Les Discutailleurs fans de musique... Nous sommes des Fans de Musique, de Poésie, de peinture... ouverts à la diversité immense que nous proposent tous les arts majeurs |
"La voix de Nolwenn ? une élégance souveraine, de la soie, du velours." Patrice Demailly. - - - - "Le talent sans génie est peu de chose. Le génie sans talent n'est rien" Valery. |
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| Les Chansons | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Ven 29 Aoû - 21:08 | |
| Je reviens bientôt
Francis Cabrel
Album: Les murs de poussière
Elle tire ses rideaux et puis Ma voix se perd dans la nuit Qui coule entre ces murs étroits Elle n'entend pas de là-haut Elle tire ses rideaux Elle ouvre le piano et puis Elle commence à jouer pour lui Les mêmes notes qu'autrefois Qui me font froid dans le dos Elle ouvre le piano Les derniers néons sont éteints Ils doivent jouer à quatre mains Au milieu de sa mélodie Des flashs ont traversé la nuit Depuis ce bateau je t'écris Je me sens si fort aujourd'hui J'ai le soleil au bout des bras Je pense à toi beaucoup trop Je reviens bientôt Je reviens bientôt, c'est promis Dans quelques jours, quelques nuits Je n'appellerai qu'une fois Tu descendras aussitôt Je reviens bientôt Les derniers néons sont éteints Ils doivent jouer à quatre mains Je n'entends plus sa mélodie Il n'y a plus que moi et la pluie Je reviens bientôt, c'est promis Dans quelques jours, quelques nuits Je n'appellerai qu'une fois Tu descendras aussitôt Je reviens bientôt Mais elle tire ses rideaux et puis Ma voix se perd dans la nuit |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Dim 31 Aoû - 17:52 | |
| La vie comme elle passe Salvatore Adamo
Album: La vie comme elle passe
Oh prends la vie comme elle passe en gardant une petite place pour tes rêves bien au chaud et si le malheur te fait face pour graver sa dédicace dans ton âme et sur ta peau alors prends le de haut regarde les oiseaux mais oui prends le de haut et rêve encore plus haut plus haut que la vie qui passe juste sur l'étoile d'en face là où tout paraît plus beau là où tout est bien plus beau
Oui prends la vie comme elle passe et si parfois ton angoisse prend les couleurs du dégoût tiens bon va jusqu'au bout même si le monde est fou mais oui va jusqu'au bout dis toi que malgré tout aussi mal qu'la vie te fasse il viendra l'instant de grâce qui fait qu'elle vaudra le coup oui ta vie vaudra le coup la vie vaut toujours le coup. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Lun 1 Sep - 12:00 | |
| Enrico pour Enrico Macias
Paroles de Jean Peigné
Musique d' Enrico Macias
LAISSE PASSER L'ORAGE
NE PERDS PAS COURAGE
APRES LES NUAGES
LE SOLEIL REVIENT
1
Un jour ou une nuit
Les peines et les ennuis
Comme un coup de tonnerre
En un éclair brisent ta vie
Alors la rage au coeur
Tu cries ou bien tu pleures
Et tu perds tout espoir
Parce qu'un soir
Ton ciel est noir
Refrain
Laisse passer l'orage
La roue du destin
Tournera la page au petit matin
Laisse passer l'orage
Ne perds pas courage
Après les nuages
Le soleil revient
Laisse passer l'orage
Ne perds pas courage
Après les nuages
Le soleil revient
2
En mer quand vient le grain
On fait serrer les voiles
Si grand soit ton chagrin
N'aies peur de rien
Suis ton étoile
Fais comme ce voilier
Qui n'a jamais plié
Et qui bravant le sort
Revient au port
Encore plus fort
Refrain
3
Faut il que je te dise
Qu'après deux mille années
Les gens qui y sont nés
Ont regagné la terre promise
Et sur le sol brûlé
Où le feu est passé
Le blé a repoussé
L'oiseau blessé s'est envolé
Refrain |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Lun 1 Sep - 12:06 | |
| Le jouet extraordinaire
Claude François
Quand j'étais un petit garçon, plein de vie et de joie Un jour que j'étais très gentil, mon père me rapporta Un jouet extraordinaire avec de gros yeux verts Je l'ai pris dans mes bras mais quand je l'ai posé par terre
{Refrain:} Il faisait "Zip" quand il roulait "Bap" quand il tournait "Brrr" quand il marchait Je ne sais pas ce que c'était Et je crois que je ne le saurai jamais
Tout étonné la première fois, quand je l'ai retourné J'ai vu qu'il avait sur le ventre deux gros boutons dorés J'ai poussé l'un et l'autre après, puis les ai tirés tous les deux Mais quand je l'ai reposé par terre, j'ai ouvert de grands yeux
