeaux quitté le 5 août, elle ralliait Crozon, dans le Finistère, et son Festival du bout du monde. Périlleux et usant jonglage artistique que les prochaines dates de "Miss météore" rendront moins chronophage. Après de nouvelles scènes bordelaises, c'est dans le Périgord vert qu'Olivia Ruiz poursuit le tournage jusqu'à mi-septembre, quand sa tournée l'amenait à Cognac, en Charente, ou Luxey, dans les Landes. Les 17 et 18 août, c'est à Génis qu'elle est attendue, alors que ses dates de concert lui laissent un répit jusqu'au 27 août, et le Festival Trenet à Narbonne. De quoi encore mieux profiter de ses débuts face à la caméra, avec ce tournage programmé jusqu'à mi-septembre. Avec en tête le compliment livré par Gérard Jugnot à son égard dans une récente interview pour Sud Ouest : « Elle me paraît posséder beaucoup d'atouts pour réaliser une belle carrière » . Antoine CARRIÉ | |
| | | claudia
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| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Jeu 19 Aoû - 9:02 | |
| Rien à voir avec ce topic, mais simplement dire que l'écriture bleue n'est pas très lisible...
Désolée Gilou. | |
| | | Gilou Admin
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| | | | claudia
Nombre de messages : 9072 Age : 76 Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Jeu 19 Aoû - 11:04 | |
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| | | jacommos Admin
Nombre de messages : 7161 Age : 61 Localisation : le Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| | | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Jeu 19 Aoû - 18:00 | |
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| | | claudia
Nombre de messages : 9072 Age : 76 Date d'inscription : 22/03/2008
| | | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Lun 30 Aoû - 21:57 | |
| source Libération.fr LES CONCERTS OLIVIA RUIZ @ Cabaret Vert 29/08/2010 Une foule trés nombreuse n'a pas hesité à braver les élements pour applaudir OLIVIA RUIZ en en concert de clôture du Cabaret Vert.
Les photos du concert le 29/08/2010
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| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Lun 30 Aoû - 22:20 | |
| Elle a terminé l'Année 2009 et ensuite la tournée 2010 qui n'est pas terminée
et j'en oublie encore.
c'est vraiment une battante et c'est vraiment pour cela que je lui dis BRAVO!!!
Concert Charleville Mezières Où : Cabaret Vert Quand : dimanche 29 août de 20:00 à 23:30
vendredi 27 août Festival Trénet Où : Narbonne Quand : vendredi 27 août de 20:00 à 23:30
samedi 21 août Paléo Festival Où : Nyon Quand : samedi 21 août de 20:00 à 23:30
dimanche 15 août Concert Cognac Où : Cognac Quand : dimanche 15 août de 20:00 à 23:30
samedi 14 août Festival Musicalarue Où : Luxey Quand : samedi 14 août de 20:00 à 23:30
jeudi 12 août Festival d'Erbalunga Où : Erbalunga Quand : jeudi 12 août de 20:00 à 23:30 Afficher la liste des invités
mardi 10 août Concert au Lavandou Quand : mardi 10 août de 20:30 à 23:30
samedi 7 août Festival du chien à plumes Où : Villegusien Quand : samedi 7 août de 20:00 à 23:30
vendredi 6 août Festival du Bout du Monde Où : Crozon Quand : vendredi 6 août de 20:00 à 23:30
lundi 26 juillet Concert Salon de Provence Où : Cour du château Quand : lundi 26 juillet de 20:00 à 23:30
samedi 24 juillet Festival Art Sonic Où : Briouze Quand : samedi 24 juillet de 20:00 à 23:30
vendredi 23 juillet Festival le grand Souk Où : Riberac Quand : vendredi 23 juillet de 20:00 à 23:30
samedi 17 juillet Concert Guérande Où : Guérande Quand : samedi 17 juillet de 20:00 à 23:30
vendredi 16 juillet Concert Solliès-Pont Où : Solliès-Pont Quand : vendredi 16 juillet de 20:00 à 23:30
jeudi 15 juillet Concert Le Havre Où : Le Havre Quand : jeudi 15 juillet de 20:00 à 23:30
mercredi 14 juillet Concert Toulouse Où : Toulouse Quand : mercredi 14 juillet de 20:00 à 23:30
dimanche 11 juillet Festival de la Côte d'Opale Où : Le Touquet Quand : dimanche 11 juillet de 20:00 à 23:30
samedi 10 juillet Concert Tours Où : Tours Quand : samedi 10 juillet de 20:00 à 23:30
vendredi 9 juillet Festival de Montjoux Où : Thonon Quand : vendredi 9 juillet de 20:00 à 23:30
jeudi 8 juillet Festival Pause Guitare Où : Albi Quand : jeudi 8 juillet de 20:00 à 23:30
dimanche 27 juin Festival Couleur Café Où : Bruxelles Quand : dimanche 27 juin de 20:00 à 23:30
samedi 26 juin Concert Moutiers sous Chantemerle Où : Moutiers sous Chantemerle Quand : samedi 26 juin de 20:00 à 23:30
vendredi 25 juin Solidays Type : Musique et Arts - Concert Où : Paris Quand : vendredi 25 juin de 20:00 à 23:00
samedi 19 juin Concert Conflans Où : Conflans Quand : samedi 19 juin de 20:00 à 23:30
dimanche 13 juin Festival de Soulac Type : Musique et Arts - Concert Où : Soulac Quand : dimanche 13 juin de 20:00 à 23:00
samedi 12 juin Montereau Jazz Festival Type : Musique et Arts - Concert Où : Montereau Quand : samedi 12 juin de 20:00 à 23:00 Afficher la liste des invités
