Merci pour cette rectification. Je me suis trompé. Ci-dessous une bibliographie
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Loup_DabadieJean-Loup Dabadie est un homme de lettres français né à Paris le 27 septembre 1938, journaliste, romancier, auteur de sketches et de chansons, auteur et metteur en scène dramatique, traducteur, scénariste et dialoguiste. Il est élu à l'Académie française le 10 avril 2008 au fauteuil de Pierre Moinot, occupé de 1960 à 1981 par René Clair.
Le talent de Jean-Loup Dabadie lui a permis de faire plusieurs carrières simultanément : scénariste, romancier, parolier, dramaturge, journaliste. Peu d’auteurs peuvent revendiquer autant de titres. Pour ses chansons, cet homme toujours souriant connut de nombreux succès grâce à la diversité de ses interprètes.
Biographie[modifier]Fils de Marcel Dabadie, né le 10 février 1913, qui fut aussi parolier (Maurice Chevalier, Julien Clerc, Les Frères Jacques), Jean-Loup Dabadie voit le jour à Paris en 1938. Il passe son enfance à Grenoble chez ses grands-parents, puis poursuit ses études, au lycée Janson-de-Sailly puis au lycée Louis-le-Grand. Par la suite, étudiant en Lettres à Paris, le jeune homme se passionne déjà pour l’écriture.
En 1957, alors qu’il n’a que dix-neuf ans, Jean-Loup Dabadie publie son premier roman, intitulé Les Yeux secs, aux éditions du Seuil, suivi l’année suivante par Les Dieux du foyer. Pendant ses débuts de romancier, le jeune auteur amorce une carrière de journalisme grâce à Pierre Lazareff, dirigeant de Candide. Pendant cette période, il collabore également à la création de la revue Tel quel, avec Philippe Sollers et Jean-Edern Hallier, et écrit des critiques de films et des reportages pour Arts.
Sketches, télévision, cinéma et théâtre[modifier]Déjà fort occupé, Jean-Loup Dabadie écrit dès 1962 pour la télévision. Il fait alors équipe avec Jean-Christophe Averty et Guy Bedos pour les émissions produites par Michèle Arnaud (Histoire de sourire et Les Raisins verts). Vient, ensuite, le temps du service militaire, pendant lequel Jean-Loup est affecté dans un régiment de parachutistes à Tarbes. Sous-Lieutenant à Saumur, école de Cavalerie avec le capitaine Shiffer escadron 502A.
Au cours de son service, l’auteur envoie quelques sketches à Guy Bedos, dont Bonne fête Paulette et Le boxeur. Peu après, en 1963, alors que Jean-Loup regarde la télévision, il a l’honneur de voir Guy interpréter ses deux sketches. Cette nouvelle collaboration donnera naissance à d’autres joyaux de l’humour tel que Monsieur Suzon, Un jeune homme de lettres ou Dernier dans la première.
Jean-Loup Dabadie amorce également, pendant les années soixante, une brillante carrière de scénariste. Il collabore, au fil des années, avec les plus grands réalisateurs français : Claude Sautet (Les choses de la vie, César et Rosalie, Une histoire simple), Yves Robert (Salut l’artiste, Un éléphant ça trompe énormément, Nous irons tous au paradis), Claude Pinoteau (Le Silencieux, La Gifle, La Septième Cible), François Truffaut (Une belle fille comme moi, 1971).
La carrière de l’auteur fut également marquée par le théâtre. En effet, Jean-Loup Dabadie a signé plusieurs pièces dont La Famille écarlate (1967), Le Vison voyageur (1969), Madame Marguerite (1974) et Double mixte (1986).
Les débuts dans la chanson[modifier]Après tous ces métiers reliés à l’écriture, il n’est pas étonnant que Jean-Loup Dabadie se lance dans l’écriture de chansons. Dès 1967, il écrit, sur une musique de Jacques Datin, qu’il considère comme son parrain, Le petit garçon pour Serge Reggiani. L’interprète, qui a toujours su choisir des auteurs et des compositeurs de qualité, enregistrera pendant sa carrière plusieurs autres joyaux signés Dabadie : Et puis (1968), De quelles Amériques (1970), L’Italien (1971), Hôtel des voyageurs (1972), Les mensonges d’un père à son fils (1972), Le vieux couple (1972).