{Au refrain}
Il marcha comme un militaire, tout à coup il s'assit Il passa sous une chaise et puis, soudain disparut sous le lit J'ai pleuré tandis que mon père, lui, riait aux éclats Car en me retournant, je vis le jouet qui était derrière moi
{Au refrain}
Les années ont passé trop vite, et justement hier Dans le grenier j'ai retrouvé ce jouet extraordinaire J'ai appelé mon petit garçon, et le lui ai offert Il était vieux et tout rouillé, mais quand on l'a posé par terre
{Au refrain} https://www.youtube.com/watch?v=TXJk-layeRI |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 2 Sep - 10:39 | |
| Maurane
Sur un prélude de Bach
Lorsque j'entends ce prélude de Bach
Par Glen Gould, ma raison s'envole Vers le port du Havre et les baraques Et les cargos lourds que l'on rafistole Et les torchères, les grues patraques Les citernes de gasoil
Toi qui courais dans les flaques Moi et ma tete à claques Moi qui te croyais ma chose, ma bestiole Moi je n'étais qu'un pot de colle
Lorsque j'entends ce prélude de Bach Par Glen Gould, ma raison s'envole Et toutes ces amours qui se détraquent Et les chagrins lourds, les peines qu'on bricole Et toutes mes erreurs de zodiaque Et mes sautes de boussole
Toi, les pieds dans les flaques Moi, et ma tete à claques J'ai pris les remorqueurs pour des gondoles Et moi, moi je traîne ma casserole
Dans cette décharge de rêves en pack Qu'on bazarde au prix du pétrole Pour des cols-blancs et des corbacs Qui se foutent de Mozart, de Bach
J'donnerais Ray Charles, Mozart en vrac La vie en rose, le rock'n roll Tous ces bémols et tous ces couacs Pour Glen Gould dans c'prélude de Bach. https://www.youtube.com/watch?v=LadJeS310kc&eurl=http://french.meetup.com/674/pages/Maurane/ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mer 3 Sep - 14:37 | |
| Pardonnes-moi
Grégory Lemarchal
Si t'avais attendu, Si t'avais pris le temps Si tu n'avais pas tout voulu, maintenant Si tu m'avais gouté, Comme un fruit défendu, Juste avec le coeur en secret Comme quand rien n'est dû On aurait gravé chaque jour Au creux des lignes de nos mains, Plus qu'hier encore et toujours Et bien moins que demain
{Refrain:} Pardonne-moi Le mal que j'ai pas fait J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu prés J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés On ne donne rien quand on donne peu, Je voulais tout donner
Si j'avais su te dire, Que viendrait pas à pas, Celui que je vais devenir, Et que tu ne vois pas Si tu avais sur lire, Au travers de l'enfant, La promesse de nos désirs, Au delà de l'instant, On aurait compté chaque jour, Sur les doigts liés de la main, Quand l'espoir encore et toujours, De si beaux lendemains
{au Refrain}
Pardonne-moi, Le mal que j'ai pas fait Pardonne-moi... Pardonne-moi... |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mer 3 Sep - 18:33 | |
| L'amour c'est comme une cigarette
Sylvie Vartan
Quand tu es dans la lune Les idées en panne Je me voudrais brune Comme une gitane Me glisser entre tes doigts Et puis me brûler Me consumer pour toi N'être que fumée Quand tu es dans ce monde Où tes rêves t'entraînent Je me voudrais blonde Comme une américaine Être douce et sage ou sucrée T'emmener sur mon nuage de fumée
L'amour c'est comme une cigarette Ça brûle et ça monte à la tête Quand on ne peut plus s'en passer Tout ça s'envole en fumée. L'amour c'est comme une cigarette Ça flambe comme une allumette Ça pique les yeux ça fait pleurer Et ça s'envole en fumée.
Je peux être française En robe bleue Anglaise, Si tu le veux Ou être à la menthe En bague dorée Ne crois-pas que je mente Tout n'est que fumée
L'amour c'est comme une cigarette Ça flambe comme une allumette Ça pique les yeux ça fait pleurer Et ça s'envole en fumée
On fait tout un tabac Quand l'amour s'en vient ou s'en va On est les cigarettes Qu'il roule quand il a envie Et je deviens fumée Pour t'intoxiquer De moi Blonde ou brune Brune ou blonde Je le serai pour toi
L'amour c'est comme une cigarette Ça brûle et ça monte à la tête Quand on ne peut plus s'en passer Tout ça s'envole en fumée L'amour c'est comme une cigarette Ça flambe comme une allumette Çapique les yeux ça fait pleurer Et ça s'envole en fumée.