dimanche 6 juin Festival des Folies Type : Musique et Arts - Concert Où : Maubeuge Quand : dimanche 6 juin de 20:00 à 23:00
dimanche 23 mai Feria de Nîmes Type : Musique et Arts - Concert Où : Nîmes Quand : dimanche 23 mai de 20:00 à 23:00
samedi 22 mai Concert Strasbourg Type : Musique et Arts - Concert Où : Festival Zom Quand : samedi 22 mai de 20:00 à 23:00
vendredi 21 mai Concert Saint Brieuc Type : Musique et Arts - Concert Où : Art Rock Quand : vendredi 21 mai de 20:00 à 23:00
samedi 15 mai Concert Nancy Type : Musique et Arts - Concert Où : JDM festival Quand : samedi 15 mai de 17:30 à 20:30
vendredi 14 mai Concert Festival Francomanias Type : Musique et Arts - Concert Où : Bulle, Suisse Quand : vendredi 14 mai de 20:30 à 23:55
jeudi 13 mai Concert Saint Etienne Type : Musique et Arts - Concert Où : Zénith - Festival Paroles et musiques Quand : jeudi 13 mai de 20:00 à 23:00
mercredi 12 mai Concert Montauban Type : Musique et Arts - Concert Où : Festival Alors chante Quand : mercredi 12 mai de 20:00 à 23:00 vendredi 30 avril Concert Bourg en Bresse Type : Musique et Arts - Concert Où : Ainterexpo Quand : vendredi 30 avril de 20:00 à 23:00
jeudi 29 avril Concert Chartres Type : Musique et Arts - Concert Où : Parc des Expositions Quand : jeudi 29 avril de 20:00 à 23:00
samedi 24 avril Concert Villers (Belgique) Type : Musique et Arts - Concert Où : Festival Un soir autour du monde Quand : samedi 24 avril de 00:00 à 00:05
jeudi 15 avril Printemps de Bourges Type : Musique et Arts - Concert Où : Le Phénix Quand : jeudi 15 avril de 19:00 à 23:00
samedi 3 avril Concert La Défense Type : Musique et Arts - Concert Où : Festival Chorus des Hauts de Seine Quand : samedi 3 avril de 00:00 à 00:05
vendredi 2 avril Concert Istres Type : Musique et Arts - Concert Où : Usine Quand : vendredi 2 avril de 20:00 à 23:00
jeudi 1 avril Concert Montélimar Type : Musique et Arts - Concert Où : Espace Mistral Quand : jeudi 1 avril de 20:00 à 23:00
samedi 27 mars Concert Argelès Type : Musique et Arts - Concert Où : Salle Polyvalente Quand : samedi 27 mars de 20:00 à 23:00
vendredi 26 mars Concert Brive Type : Musique et Arts - Concert Où : Parc des Expositions Quand : vendredi 26 mars de 20:00 à 23:00
vendredi 19 mars Concert Hervé (Belgique) Type : Musique et Arts - Concert Où : Belzik Festival Quand : vendredi 19 mars de 20:00 à 23:00
lundi 15 mars Concert Wroclaw (Pologne) Type : Musique et Arts - Concert Où : Théâtre Quand : lundi 15 mars de 20:00 à 23:00
samedi 13 mars Concert Equeurdreville Type : Musique et Arts - Concert Où : Espace Agora Quand : samedi 13 mars de 20:00 à 23:00
mercredi 10 mars Concert Le Havre Type : Musique et Arts - Concert Où : Les Docks Quand : mercredi 10 mars de 20:00 à 23:00
jeudi 4 mars Concert Caen Type : Musique et Arts - Concert Où : Le Cargo Quand : jeudi 4 mars de 21:00 à 23:00
mardi 15 décembre 2009 Concert au Zénith de Lille Type : Musique et Arts - Concert Où : Lille Quand : mardi 15 décembre 2009 de 20:00 à 23:00
vendredi 11 décembre 2009 Concert à Plougastel-Daoulas Type : Musique et Arts - Concert Où : Espace Avel Vor Quand : vendredi 11 décembre 2009 de 20:00 à 23:00
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| | | Gilou Admin
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| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mer 1 Sep - 8:01 | |
| 27.08.2010 Olivia Ruiz et le Prix Trenet vont enflammer le FestivalNARBONNE ! L'IndépendantLe centre ville de Narbonne vivra pendant deux jours, les 27 et 28 août, au rythme du Festival Trenet. La fête sera partout. Ce vendredi, le haut de l'affiche sera tenu par le Prix Sacem / Trenet dès 20 h 30, puis par le concert gratuit d'Olivia Ruiz à 22 h, Cours Mirabeau. Un moment d'exception, même pour elle ! Son coeur battra très fort ce soir, lorsque son regard embrassera cet horizon narbonnais qu'elle connaît si bien. Comme ces promenades qui bordent la Robine, qu'elle aimait parcourir en toute quiétude lorsqu'elle étudiait au lycée Lacroix... C'est en porte-drapeau féminin de la chanson française qu'Olivia Ruiz chantera sur la scène du Festival Trenet, mais aussi en qualité de Narbonnaise d'adoption. De famille. Une émotion de plus à glisser entre ses refrains. En une huitaine d'années, la demoiselle de Marseillette a parcouru un bien joli chemin musical. Nourrie de l'expérience