C’est à la même époque que Régine, qui vient de se lancer dans la chanson et se cherche un répertoire de qualité (elle a chanté Gainsbourg et Frédéric Botton, également) enregistre une chanson de Dabadie : Il m’a laissé deux cigarettes (1968). L’année suivante, en 1969, elle enregistre L’accident et, en 1970, Les filles de la rue d’Amérique. Plus tard, la chanteuse récidivera en chantant Moi mes histoires (1978).
De plus en plus d’interprètes[modifier]La charnière des années 1960/1970 voit les interprètes de Jean-Loup Dabadie se multiplier considérablement. D’abord, Michel Polnareff collabore avec l’auteur dès 1969, ce qui donne Tous les bateaux, tous les oiseaux et Ring a ding. Cette collaboration se poursuit, au cours des années suivantes, avec beaucoup de succès : Dans la maison vide (1970), Holidays (1972), On ira tous au paradis (1972)[1], Lettre à France (1977), Jour après jour, Nos mots d’amour.
Mireille Mathieu chante également Jean-Loup Dabadie, avec plus ou moins de succès : C’est la vie mais je t’aime (1970), Pour toi (1970), L’homme qui sera mon homme (1971) et C’était dimanche (1972). Autre grande vedette, Claude François chante Je danse (1971) et Nina nana (1972), du même auteur. Parmi les autres interprètes de cette époque figure Marcel Amont (Dagobert, 1970, L’école), Michèle Arnaud (La maison), Barbara (Marie-Chenevance, 1971), Dalida (Le clan des Siciliens, 1970), Juliette Gréco (Ta jalousie, 1974), Marie Laforêt (La ballade de Clérambard) et Dominique Walter (Les années 1970, 1969, L’enfant sur la montagne). Enfin, en 1974, il écrit le texte qui consacre le retour de Jean Gabin à la chanson, Maintenant je sais (qui est plutôt un monologue, qu'une chanson).
Au milieu des années 1970, Jacques Dutronc, qui diversifie ses auteurs, collabore également avec Jean-Loup Dabadie : J’comprends pas (1975) et Mais surtout sentimentale (1975). Petula Clark interprète Dans la ville, en 1973 et Nicole Croisille La femme et l’enfant, en 1977. Cette dernière interprète également d’autres chansons de l'auteur (David, Au revoir et merci). Cependant, cette période est surtout marquée, pour Jean-Loup Dabadie, par sa collaboration avec Julien Clerc.
Collaborations nouvelles[modifier]En effet, ce dernier amorce alors un virage et a besoin de nouveaux paroliers. En 1976, Jean-Loup lui écrit la chanson Le cœur trop grand pour moi et, en 1978, Ma préférence, qui deviendra un classique du répertoire de l'interprète. La collaboration entre Julien Clerc et Jean-Loup Dabadie donnera naissance, au fil des années, à d’autres magnifiques classiques de la chanson : L’assassin assassiné (1980), Femmes, je vous aime (1982), Je suis mal et Elle danse ailleurs (1997), entre autres.
Par ailleurs, au début des années 1980, Robert Charlebois, qui amorce, lui aussi, un virage dans sa carrière, se tourne lui aussi vers Dabadie : Nuage no 9 (1979), Meurs pas (1982), Les chiffres parlent (1982). Pendant cette période, l’auteur signe également les dernières chansons d’Yves Montand (L’addition, 1980, Valentin). Johnny Hallyday ajoute à son tour des chansons de Jean-Loup Dabadie à son répertoire, dont J’ai épousé une ombre, en 1983.
Ces années, où ne cesse de s’allonger la liste des interprètes de Dabadie, nous ont laissé d’autres beaux fleurons de la chanson dont, entre autres, L’homme au bras fermés, que chante Alice Dona, en 1980. Aussi, plusieurs artistes ayant jadis connu leur heure de gloire tentent-ils de renouveler leur répertoire grâce à la désormais prestigieuse plume de l'auteur dont Sacha Distel (Donne-moi la main encore, 1982), Patrick Juvet (Rêves immoraux, Le saturnien, 1982) et Nicoletta (Un homme, 1981).