L'amour c'est comme une cigarette Ça flambe comme une allumette Ça pique les yeux ça fait pleurer Et ça s'envole en fumée. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Jeu 4 Sep - 15:00 | |
| Flamenco des Flandres
Georges Moustaki
Mille ans déjà que je suis là Sur la terre des Flandres, Soldat du roi, sans foi ni loi, Sans plus rien attendre, Soldat qui n'a que ses dix doigts Pour jouer sur sa guitare Le flamenco, dernier écho D'un reste de mémoire.
Dans mon pays, là-bas très loin, Entre la mer et la montagne, Il y a la fille que j'aimais bien, Qui devait être ma compagne.
Les filles d'ici sont bien jolies, On en oublie la guerre. Leurs yeux sont bleus et leurs cheveux Plus blonds que la lumière. Pour s'enivrer, au cabaret, On s'offre du genièvre, Mais rien n'y fait pour étouffer L'air qui monte à mes lèvres.
Dans mon pays, là-bas très loin, Entre la mer et la montagne, Il y a la fille que j'aimais bien, Qui devait être ma compagne.
Mais si je meurs au champ d'honneur, Dites à mes camarades Qu'ils ne fassent pas sonner le glas Aux cloches de Grenade.
Pour demander l'éternité, Suffit d'une guitare Et quelque part une fille en noir Qui me garde en mémoire.
"En mi país ahi muy lejo Mentre il mar e la montaña Esta la niña que io quería." |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Jeu 4 Sep - 23:25 | |
| Le fidèle absolu Georges Brassens
Le seul arbre qu'il connaissait Sous sa fenêtre florissait. C'était le rustique absolu, L'homme d'un seul jardin, pas plus.
Et les globe-trotters, Et les explorateurs, Coureurs de forêts vierges, Regardaient, étonnés, Ce bonhomme enchaîné A sa tige d'asperge.
Bonhomme sais-tu pas Qu'il existe là-bas Des forêts luxuriantes, Des forêts de Bondy, Des forêts de Gasti- ne et de Brocéliande ?
Et l'homme répondit "Je le sais bien, pardi, Mais le diable m'emporte Si je m'en vais chercher Au diable ce que j'ai Juste devant ma porte."
Je n'ai vu qu'un seul arbre, un seul, mais je l'ai vu, Et je connais par cœur sa ramure touffue, Et ce tout petit bout de branche me suffit : Pour connaître une feuille, il faut toute une vie. Si l'envie vous prenait de vous pendre haut et court, Soyez gentil, ne vous pendez pas à mon arbre !
Il n'avait jamais voyagé Plus loin que l'ombre du clocher. C'était l'autochtone absolu, L'homme d'un seul pays, pas plus.
Et les globe-trotters, Et les explorateurs, Tous les gens du voyage, Regardaient étonnés Cet être cantonné Dans son petit village.
Bonhomme sais-tu pas Qu'il existe là-bas, Derrière tes montagnes, Des pays merveilleux, Des pays de cocagne
Et l'homme répondit : "Je le sais bien, pardi, Mais le diable m'emporte Si je m'en vais chercher Au diable ce que j'ai Juste devant ma porte."
Je n'ai vu qu'un village, un seul, mais je l'ai vu, Et ses quatre maisons ont su combler ma vue, Et ce tout petit bout de monde me suffit : Pour connaître une rue, il faut toute une vie. Si l'envie vous prenait de tirer le canon, Soyez gentil, ne tirez pas sur mon village.
Il n'avait jamais embrassé Personne que sa fiancée. C'était le fidèle absolu, L'homme d'un seul amour, pas plus.
Et les globe-trotters, Et les explorateurs, Friands de bagatelle, Regardaient étonnés Ce bonhomme enchaîné A son bout de dentelle.
Bonhomme sais-tu pas Qu'il existe là-bas Des beautés par séquelles, Et qu'on peut sans ennui Connaître mille nuits De noces avec elles ?
Et l'homme répondit : "Je le sais bien, pardi, Mais le diable m'emporte Si je m'en vais chercher Loin d'ici ce que j'ai Juste devant ma porte."