de son père Didier Blanc, elle a su ensuite éviter l'estampille "Star Ac", celle qui vous marque à vie comme un fer rouge distinctif. Elle a rapidement trouvé ses repères artistiques, son style et son public. "J'traîne des pieds" l'a paradoxalement placée dans le sens de la marche ! Et son dernier album en date, "Miss Météores", a confirmé à la fois son talent d'interprète et celui de conteuse d'histoires naturelles, à sa façon. L'image toujours juste. Après avoir bousculé Toulouse il y a quelques semaines, Olivia Ruiz s'apprête à enflammer Narbonne ce vendredi soir. "Son" Narbonne, celui de son adolescence, des siens, des copains. Un peu d'elle qui flottera dans le ciel de Trenet, au-dessus de la foule qui ne manquera pas de saluer une artiste qui a bien grandi A LA UNE Edition du 28 08 2010 NARBONNE Olivia Ruiz, un succès sous les ailes du vent © Miss météores a allumé des étoiles dans les yeux de son public. Photos Fred VennarecciLa première soirée du Festival Trenet en cœur de ville proposait le Prix Sacem / Trenet suivi du concert d’Olivia Ruiz. Le rendez-vous avec l’Audoise a tenu toutes ses promesses. Avec en prime une petite surprise : le duo avec Cali. Au nom de tous les poètes.
Même le vent de la nuit n’a pas empêché Olivia Ruiz d’effectuer un retour gagnant à Narbonne, la ville de son adolescence ! Devant une foule estimée à 40 000 spectateurs, l’enfant de Marseillette a égrené ses succès avec bonheur.
Avant cela, elle a vécu des instants très intenses. En coulisses, la famille était en effet en nombre pour soutenir la "petite", avec beaucoup de tendresse. Et tellement de souvenirs à revisiter ! Le quotidien à Narbonne, les beaux jours à Narbonne-Plage… Et l’envolée artistique d’Olivia, dans le souffle d’une émission télévisée
puis très vite de ses propres ailes… Il y avait dès lors, pas mal d’émotion dans les regards et dans les voix, avant la montée des marches menant à la lumière du concert.
Le concert, parlons-en. Epaulée par des musiciens de talent, dont un Narbonnais (soyons chauvins<TH>!), Olivia a signé une prestation digne de son rang de numéro une féminine de la chanson française. Tantôt électrique, tantôt mutine, tantôt émouvante, toujours dans le bon ton, elle a porté la soirée à un très haut niveau. De la belle ouvrage, que le public n’a pas manqué de saluer à sa juste valeur.
Revenue à Narbonne par la grande porte et entre deux séquences du tournage de son premier film, Olivia Ruiz a honoré son rendez-vous avec son passé, avec ses racines et avec sa notoriété. Merci mademoiselle et bon vent pour l’avenir ! J.-P. Ch. Voila un trés bel Article , une bonne page | |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mer 1 Sep - 16:58 | |
| Voir le blog magnifiques éloges sur Olivia et des commentaires.http://sicavouschante.over-blog.com/article-d-anne-sylvestre-a-olivia-ruiz-49278650.htmlD'ANNE SYLVESTRE À OLIVIA RUIZ Le désir d’être et renaître… N’attends donc pas d’être plus là Pour me raconter tout cela Depuis jamais qu’on se le dit Les années passent sans merci N’attends donc pas d’être plus ici Pour me raconter tout ceci (Christian Olivier, Non-dits, duo avec Olivia Ruiz, 2005) https://www.youtube.com/watch?v=WAIbWA8qWFE&feature=player_embedded Ce soir-là, en écoutant chanter Olivia Ruiz, quasiment à domicile, je pensais à ma première rencontre avec Anne Sylvestre, chez elle, trois décennies plus tôt presque jour pour jour, pour le n° 1 de Paroles et Musique. Et du haut de ces gradins où nous nous trouvions, ma Brune et moi, je me disais : cette fois, c’est fait, trente ans de chanson nous contemplent. Le fil d’une vie… Je suis le funambule et j’aborde mon fil Je le connais par cœur mais ce n’est pas facile Je suis toujours fragile et puis la terre est basse Je pense que mon fil se pourrait bien qu’il casse […] Mais je marche pourtant Je marche lentement Je ne veux pas penser Qu’on me ferait tomber Pour rien, pour voir, sans méchanceté Ce n’est pas méchant de souffler De s’amuser à balancer Le fil de ma vie, le fil de ma vie (Anne Sylvestre, Sur un fil, 1981) Le hasard fait bien les choses. En route pour l’Espagne (« le pays des ancêtres », me rappelle régulièrement Serge Llado), étape à Argelès-sur-Mer où Olivia Ruiz est annoncée en concert. Aujourd’hui jolie cité balnéaire, Argelès reste chargée du souvenir tragique des républicains espagnols qui, après avoir traversé à pied les Pyrénées enneigées, en février 1939, se virent entassés ici et dans d’autres villages de la côte, manu militari, sur des plages cernées de barbelés, surmontées de miradors, où l’on mourait de froid, de soif et de faim, enterré par ses camarades dans le sable. Camps de concentration de la honte... bel et bien français, ceux-là. Mais c’est une autre histoire, vieille histoire déjà… même si Olivia, justement, la connaît bien, avec des racines de part et d’autre de ces mêmes Pyrénées. Cali aussi, et pour cause, ses grands-parents paternels Giuseppe et Maria s’étant connus à Barcelone, pendant la guerre civile, avant d’« atterrir » sur les plages de Saint-Cyprien et d’Argelès-sur-Mer – « dans des camps de réfugiés où ils étaient accueillis comme des chiens. Ils n’avaient pas le droit de boire de l’eau, ils se faisaient tirer dessus s’ils essayaient de sortir pour en chercher… » (Cali à Jacques Vassal pour son dossier de Chorus n° 63) – puis de s’installer à deux pas de la