Michel Sardou, est quant à lui, toujours au sommet de la gloire, après des années 1970 difficiles. Jean-Loup Dabadie lui écrit plusieurs succès qui s’ajoutent à la longue liste de ceux que Sardou a déjà remportés : Chanteur de jazz (1985), L’acteur (1987), Tous les bateaux s’envolent (1987), Féminin comme, Salut, Road book...
Plus récemment[modifier]Les années 1990 n’arrêtent pas l’auteur qui écrit pour les enfants (Petit bateau, 1997 par Sylvie Vartan). Richard Cocciante, qui avait déjà interprété Jean-Loup Dabadie, enregistre Être aimé, en 1993. La même année, l’auteur écrit Tout le temps, tout le temps pour Elsa.
Enfin, d’autres interprètes ont jalonné la carrière de parolier de Jean-Loup Dabadie, dont Didier Barbelivien, Liane Foly (La Chanson d'Hélène (chanté par Romy Schneider et Michel Piccoli dans le film Les Choses de la vie), La Bicyclette bleue), Jessé Garon' et Henri Salvador.
Pendant sa carrière, Jean-Loup Dabadie aura été récompensé à plusieurs reprises : le grand prix Vincent Scotto en 1972, le grand prix de la Sacem en 1984 et le Grand prix de la chanson française en 2000. Deux de ses films ont reçu le prix Louis-Delluc (La Gifle et Les Choses de la vie). Enfin, ce qui fait la force de Jean-Loup Dabadie, c’est d’avoir su toucher plusieurs aspects de l’écriture.
Après un échec en 1989 où il avait récolté 13 voix, il est élu le 10 avril 2008 à l'Académie française au fauteuil de Pierre Moinot (fauteuil no 19), par 14 voix sur 25[2]. Par lui, l'Académie renoue avec le cinéma, qui n'y était guère représenté depuis la mort en 1981 de René Clair, élu au même fauteuil en 1960. Il est intronisé par ses pairs le 12 mars 2009[3].
Œuvres[modifier] L'édition[modifier]1957 : Les Yeux secs (Seuil)
1958 : Les Dieux du foyer (Seuil)
1960 : Du côté de Barcelone de Luis Goytisolo, traduction de Jean-Francis Reille et Jean-Loup Dabadie (éditeur ?)
1961 : Villa Milo de Xavier Domingo, traduit de l'espagnol par Bernard Savigny et Jean-Loup Dabadie (éditeur ?)
2009 : Conversations avec Jean-Loup, avec Véronique Dabadie
Collaborateur des revues Candide, Tel Quel, Arts.
La scène[modifier]Collaborateur de Jean-Christophe Averty avant d'écrire des sketches pour Guy Bedos, puis pour le couple que ce dernier forme avec Sophie Daumier.
Guy Bedos
Le boxeur
Bonne fête, Paulette
Monsieur Suzon
Un jeune homme de lettres
Dernier dans la première
La drague
La police avec nous
Sylvie Joly
Michel Leeb
Pierre Palmade
Muriel Robin
Jacques Villeret
Théâtre[modifier]Auteur
1967 : La Famille écarlate de Jean-Loup Dabadie, mise en scène Gérard Vergez, théâtre de Paris
1988 : D'Artagnan, texte du spectacle de Jérôme Savary
1993 : Je ne suis pas un homme facile de Jean-Loup Dabadie
2004 : Fans, je vous aime ! de Pierre Palmade, Henri Mitton, Jean-Loup Dabadie, Sylvie Joly, mise en scène Bruno Agati, Alex Lutz, théâtre des Mathurins
Adaptation
1969 : Le Vison voyageur de Ray Cooney et John Chapman, mise en scène Jacques Sereys, théâtre du Gymnase
1972 : Le Légume de Francis Scott Fitzgerald
1974 : Madame Marguerite de Roberto Athayde, mise en scène Jorge Lavelli, théâtre Montparnasse
1985 : Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène Bernard Murat, théâtre de l'Atelier, (Molière du meilleur adaptateur d´une pièce étrangère 1987)
1986 : Double mixte de Ray Cooney, mise en scène Pierre Mondy, théâtre de la Michodière
1990 : Quelque part dans cette vie d'Israël Horovitz, adaptation et mise en scène Jean-Loup Dabadie, théâtre des Bouffes-Parisiens
1999 : Comédie privée de Neil Simon
2002 : Même heure l'année prochaine... de Bernard Slade