Je n'ai vu qu'un amour, un seul, mais je l'ai vu, Et ce grain de beauté a su combler ma vue, Et ce tout petit bout de Vénus me suffit : Pour connaître une femme, il faut toute une vie. Si l'envie vous prenait de courir les jupons, Soyez gentil, ne courez pas après ma belle. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Sam 6 Sep - 10:54 | |
| De tes propres ailes
Mario Barravecchia
S’il est de croire ce qu’on raconte De ces histoires les plus profondes Il en est peu qui deviennent grandes De tous les signes que je t’ai faits Tu n’en retiens que l’imparfait Pourtant d’aimer sont tes louanges
De tous les souhaits, si je pouvais Il n’en est qu’un qui sauverait L’amour qui porte notre présent Notre présent
Voler de tes propres ailes Aimer à bout portant Garder de ces expériences Le meilleur et sans souffrances Voler de tes propres ailes Aimer sans rien attendre Croire en ces délivrances Connaître l’importance
Puisque d’amour, on est tous fait Que de miroirs sont nos regrets On peut s’aimer comme pour se rendre A toutes les choses dont on apprend Les coups du sort, notre existence Il est un vœu si j’oserais
Voler de tes propres ailes Aimer à bout portant Garder de ces expériences Le meilleur et sans souffrances Voler de tes propres ailes Aimer sans rien attendre Croire en ces délivrances Connaître l’importance
Voler de tes propres ailes Aimer à bout portant Garder de ces expériences Le meilleur et sans souffrances Voler de tes propres ailes Aimer sans rien attendre Croire en ces délivrances Connaître l’importance
Voler de ces propres ailes |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 11:24 | |
| Merci a Dzoing de Online :lol: [quote][bold]Message original: dzoing[/bold] Une jeune artiste a fait une reprise de Cassé ::) Perso, je ne connaissais pas cette version :ears: http://blip.tv/file/1235457[/quote | |
| | | Invité Invité
| | | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 15:28 | |
| https://www.youtube.com/watch?v=EGPeQpXJLuA Frédéric Lerner
Plus là
Vivre à coté de l’autre Et partager sa vie Aimer tout ce qu’il est Son odeur ses gestes aussi
Avancer cote à cote Et s’arrêter ici Au milieu des regrets Et de tout c’qu’on s’est dit
Le souvenir de l’autre Est tellement précis On l’entend on le frôle On caresse son ombre la nuit
Le temps pousse à la faute Et on en paie le prix Avoir le premier rôle Et puis plus rien aujourd’hui
On est si peu de chose Quand l’autre s’en va Quand le manque s’impose Quand on a plus le choix On apprend tant de choses Quand l’autre n’est plus là Plus là
On refait son décor On range les photos On a peur quand on sort On se dit que c’est trop tôt
On est mal dans son corps On ne se trouve pas beau L’impression d’être mort Sans l’autre contre sa peau
On est si peu de choses Quand l’autre s’en va Quand le manque s’impose Quand on a plus le choix On apprend tant de choses Quand l’autre n’est plus là Plus là
On est si peu de choses Et tellement à la fois Quand le manque s’impose On est plus vivant que l’on croit On comprend tant de choses Quand l’autre n’est plus là
Plus là | |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 15:36 | |
| Une odeur d’oubli
S’il est des lieux que l’on regrette J’en connais un enfoui en moi Et qui n’est plus Qui ne sera jamais Ailleurs qu’en moi S’il est des lieux que l’on regrette Celui-là même sans émoi Est revenu De nouveau s’exhumer Du fond de moi
Et le ciel a confié À certain souvenir À quelque devenir À un regard noyé Une odeur de soleil, Une odeur de sommeil
S’il est des bois que l’on regrette Celui de la première fois A disparu Avant de s’embrumer Au fond de moi S’il est des bois que l’on regrette J’en sais bien un enfoui en moi Parce qu’il n’est plus Qu’il ne sera jamais Ailleurs qu’en moi
Et le ciel a confié À certain souvenir À quelque devenir À un regard noyé Une odeur de soleil, Une odeur de sommeil
Mais ce temps-là que je regrette Ce temps-là ne revivra pas La lande nue À jamais désertée Toujours gémira
Et le ciel a confié À certain souvenir À quelque devenir À un regard noyé Une odeur de soleil, Une odeur de sommeil
Et une odeur d’oubli | |
| | | claudia
Nombre de messages : 9072 Age : 76 Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 15:43 | |
| Le petit bonheur
Félix leclerc
C'est un petit bonheur Que j'avais ramassé Il était tout en pleurs Sur le bord d'un fossé Quand il m'a vu passer Il s'est mis à crier: "Monsieur, ramassez-moi Chez vous amenez-moi
Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade Si vous n'me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade ! Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture"
J'ai pris le p'tit bonheur L'ai mis sous mes haillons J'ai dit: " Faut pas qu'il meure Viens-t'en dans ma maison " Alors le p'tit bonheur A fait sa guérison Sur le bord de mon cœur Y avait une chanson
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié Ma vie de désœuvré, j'avais dégoût d'la r'commencer Quand il pleuvait dehors ou qu'mes amis m'faisaient des peines J'prenais mon p'tit bonheur et j'lui disais: "C'est toi ma reine"
Mon bonheur a fleuri Il a fait des bourgeons C'était le paradis Ça s'voyait sur mon front Or un matin joli Que j'sifflais ce refrain Mon bonheur est parti Sans me donner la main
J'eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du cœur Il s'en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure
J'ai bien pensé mourir De chagrin et d'ennui J'avais cessé de rire C'était toujours la nuit Il me restait l'oubli Il me restait l'mépris Enfin que j'me suis dit: Il me reste la vie
J'ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles Et je bats la semelle dans des pays de malheureux Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux ...Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 15:56 | |
| Mon amant de Saint-Jean
Paroles de Léon AGEL, Musique de Emile CARRARA .