frontière, sur les hauteurs de Vernet-les-Bains. Ce soir-là, samedi 27 mars (Olivia a obtenu il y a peu la Victoire de la Musique de la meilleure chanteuse de l’année), il fait froid sur le littoral méditerranéen. La tramontane souffle avec violence, à moins que ce ne soient les « entrées maritimes » ? La foule s’agglutine néanmoins autour de cette espèce de palais omnisports dont l’acoustique va s’avérer incertaine. Qu’importe, pas question ici de manquer la venue de « la petite », auréolée d’une gloire qui rejaillit sur ces contrées où elle se frotta, jeunette, à toutes sortes de publics avec un répertoire puisé notamment dans le patrimoine de la chanson française. Cette « petite » à qui j’avais envoyé aussitôt, dès la fin de l’été 2003, un courriel personnel à l’écoute de son premier « pré-CD », J’aime pas l’amour, pour lui dire mon coup de cœur (je ne savais même pas, étant définitivement rétif à ce genre de piège à gogos, qu’elle était passée fugacement par une émission de téléréalité) et qu’elle pouvait compter sur Chorus pour la suivre fidèlement sur le chemin qu’elle s’était délibérément tracé, dans le sillage apparent d’une certaine Juliette. Suivront un « Portrait » (avec photo pleine page d’ouverture de la rubrique « À suivre ») au printemps 2004 (n° 47), une place au « Top 15 » des principales révélations de notre spécial 15 ans (n° 60, été 2007), un Cœur Chorus pour son troisième album studio, Miss Météores (printemps 2009), puis, grillant l’étape traditionnelle de la « Rencontre » de cinq pages, un dossier qui lui vaut de s’afficher à la Une de la revue. Du n° 68 de la revue. Le tout dernier, l’ultime numéro des « Cahiers de la chanson ». Rien que pour cela, on aura toujours une pointe de tendresse particulière pour l’Olivia de la chanson française, Blanc par son père, Ruiz par la mère de celui-ci. Mais cela ne voudrait pas dire grand-chose sans le talent inné de la demoiselle, conforté par des années de travail, de cours de danse, de groupes de rock et autres… Il faut dire que notre belle brune, née le tout premier jour du mois de janvier 1980 à Carcassonne, a de qui tenir avec un père musicien et chanteur. Les années 80 commençaient fort pour Didier Blanc… et Paroles et Musique à la fois, « le mensuel de la chanson vivante » (« C’était un magazine formidable, me dira-t-il après le spectacle d’Olivia pendant que celle-ci converse avec Mauricette, ma brune à moi ; j’y étais abonné, forcément ! »). Dès le milieu de la décennie suivante, celle de la « Génération Chorus », auront lieu les premiers balbutiements scéniques d’Olivia Blanc : Carcassonne, Narbonne, Montpellier… entre autres dans les concerts de Block H., groupe de rock tendance Thiéfaine. Retour d’ascenseur ce 27 mars : Block H., dont la destinée est restée régionale, est en première partie argelésienne d’Olivia ! Clin d’œil, émotion des intéressés, en particulier du chanteur Alain Milani (celui-là même qui a écrit La Fille du vent sur l’album La Femme chocolat). Pas la mémoire courte, la petite... Salle archicomble, évidemment. Une tribune latérale, côté gauche de la scène, et tout le monde debout, joyeux, dans la fosse. Sur le mur d’en face, un immense portrait dessiné de Cali, le véritable régional de l’étape. Car ici, on est sang pour sang catalan. À Carcassonne, on n’est plus qu’occitan... Il est vrai qu’entre-temps Olivia s’est rapprochée du Roussillon en rejoignant sa famille à Narbonne, patrie (catalane !) de Charles Trenet. Sa prestation actuelle est on ne peut plus maîtrisée, d’énergie, de charme et de tendresse mêlés, la voix souple et sûre, la présence affirmée dans sa jolie robe andalouse aux parements rouges dont elle joue élégamment. C’est que « la petite », mine de rien, compte déjà une quinzaine d’années de bouteille ! Mais son concert d’Argelès (qui lui donne « l’impression de chanter à la maison ») est plus que cela, c’est un cadeau offert aux siens, avec des « bonus » sinon inattendus en tout cas uniques. Par chance – car aucune médiatisation particulière n’est venue pointer cette soirée pas comme les autres – Si ça vous chante était là pour immortaliser l’événement auprès de tous les amateurs de chanson francophone. Ph. Francis Vernhet) Non, ce n’est pas un concert comme les autres, confirme rapidement Olivia au public ravi. « Je suis très émue. D’abord parce que mes grands-parents sont présents dans la salle (en fait, à côté de nous, installés sur les gradins), ensuite parce que sans le monsieur qui gère ma carrière depuis quelques années, et qui est originaire d’ici, car c’est un Catalan, je ne serais pas là où j’en suis aujourd’hui… » On pense évidemment aux récentes Victoires de la Musique, mais surtout aux salles partout pleines à craquer. « C’est grâce à monsieur Bruno Buzan, grâce à ce monsieur que vous voyez là… » Ce disant, un projecteur se braque sur une affiche de chanteur, à côté du poster de