2006 : Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène Bernard Murat, théâtre Édouard VII
La chanson[modifier]Liste sélective :
Marcel Amont
1970 : Dagobert
1976 : L'Ecole
Michèle Arnaud
La maison
Barbara
1971 : Marie-Chenevance
Didier Barbelivien
Gérard Berliner
Isabelle Boulay
Robert Charlebois
1979 : Nuage no 9
1982 : Meurs pas — Les chiffres parlent
Petula Clark
1973 : Dans la ville
Julien Clerc
1976 : sur l'album À mon âge et à l'heure qu'il est : À la fin je pleure — Je suis mal — Le Cœur trop grand pour moi
1977 : partir — Angèle
sur l'album Enregistrement public au Palais des Sports : Partir
sur l'album Jaloux : Les Amours sans larmes — Ma préférence
1980 :
sur l'album Clerc Julien : Cette personne — Ma dou dou — Confidence — Les Oiseaux dans les arbres — Tu me manques
sur l'album Sans entracte : Elle faisait la la la — L'Assassin assassiné — Les mots qui dansent
1982 : sur l'album Femmes, indiscrétion, blasphème : À son cou, à ses genoux — Femmes... je vous aime — Quelle heure est-île Marquise
1984 : sur l'album Aime-moi : Aime-moi — Respire — Tant d'amour
1987 : sur l'album Les Aventures à l'eau : Blonde et en colère — Style Ming
1996 : La P'tite Liqueur de ton cœur
sur l'album Julien : On peut rêver
1997 : Elle danse ailleurs
2005 : sur l'album Double enfance : Quel jeu elle joue
Richard Cocciante
1986 : Le Mot France
1993 : Être aimé
Nicole Croisille
1977 : La Femme et l’enfant
1978 : Au revoir et merci
David
Dalida
1970 : Le Clan des Siciliens
Sacha Distel
1982 : Donne-moi la main encore
Alice Dona
1980 : L'Homme aux bras fermés
Jacques Dutronc
1975 : J'comprends pas — Mais surtout sentimentale
Elsa
1993 : Tout le temps, tout le temps
Liane Foly
La Chanson d'Hélène
La Bicyclette bleue
Claude François
1971 : Je danse
1972 : Nini nana
Jean Gabin
1974 : Maintenant, je sais
Jessé Garon'
1988 : Être jeune
Juliette Gréco
1974 : Ta jalousie
Johnny Hallyday
1983 : J'ai épousé une ombre
Patrick Juvet
1982 : Rêves immoraux — Le Saturnien
Marie Laforêt
La ballade de Clérambard
Mireille Mathieu
1970 : C'est la vie mais je t'aime — Pour toi
1971 : L'homme qui sera mon homme
1972 : C'était dimanche
Enrico Macias
2003 : Album Oranges amères de 2003 : Le voyage — La rumeur
Nana Mouskouri
2002 : pour l'album Fille du soleil
Yves Montand
1980 : L'addition
Valentin
Nicoletta
1981 : Un Homme
Michel Polnareff
1968 : Jour après jour — Pourquoi faut-il se dire adieu ? — Ring-a-ding — J'ai du chagrin Marie — L'affreux Jojo
1969 : Tous les bateaux, tous les oiseaux — Dans la maison vide
1970 : Un train ce soir — Avec Nini
1971 : Ça n'arrive qu'aux autres — Né dans un ice-cream — Petite petite — Nos mots d'amour — À minuit, à midi
1972 : Holidays — On ira tous au Paradis — Je cherche un job
1977 : Lettre à France — Mademoiselle de
1978 : Une histoire lamentable — J'ai tellement de choses à dire
Serge Reggiani
1967 : Le petit garçon
1968 : Et puis
1970 : De quelles Amériques
1971 : L'Italien
1972 : Hôtel des voyageurs — Les mensonges d'un père à son fils — Le vieux couple
2002 : Le temps qui reste, album collectif Autour de Serge Reggiani "La chanson de Paul"
Régine
1968 : Il m'a laissé deux cigarettes
1969 : L'accident
1970 : Les filles de la rue d’Amérique
1978 : Moi mes histoires
Henri Salvador
Michel Sardou
1981 : Les mamans qui s'en vont — Mauvais homme
1984 : Parce que c'était lui parce que c'était moi
1985 : Chanteur de jazz
1987 : L'acteur — Tous les bateaux s'envolent
Féminin comme — Salut — Road book
"Maman ?" (sketche avec Jackye Sardou
Sylvie Vartan
1997 : Petit bateau
Dominique Walter
Les années 1970 — L'enfant sur la montagne
Le cinéma[modifier]Jean-Loup Dabadie est scénariste, sauf mention particulière.