. Je ne sais pourquoi j'allais danser à St Jean au musettte, Mais il a suffit d'un seul baiser pour que mon coeur soit prisonnier.
Refrain : Comment ne pas perdre la tête Serrée par des bras audacieux Car l'on croit toujours Aux doux mots d'amour Quand ils sont dits avec les yeux, Moi qui l'aimais tant, Je le trouvais le plus beau de St Jean, Je restais grisée Sans volonté, Sous ses baisers.
Sans plus réfléchir je lui donnais le meilleur de mon être, Beau parleur chaque foit qu'il mentait, je le savais, mais je l'aimais.
Mais hélas à St Jean comme ailleurs, un serment n'est qu'un leurre, J'étais folle de croire au bonheur et de vouloir garder son coeur.
3e refrain : ... Moi qui l'aimais tant, Mon bel amour mon amant de St Jean, Il ne m'aime plus, C'est du passé, N'en parlons plus !
Version Musette :
1 Toujours chic, il faisait distingué, Sans mégot, ni casquette Mais son amour n'était que chiqué Ceux de St Jean n'aiment que l'argent.
2 Mais hélas à St Jean comme ailleurs Un serment n'est qu'un leurre, Et la place que l'on tient dans leur coeur Est limitée par la candeur |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 16:52 | |
| Yves Duteil Virage
Paroles et Musique: Yves Duteil 1974 "L´écritoire"
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Mes paupières s'alourdissent un peu Mais dans un kilomètre ou deux Après le virage, au village, dans un petit bar Il y a du feu Toi tu dors depuis l'autoroute Fatiguée, énervée sans doute Plus qu'un kilomètre, peut-être, et puis du café Auprès du feu Je regarde un instant vers toi Tu es presque appuyée sur moi Un virage à droite, un peu sec, qui te plaque à moi Je voudrais que ce virage n'en finisse pas Je redresse, doucement, sans à-coups Ton visage sur mon cou...
Passeront les jours et les semaines et les années Tant que je t'aurai à mes côtés Dans chacun des gestes de la vie Je t'aimerai aussi...
Dans une heure on y verra mieux Le brouillard se dissipe un peu L'essuie-glace passe et repasse en laissant des traces Devant mes yeux Des lumières au travers des phares Le village et là-bas le bar Retenant ta tête, je m'arrête sur le bas-côté Près du café Et dans un bruissement d'abeilles Le silence peu à peu t'éveille Je me sens vidé, fatigué mais si près de toi Je voudrais que ce voyage n'en finisse pas Tu souris, brusquement, sans un mot Ta main glisse dans mon dos...
Passeront les jours et les semaines et les années Tant que je t'aurai à mes côtés Dans chacun des gestes de la vie Je t'aimerai aussi... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 17:17 | |
| Savoir aimer Florent Pagny . Savoir sourire, À une inconnue qui passe, N'en garder aucune trace, Sinon celle du plaisir Savoir aimer Sans rien attendre en retour, Ni égard, ni grand amour, Pas même l'espoir d'être aimé,
REFRAIN: (entre chaque couplet) Mais savoir donner, Donner sans reprendre, Ne rien faire qu'apprendre Apprendre à aimer, Aimer sans attendre, Aimer à tout prendre, Apprendre à sourire, Rien que pour le geste, Sans vouloir le reste Et apprendre à Vivre Et s'en aller.