Cali : elle représente Bruno Buzan, l’homme de l’ombre ! Citoyen de Vernet-les-Bains, un peu plus haut sur la route d’Andorre, au pied du Canigou, et ami d’enfance d’un certain Cali dont il gère également la carrière – signe réciproque d’une confiance et d’une fidélité bien rares dans ce milieu. « Je ne m’attendais pas à ça, nous confiera-t-il, ému lui aussi, en fin de soirée, mais ils m’ont fait bien rire, Olivia et les autres, avec cette affiche de faux chanteur ! » Ses grands-parents, son manager catalan, le groupe régional… Il y aura d’autres clins d’œil sympathiques d’Olivia au milieu de chansons tour à tour tendres, lascives et survoltées, habillées de superbes couleurs instrumentales, du rock à la ballade, par des musiciens totalement impliqués dans l’histoire partagée sur scène (dont l’accordéoniste-choriste Cecile Marques, de retour elle aussi « à la maison ») et avec le public. Celui-ci est aux anges d’avoir son Olivia rien que pour lui. Elle parle de ses débuts dans la région, rappelle que Block H. l’accueillait jadis en première partie de ses concerts et dit sa joie d’avoir pu lui rendre la pareille ce soir. Et puis, première surprise, elle appelle son père, venu de Narbonne en famille. Et comme Didier Blanc est un excellent chanteur, vraiment (on pourra d’ailleurs en juger très bientôt, puisqu’en mai, m’a-t-il annoncé, doit sortir son premier album !), c’est un bonheur que de les écouter reprendre en duo le Bidonville de Nougaro, « un très grand monsieur de la chanson », dans une belle orchestration. Il faut dire que l’an dernier, pour célébrer le chantre de Toulouse qui aurait eu 80 ans le 09/09/09, Didier et Olivia se sont investis dans une création spéciale, Planète Nougaro (voir Chorus n° 68, « L’Année Nougaro »), à l’initiative d’Hélène Nougaro. « J’ai adoré ça, me racontera-t-il après le spectacle. C’était génial, avec Zebda, Yvan Cujious… Une belle aventure. » Leurs voix, dont ils font ce qu’ils veulent, tout aussi « blindées » l’une que l’autre bien que de tonalités différentes (plutôt classique chez l’un, l’accent faubourien, à la Arletty, chez l’autre), s’épousent et se complètent à merveille. Tel père, telle fille, chacun avec sa personnalité. Didier et Olivia (ph. Polydor) C’est reparti. La chanteuse virevolte avec grâce dans sa belle robe flamenca. La voix, le charisme, cette petite bonne femme est une grande de scène. Une chanson s’achève. Olivia interrompt à nouveau le cours normal de sa prestation. Nouvelle surprise : « Il y a là un ami, en coulisses, que vous connaissez bien aussi, qui voulait absolument être là ce soir… Surtout qu’il est ici chez lui ! » Pourquoi se priver quand on peut se donner de la joie, n’est-ce pas Charles ? Et voilà Cali, évidemment, qui déboule sur scène et invite Olivia, comme sur son album L’Espoir, à chanter avec lui Je ne te reconnais plus. Ces deux-là sont faits pour s’entendre, complices de longue date. Il ne manquait plus que Mathias Malzieu, si proche collaborateur d’Olivia (et leader de Dionysos), pour que la fête soit totale. On ne peut pas tout avoir. Mais on retrouvera Cali avec toute la « troupe », Didier Blanc et Block H. inclus, pour un beau final. Rare émotion au préalable avec le second duo père-fille (après que celle-ci eut superbement repris le fameux standard américain My Heart Belongs to Daddy – Mon cœur appartient à papa…) sur la chanson en espagnol consacrée à la grand-mère d’Olivia, mère de Didier, Quédate (Reste). En substance : « Reste avec moi, grand-mère / Nous avons besoin de ton sourire / Ne nous laisse pas seuls rien qu’avec le souvenir / Quel chemin suivre si le tient se meurt ? / Reste avec moi, grand-mère, ne laisse pas s’éteindre la lumière de notre histoire / Reste ! L’olivier est éternel… »). Émotion suscitée directement par la chanson, bien sûr, par sa force de persuasion, sa mélodie et son entrain orchestral ; mais décuplée ici par le fait que l’intéressée, Rita, était présente dans la salle… Non, rien de rien, on ne regrettera rien de notre étape d’Argelès ! Ni l’avant ni l’après, ni le spectacle ni l’« after », comme on dit maintenant en français moderne dans les grands festivals francophones (un pot, quoi !), concocté pour les parents, amis et officiels dans un restaurant proche de la salle. Olivia arrive seule à pied, naturelle, simple, souriante… et disponible (il est plus de minuit) pour les photos et les autographes comme rarement je l’ai vu après un concert d’une telle intensité. « Quel dommage que Chorus ait disparu, et d’une façon aussi brutale ! déplore-t-elle spontanément auprès de Mauricette. C’était une revue fabuleuse pour la chanson. Elle nous manque énormément. Merci encore, en tout cas, pour le dossier que vous m’avez consacrée… » Suite
Dernière édition par Gilou le Mer 1 Sep - 17:33, édité 4 fois | |
| | | Gilou Admin
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| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Mer 1 Sep - 17:00 | |