1962 : Les Parisiennes (sketch Ella)
1962 : Conduite à gauche (dialogues)
1965 : La Tête du client de Jacques Poitrenaud (dialogues)
1966 : Le Lit à deux places
1966 : À belles dents de Pierre Gaspard-Huit (dialogues)
1966 : Les Sultans de Jean Delannoy
1966 : Carré de dames pour un as (dialogues)
1967 : Le Canard en fer-blanc
1969 : Clérambard de Yves Robert
1970 : Les Choses de la vie de Claude Sautet (scénario et dialogues), remake en 1994 : Intersection
1971 : Ça n'arrive qu'aux autres de Nadine Trintignant : parole de la chanson, musique de Michel Polnareff
1971 : La Poudre d'escampette de Philippe de Broca
1972 : Chère Louise de Philippe de Broca
1972 : Une belle fille comme moi de François Truffaut
1972 : César et Rosalie de Claude Sautet
1973 : Le Silencieux
1973 : Salut l'artiste (scénario et dialogues)
1974 : Vincent, François, Paul... et les autres
1974 : La Gifle (scénario et dialogues)
1975 : Le Sauvage (scénario et dialogues)
1976 : Un éléphant ça trompe énormément, remake en 1984 : La Fille en rouge
1977 : Violette et François
1977 : Nous irons tous au paradis (scénario et dialogues)
1978 : Une histoire simple (scénario et dialogues)
1979 : Courage fuyons
1981 : Clara et les chics types
1983 : Attention ! Une femme peut en cacher une autre
1983 : Garçon !
1984 : La Septième Cible (scénarios et dialogues)
1986 : Attention bandits ! (parole de la chanson)
1986 : Descente aux enfers de Francis Girod (scénario et dialogues)
1992 : Le Bal des casse-pieds de Yves Robert
2000 : La Bicyclette bleue (TV) de Thierry Binisti
2010 : La Tête en friche de Jean Becker produit par ICE3 (il a aidé Jean Becker dans le scénario)
2011 : Gérald K. Gérald (TV) de Elisabeth Rappeneau
Distinctions et décorations[modifier]Officier de la Légion d'honneur
Officier de l'Ordre national du Mérite
Commandeur des Arts et des Lettres
1972 : Prix Jean Le Duc de l'Académie française pour César et Rosalie
1974 : Prix Jean Le Duc de l'Académie française pour La Gifle
Césars 1977 : nomination pour le César du meilleur scénario original ou adaptation pour Un éléphant ça trompe énormément
Césars 1978 : nomination au César du meilleur scénario original ou adaptation pour Nous irons tous au paradis
Césars 1979 : nomination au César du meilleur scénario original ou adaptation pour Une histoire simple
1983 : Grand prix du cinéma de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre
1984 : Grand prix (humour) de la SACEM
Molières 1987 : Molière de l'adaptateur pour Deux sur la balançoire
Molières 1990 : nomination au Molière de l'adaptateur pour Quelque part dans cette vie
2000 : Grand prix de la chanson française (parolier) de la SACEM),
2004 : Prix Raymond Devos de la langue française et
2004 : Prix Henri Jeanson de la SACD pour l'ensemble de son œuvre
2009 : Victoire de la musique d'honneur pour l'ensemble de sa carrière[4].
Famille[modifier]Marié depuis le 20 décembre 1997 avec Véronique Bachet, il a eu trois enfants de précédents mariages : Clémentine, Clément et Florent[5]. Florent Dabadie (ja) est un présentateur et reporter de télévision et radio au Japon, après avoir été l'interprète de Philippe Troussier lorsqu'il était entraîneur de l'équipe du Japon de football de 1998 à 2002.