Savoir attendre, Goûter à ce plein bonheur Qu'on vous donne comme par erreur, Tant on ne l'attendait plus. Se voir y croire pour tromper la peur du vide Ancrée comme autant de rides Qui ternissent les miroirs Savoir souffrir En silence, sans murmure, Ni défense ni armure Souffrir à vouloir mourir Et se relever Comme on renaît de ses cendres, Avec tant d'amour à revendre Qu'on tire un trait sur le passé. Apprendre à rêver À rêver pour deux, Rien qu'en fermant les yeux, Et savoir donner Donner sans rature Ni demi-mesure Apprendre à rester. Vouloir jusqu'au bout Rester malgré tout, Apprendre à aimer, Et s'en aller, Et s'en aller... . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mar 9 Sep - 17:23 | |
| Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Francis Cabrel
Mon enfant nue sur les galets Le vent dans tes cheveux défaits Comme un printemps sur mon trajet Un diamant tombé d'un coffret Seule la lumière pourrait Défaire nos repères secrets Où mes doigts pris sur tes poignets Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai Et quoique tu fasses L'amour est partout où tu regardes Dans les moindres recoins de l'espace Dans le moindre rêves où tu t'attardes L'amour comme s'il en pleuvait Nu sur les galets
Le ciel prétend qu'il te connaît Il est si beau c'est sûrement vrai Lui qui ne s'approche jamais Je l'ai vu pris dans tes filets Le monde a tellement de regrets Tellement de choses qu'on promet Une seule pour laquelle je suis fait Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai Et quoique tu fasses L'amour est partout où tu regardes Dans les moindres recoins de l'espace Dans le moindre rêves où tu t'attardes L'amour comme s'il en pleuvait Nu sur les galets
On s'envolera du même quai Les yeux dans les mêmes reflets Pour cette vie et celle d'après Tu seras mon unique projet Je m'en irai poser tes portraits À tous les plafonds de tous les palais Sur tous les murs que je trouverai Et juste en dessous, j'écrirai Que seule la lumière pourrait... Et mes doigts pris sur tes poignets Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai |
| | | Gilou Admin
Nombre de messages : 15295 Localisation : Sud Date d'inscription : 22/03/2008
| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 6:19 | |
| Hugues Aufray
Petit Simon
Petit Simon, Tu es un grand garçon Viens, donne-moi la main La nuit est belle Allons dans le jardin Voir les étoiles dans le ciel Petit Simon, Tu vois tout là-haut Comme le monde semble beau Mais tu verras lorsque tu grandiras Un jour, tu comprendras
{Refrain:} Les étoiles ne sont pas toujours belles Elles ne portent pas toujours bonheur Les étoiles ne sont pas toujours belles Quand on les accroche sur le coeur
Petit Simon, Dans ta récitation Ce soir tu m'as parlé Du chant nocturne Sous un ciel étoilé De Pierrot rêvant à la lune Petit Simon, C'est vrai qu'elles sont jolies Les étoiles de ta poésie Mais tu verras lorsque tu grandiras Un jour, tu comprendras
{au Refrain}
Petit Simon, Apprends bien ma chanson Et ne l'oublie jamais Il y a longtemps Quand je te ressemblais Parfois les hommes étaient méchants Petit Simon, Tu es encore petit Pour bien le comprendre aujourd'hui Mais tu verras lorsque tu grandiras Un jour, tu comprendras
{au Refrain}
Les étoiles ne sont pas toujours belles Quand on les accroche sur le coeur | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 7:47 | |
| Un Ave Maria(Lara Fabien)
Avant même que l'on ne soit vie, on est pris Dans un nid de chair et de tendresse Une étreinte infinie qui nous lie Nous délivre une sagesse Tout déjà est acquis Mais pour qui dès ce cri Trahissons-nous le geste d'amour qui unit Désunit et nourrit les regrets
Un Ave Maria dont l'enfant ne serait pas Une statuette, une prière sans foi Mais une lettre offerte A ceux qui n'écrivent pas Pour que les mots résonnent enfin Comme un Ave Maria
A vous, à nous, à ceux qui Trouveront une paix, une terre, une harmonie Une infinie raison, sans raison d'être, sans être honni Et ceux qui "mal y pense", qu'ils le pensent À bientôt, mais dans une autre vie Dans celle-ci qu'on se donne Une chance de tout recommencer
Un Ave Maria dont l'enfant ne serait pas Une statuette, une prière sans foi Mais une lettre offerte A ceux qui n'écrivent pas Pour que les mots résonnent enfin Comme un Ave Maria
Un Ave Maria Pour ceux qui ne prient pas Pour que la musique soit à nouveau la voix D'un aveu impudique pour ceux qui ne croient pas Pour tous ceux qui méritent enfin Un Ave Maria https://www.dailymotion.com/video/x23i1w_lara-fabian-gregory-lemarchal-un-av_music |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 18:22 | |
| Dis-moi les silences
by Marie Myriam
Le monde serait trop grand Sans toi Couleurs du noir et blanc Pour moi Vie au soleil couchant Sans toi Sans toi Oh ah ah !
Si quelquefois tu te perds En moi Mieux que dans un livre ouvert Tu vois Les évidences, les mystères Tu vois En moi
{Refrain:} Dis-moi les mots, dis-moi les silences Dis-moi ce qui est beau Ce qui fait qu'on vit, qu'on avance Dis-moi Je t'aime - je sais que tu m'aimes aussi C'est écrit - dans les rêves de la nuit C'est écrit - dans nos yeux, dans nos envies Je t'aime - je sais que tu m'aimes aussi
J'irais à contre-courant Sans toi L'hiver serait sans printemps Pour moi Le temps blesserait le temps Sans toi Sans toi Oh ah ah !