| De mon côté, je rappelle à son père que si la ligne de vie chorusienne a été tranchée net entre deux saisons, au moins sa destinée aura pris fin avec une bien belle artiste de la relève en Une, parfaite représentante de la « Génération Chorus » ; qui plus est, trente ans exactement après les tout débuts de cette histoire avec Anne Sylvestre à la Une, elle, du n° 1 de Paroles et Musique. « Elle le sait, ça, Olivia ? me demande-t-il. Qu’elle a bouclé ce cycle de trente ans ?... Il faut lui dire que la page que vous aviez ouverte avec Anne Sylvestre, alors qu’elle venait tout juste de naître, s’est refermée avec elle ! » Une page en forme de jardin extraordinaire planté d’arbres à chansons de toute espèces, du pin Sylvestre à l’olivier Ruiz… Justement (prémonition ?), pour ce dossier du n° 68 de Chorus, Daniel Pantchenko, parlant à Olivia de son nouvel album, Miss Météores, et de sa première chanson, Elle panique, notait sa proximité d’esprit (« Elle panique à l’idée d’en faire trop / De vieillir prématurément / […] Fous-moi la paix, ma vieille caboche / Je suis rincée / Tu ne me fous pas la pétoche / Et je ne veux plus t’écouter… ») avec une chanson d’Anne Sylvestre, Carcasse (1981), où celle-ci apostrophe son corps (« Faut que tu marches ou que tu casses / Mais je te regarde en face / Il n’y a pas de quoi prendre peur / […] Et quand tu arriveras au bout / Pourvu que ça moi qui veille / On s’arrangera bien ma vieille / Pour résister encore un coup »). Et Olivia d’acquiescer : « Que ce soit le corps ou la tête, je crois que le combat contre ses démons et ses angoisses est un thème universel qu’on aborde tous… » Oui, ce soir-là, trente ans de chanson nous contemplaient. Un demi-siècle même, puisqu’à la parution du n° 1 de Paroles et Musique, au printemps 1980 (cela fait tout drôle aujourd’hui de penser que dans le même temps venait au monde une petite Olivia appelée à tourner la dernière page de cette histoire…), Anne Sylvestre comptait déjà vingt-deux ans « et quelques poussières » de carrière… et c’était néanmoins, la chanteuse le rappelait elle-même, sa toute première couverture de magazine ! Une fois prise notre décision de rentrer d’Afrique (voir dans ce blog « En guise de prologue » et « Ballade en mer Rouge ») pour créer le journal qui manquait alors de toute évidence à la chanson française, s’était posée la question de l’artiste à mettre en Une (et en « dossier ») du premier numéro. Finalement, nous avions choisi d’inscrire cette aventure (le terme est juste, car nous n’avions que notre détermination, notre envie de partage… et nos petites économies pour espérer pouvoir « tenir » environ un an) sous le signe du féminisme (et donc de l’humanisme), à travers l’œuvre exceptionnelle d’Anne Sylvestre, dont le contenu résonnait très fort en nous. En ce temps-là, je l’ai déjà écrit dans Chorus, nous participions à la naissance d’une nation, la République de Djibouti, et de sa presse en particulier où, très vite, j’ai fait fi d’un tabou séculaire en lançant un débat public national – prolongé jusqu’à l’Assemblée – sur les tragiques mutilations sexuelles dont étaient systématiquement victimes les petites filles. Je ne parle pas de l’excision, mais bien de l’impensable, de l’inimaginable, de la si cruelle infibulation, pratiquée (à tort) au nom de l’islam dans toute la Corne de l’Afrique, avec, à vie pour les malheureuses, des conséquences dramatiques ; sans parler de l’immédiate mortalité infantile. Bref. Ce n’est pas le lieu ici de parler du combat des femmes de cette région du monde pour le respect de leur intégrité physique : comme celle des antifranquistes parqués dans les camps infâmants de l’exil en « pays libre », c’est encore une autre histoire. Sauf que cette action menée sur le terrain, cette vive sensibilisation de notre part aux droits fondamentaux de la femme, expliquent en partie notre choix d’Anne Sylvestre pour incarner d’emblée la « philosophie » de Paroles et Musique. D’autant que Benoîte Groult, venue se rendre compte sur place de la situation et nous rencontrer (elle venait de créer F Magazine, trois ans après le succès de son livre Ainsi soit-elle), était aussi une admiratrice de ladite Anne. Pour l’anecdote (et le plaisir de boucler une autre boucle), je demanderai ensuite à Benoîte, en 1985, de bien vouloir nous faire l’honneur d’écrire, pour le n° 51 de Paroles et Musique, le compte rendu de la rentrée parisienne d’Anne Sylvestre à l’Eldorado-Bobino – beau souvenir (nous étions allés ensemble au spectacle) et superbe article ! Le dernier album d’Anne sorti avant la création du « mensuel de la chanson vivante », en 1978, était absolument somptueux : J’ai de bonnes nouvelles, Frangines, Mon mystère, Un bateau mais demain, Douce maison, La Faute à Ève… « Un sommet… pour le moment », noterais-je en chapeau du long entretien qui eut lieu chez elle au printemps 80. Douce maison – sur le viol ? « Cela faisait des années que je cherchais à l’écrire, m’expliqua-t-elle. J’ai mis trente-quatre ans à trouver le meilleur biais pour aborder le sujet du viol. Je ne l’aurais pas chantée si je ne l’avais pas estimée réussie. » Et La Faute à Ève, chanson tordante dans la forme et l’interprétation et si pertinente dans le fond, qui marquait alors la conclusion définitive de son tour de chant ? « Oui, je pars là-dessus et je n’en remets jamais d’autres parce que ce n’est pas possible. Après le cri qui termine cette chanson, qu’est-ce que je pourrais dire d’autre ? » Pendant qu’à Carcassonne le bébé de la famille Blanc babillait à peine, à Paris la grande dame de la chanson française retraçait sans la moindre impatience, pour nous et les hypothétiques lecteurs d’un journal encore à naître, le fil de sa carrière. Depuis l’origine : « C’était en novembre 1957 à la Colombe… » Après un premier album où se distinguèrent un peu Maryvonne, Porteuse d’eau, Les Cathédrales et Mon mari est parti, il fallut attendre 1964 pour qu’un premier titre marque vraiment le public : T’en souviens-tu la Seine… à découvrir ou à réécouter – mais sûrement à voir pour la toute première fois – dans ce véritable document vidéo. On passa rapidement en revue les grandes chansons qui suivirent, pour prendre le temps de parler surtout des incontournables (même si je n’eus pas la place de tout conserver de cette interview). Non tu n’as pas de nom (1974) : LA chanson sur l’avortement, Une sorcière comme les autres (1975) : un manifeste à elle seule, Les gens qui doutent (1977) : MA chanson préférée depuis lors… et puis, la même année, Clémence en vacances, dont j’ose croire que l’humour viendrait à bout du plus borné des machos : « L’humour, soulignait-elle, c’est une façon de faire passer bien des choses qui ne passeraient pas si on les disait autrement. Et puis c’est nécessaire, j’exprime ce que je ressens avec ma sensibilité. J’aime bien rire, je ris beaucoup, et j’estime qu’il doit y avoir des moments de détente dans un tour de chant… » Son tour de chant justement. Comment arriver à le composer avec un tel répertoire ? « Je mets toujours les chansons les plus récentes, celles qui sont indispensables comme Clémence, Une sorcière comme les autres, Non tu n’as pas de nom, et je m’efforce aussi d’en chanter trois ou quatre anciennes. Mais le tri est douloureux, et ça devient naturellement de plus en plus difficile. » Puis on évoqua l’album suivant, qui constituerait un an plus tard un autre sommet de son œuvre, avec Carcasse, déjà cité, Sur le fil, Dans la vie en vrai, Rose, Lâchez-moi... Sans oublier cette manière de profession de foi, Si je ne parle pas (« cependant que je chante / Si je n’explique pas le sens de mes chansons / Si je ne cite pas d’aventures touchantes / Et si je me présente sans trop de façons / Ce n’est pas voyez-vous que j’aie de l’arrogance / Mais j’en dis bien assez dans mes chansons je pense / […] Je sais qu’il y en a et ça me désespère / Qui se plaindront encore que je ne parle pas… »). Ce jour-là, pour parler, on parla ! On dialogua beaucoup, longtemps… alors que nous étions totalement inconnus des gens du « métier » et que, comme le funambule de Sur un fil, nous travaillions à ce premier numéro sans filet : imaginez que, fâchée par une de mes questions, l’artiste se soit brusquement mise en vacances de cet intrus (qui plus est fraîchement débarqué « des colonies », comme disaient encore certains nostalgiques réacs), à l’instar de la « Clémence » de la chanson… Pourquoi le cacher ? Au moment de lancer l’entretien, j’étais dans mes petits souliers, surtout après qu’Anne eut répliqué formellement de façon cinglante à ma première question (« On a beaucoup utilisé le terme “Brassens en jupons” pour vous qualifier… » – « Je trouve aberrant qu’après vingt-deux ans ce qualificatif demeure encore ! C’est irritant et profondément injuste. La femme est considérée comme un genre mineur par rapport à l’homme… On n’a jamais eu l’idée de dire d’un jeune chanteur qu’il était “un Sylvestre en caleçons” ! C’est pourtant la juste traduction d’“un Brassens en jupons”… »). Mais elle se montra disponible tout le temps qu’il fallut, blagueuse, charmante et professionnelle jusqu’au bout des ongles. À la fin, je n’y tenais plus de ne pas comprendre pourquoi la plus grande ACI de la chanson française contemporaine, avec Barbara, était aussi « tricarde » dans les grands médias : « Depuis le début de cet entretien, je m’interroge sur cette réputation d’agressivité qu’on vous a faite… – Ah ! oui, l’agressivité… Si j’avais été un homme, j’aurais eu du caractère. Mais une femme n’a que mauvais caractère. On n’a pas le droit d’être agressive. Or, si je ne l’avais pas été, agressive – entre guillemets – je serais morte ! L’« agressivité », la volonté en réalité, c’est