Et comme le ciel dans la mer S'en va Tu as détruit l'éphémère Pour moi Plus loin que la vie entière Je crois En toi
{au Refrain, x2}
Je t'aime - je sais que tu m'aimes aussi C'est écrit - dans les rêves de la nuit C'est écrit - dans nos yeux, dans nos envies Je t'aime - je sais que tu m'aimes aussi
Je t'aime C'est écrit Je t'aime. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 18:24 | |
| L'oiseau et l'enfant
by Marie Myriam
Comme un enfant aux yeux de lumière Qui voit passer au loin les oiseaux Comme l'oiseau bleu survolant la Terre Vois comme le monde, le monde est beau
Beau le bateau, dansant sur les vagues Ivre de vie, d'amour et de vent Belle la chanson naissante des vagues Abandonnée au sable blanc
Blanc l'innocent, le sang du poète Qui en chantant, invente l'amour Pour que la vie s'habille de fête Et que la nuit se change en jour
Jour d'une vie où l'aube se lève Pour réveiller la ville aux yeux lourds Où les matins effeuillent les rêves Pour nous donner un monde d'amour
L'amour c'est toi, l'amour c'est moi L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
Moi qui ne suis qu'une fille de l'ombre Qui voit briller l'étoile du soir Toi mon étoile qui tisse ma ronde Viens allumer mon soleil noir
Noire la misère, les hommes et la guerre Qui croient tenir les rênes du temps Pays d'amour n'a pas de frontière Pour ceux qui ont un cœur d'enfant
Comme un enfant aux yeux de lumière Qui voit passer au loin les oiseaux Comme l'oiseau bleu survolant la Terre Nous trouverons ce monde d'amour L'amour c'est toi, l'enfant c'est moi L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi |
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| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 20:53 | |
| Envole-moi
Jean-Jacques Goldman
Minuit se lève en haut des tours Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd La nuit camoufle pour quelques heures La zone sale et les épaves et la laideur
J'ai pas choisi de naître ici Entre l'ignorance et la violence et l'ennui J'm'en sortirai, j'me le promets Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux
Envole-moi {3x} Loin de cette fatalité qui colle à ma peau Envole-moi {2x} Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots Envole-moi
Pas de question ni rebellion Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés L'hiver est glace, l'été est feu Ici, y a jamais de saison pour être mieux
J'ai pas choisi de vivre ici Entre la soumission, la peur ou l'abandon J'm'en sortirai, je te le jure A coup de livres, je franchirai tous ces murs
Envole-moi {3x} Loin de cette fatalité qui colle à ma peau Envole-moi {2x} Remplis ma tête d'autres horizons, d'autres mots Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi Croiser d'autres yeux qui ne se résignent pas Envole-moi, tire-moi de là Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas Envole-moi {3x} Regarde-moi bien, je ne leur ressemble pas Me laisse pas là, envole-moi Avec ou sans toi, je n'finirai pas comme ça Envole-moi, envole-moi, envole-moi... |
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| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 20:55 | |
| Nos mains
Jean-Jacques Goldman
Album: En passant
Sur une arme les doigts noués Pour agresser, serrer les poings Mais nos paumes sont pour aimer Y a pas de caresse en fermant les mains
Longues, jointes en prière Bien ouvertes pour acclamer Dans un poing les choses à soustraire On ne peut rien tendre les doigts pliés
Quand on ouvre nos mains Suffit de rien dix fois rien Suffit d'une ou deux secondes A peine un geste, un autre monde Quand on ouvre nos mains
Mécanique simple et facile Des veines et dix métacarpiens Des phalanges aux tendons dociles Et tu relâches ou bien tu retiens
Et des ongles faits pour griffer Poussent au bout du mauvais côté Celui qui menace ou désigne De l'autre on livre nos vies dans les lignes
Quand on ouvre nos mains Suffit de rien dix fois rien Suffit d'une ou deux secondes A peine un geste, un autre monde Quand on ouvre nos mains
Un simple geste d'humain Quand se desserrent ainsi nos poings Quand s'écartent nos phalanges Sans méfiance, une arme d'échange Des champs de bataille en jardin
Le courage du signe indien Un cadeau d'hier à demain Rien qu'un instant d'innocence Un geste de reconnaissance Quand on ouvre comme un écrin Quand on ouvre nos mains. |
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| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 20:58 | |
| le jouet extraordinaire
Quand j'étais un petit garçon, plein de vie et de joie Un jour que j'étais très gentil, mon père me rapporta Un jouet extraordinaire avec de gros yeux verts Je l'ai pris dans mes bras mais quand je l'ai posé par terre
{Refrain:} Il faisait "Zip" quand il roulait "Bap" quand il tournait "Brrr" quand il marchait Je ne sais pas ce que c'était Et je crois que je ne le saurai jamais
Tout étonné la première fois, quand je l'ai retourné J'ai vu qu'il avait sur le ventre deux gros boutons dorés J'ai poussé l'un et l'autre après, puis les ai tirés tous les deux Mais quand je l'ai reposé par terre, j'ai ouvert de grands yeux
{Au refrain}
Il marcha comme un militaire, tout à coup il s'assit Il passa sous une chaise et puis, soudain disparut sous le lit J'ai pleuré tandis que mon père, lui, riait aux éclats Car en me retournant, je vis le jouet qui était derrière moi
{Au refrain}
Les années ont passé trop vite, et justement hier Dans le grenier j'ai retrouvé ce jouet extraordinaire J'ai appelé mon petit garçon, et le lui ai offert Il était vieux et tout rouillé, mais quand on l'a posé par terre
{Au refrain} |
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| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 21:00 | |
| Toute la vie Paroles et Musique: Guy Magenta, Claude François, Vline Buggy
Toute la vie, toute la vie Trois p'tits mots qui veulent dire tant de choses.