une qualité de survie. » Voilà. La suite demanderait… une vie de trente ans, avec des centaines d’autres rencontres jusqu’à celle d’Olivia Ruiz. Mais pas plus qu’on ne refait l’histoire, on ne la revit. On peut tout juste tenter de la raconter. C’est à la fête champêtre de Lutte Ouvrière où Anne était programmée quelques jours après notre entretien que je prendrai la photo qui fera la Une du n° 1 de Paroles et Musique. Quel souvenir ! Des centaines de spectateurs enthousiastes mais une toute petite scène pour l’accueillir et une guitare sèche, une contrebasse et une sono riquiqui pour tout bagage. Dans ces conditions (du plein air, en plus), le talent est obligatoire (et l’absence de talent rédhibitoire) ! Chez Leprest Printemps 1980… Printemps 2010 : dans un monde dominé chaque jour davantage par le narcissisme et l’égocentrisme (sans parler du financier), et ce dans tous les domaines, des politiques censés s’occuper des intérêts collectifs jusqu’au quidam de base (avec ces réseaux prétendument sociaux qui, trop souvent, ne font que refléter l’individualisme, le repli sur soi), dire qu’on a vécu trente ans en pratiquant l’altruisme (parce que cela nous faisait plaisir de partager nos petits bonheurs), c’est presque incongru. En tout cas bien étrange… et définitivement incompréhensible pour les ennemis d’un monde où les hommes (et les femmes) vivraient sinon d’amour du moins sans chercher à duper (ou à écraser) systématiquement leurs semblables. C’est pourtant la réalité que nous aurons vécue ensemble… et que nous continuons de vivre à travers ce blog. Et ÇA – quelque stratégie machiavélique et préméditée qu’on cherche une nouvelle fois à exercer à notre encontre –, personne ne pourra jamais nous l’enlever. Dernière précision : s’il fallait un autre lien pour unir Anne Sylvestre et Olivia Ruiz (photographiée dans notre dernier numéro par Francis Vernhet), celui-là se nommerait… Allain Leprest. Les deux sont chez Leprest comme elles étaient chez nous. Ou comme elles sont chez elles, comme à la maison. Dans le volume II de Chez Leprest (voir la « Chanson d’automne » de Si ça vous chante), elles interprétaient l’une, Sarment, et l’autre (qui avait déjà enregistré Tout c’qu’est dégueulasse porte un joli nom dans le volume I), La Dame du dixième. L’occasion, enfin, de rappeler que la première grande fête de Paroles et Musique en juin 1985, entre plusieurs dizaines d’artistes et de professionnels de terrain, avait réuni – chez nous – une certaine Anne Sylvestre, of course, et un jeune talent prometteur (c’était leur première rencontre), un certain Allain Leprest qui, dès 1983 (son premier album ne sortirait qu’en 1986), défrayait déjà la chronique (avec un premier article national) dans notre mensuel. Quant à Olivia, elle prenait alors, à cinq ans, ses premiers cours de danse… Vous dansiez, j’en suis fort aise, eh bien chantez maintenant ! Oui, continuez à chanter, tous et toutes, le chant du monde. Et tant qu’il y aura des hommes, si ce n’est pas ou plus « Mauricette et Fredo », il y aura toujours quelqu’un, quelqu’une pour faire chorus au bout de la ligne. Olivia Ruiz – Eight o’clock – Six mètres Il suffit de s’y mettre. De Six mètres, dirait Allain Leprest qui écrivit spécialement ce texte magnifique (attention, chef-d’œuvre !) pour Olivia. Soyez patient(e)s, il intervient ici en morceau caché après une très brève chanson en anglais, Eight o’clock (de et interprétée avec le groupe Coming Soon). Six mètres, enregistré en duo avec Christian Olivier des Têtes Raides. Cette fois la (grande) boucle est vraiment bouclée : « Six mètres, plus que six mètres pour couper la ligne d’arrivée… / Et soudain l’envie de plus rien / Ou juste de bloquer les freins / L’envie de faire sauter la chaîne… / Déserter à vingt centimètres / À vingt centimètres du fil… / Et puis s’y mettre / Mais s’y mettre tous / Ni Dieu devant ni chien aux trousses / S’y mettre, s’y mettre tous / Et plus de maître / Que le désir d’être et renaître / Se redresser, lever la jambe, être ensemble / Vainqueurs… tous ensemble. » (Cet article – le 31e de Si ça vous chante, comme pour célébrer symboliquement notre entrée dans une 31e année en chanson – est dédié à « Bubu », qui sait pourquoi, avec tendresse et affection ; et bien sûr aux membres de notre ex-Dream Team, dont certains, amis à la vie, à l’amour et à la mort, nous ont accompagnés fidèlement durant ces trois décennies.) Publié dans : La Chanson vivante - Par Fred Hidalgo http://sicavouschante.over-blog.com/article-d-anne-sylvestre-a-olivia-ruiz-49278650.html
Dernière édition par Gilou le Mer 1 Sep - 17:15, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: Bravo! Olivia Ruiz... Mademoiselle Ruiz s'est imposée dans le paysage musical français & étranger Sam 11 Sep - 17:03 | |
| j'ai toujours pas compris le succès de cette fille. |
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