Toute la vie, toute la vie C'est pour toujours, quand on a dit : Toute la vie, toute la vie
Que de rêves et d'amour ça suppose ! Toute la vie pour s'aimer, Ce n'est jamais, jamais assez.
Toute la vie, je reverrai Cette plage en hiver, Ce boulevard qui longeait la mer Et elle qui me disait : "Jamais je partirai."
Toute la vie, toute la vie Quand ça dure l'espace d'une rose, Ça vous laisse des regrets, qui vous suivent Toute la vie.
Toute la vie, je reverrai Ce portail ouvert, J'entendrai claquer la portière Et elle qui me disait : "Très vite je reviendrai."
Toute la vie, toute la vie Trois p'tits mots qui font croire tant de choses.
Et pourtant c'est fini. Elle est partie, Partie pour toute la vie... (4X) |
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| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 21:04 | |
| chanter par graeme allwright
L'étranger Paroles: ???
Tous les hommes que tu as connus Te disaient qu'ils ne voulaient plus Donner les cartes pris comme dans un piège C'est dur de retenir la main D'un homme qui cherche plus loin Qui veut atteindre le ciel pour se livrer Et qui veut atteindre le ciel pour se livrer
Puis ramassant les cartes Qui sont restées là sur la table Tu sais qu'il t'a laissé très peu pas même son rire Comme tous les joueurs il cherchait La carte qui est si délirante Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre
Un jour penchée à ta fenêtre Il te dira qu'il veut renaître Au monde que ta tendresse lui cache Et sortant de son portefeuille Un vieil horaire de train, il dit : Je t'avais prévenue je suis étranger Je t'avais prévenue je suis étranger
Maintenant un autre étranger Semble vouloir que tu ignores ses rêves Comme s'ils étaient le fardeau d'quelqu'un d'autre Tu as vu cet homme déjà Donner les cartes avec son bras en or Mais maintenant tu vois sa main est figée Oui maintenant tu vois sa main est figée
Mais tu n'aimes pas regarder Un autre homme fatigué Déposer toutes ses cartes comme une défaite Tandis qu'il rêve jusqu'au sommeil Dans l'ombre tu vois comme une fumée Une route qui monte derrière sa tête Une route qui monte derrière sa tête
Tu lui dis d'entrer et de s'asseoir Et en te retournant tu vois Que la porte de ta chambre reste ouverte Et quand tu prends sa main, il dit N'aie pas peur ma tendre amie Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'étranger Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'étranger
J'ai attendu toujours certain De te revoir entre les trains Bientôt il va falloir en prendre un autre Oh je n'ai jamais eu tu sais Pas le moindre plan secret Ni personne pour me conduire Et tu te demandes ce qu'il cherche à dire Oui tu te demandes ce qu'il veut dire
En bas au bord du fleuve demain Je t'attendrai si tu veux bien Là tout près du pont qu'ils construisent Puis quitte le quai pour un wagon-lit Tu sais qu'il cherche un autre abri Qu'il n'avait jamais été un étranger Qu'il n'avait jamais été un étranger
Et tu dis d'accord, le pont ou bien ailleurs, je viendrai
Puis ramassant les cartes qui sont restées là sur la table Tu sais qu'il t'a laissé très peu pas même son rire Comme tous les joueurs il cherchait La carte qui est si délirante Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre
Un jour penchée à ta fenêtre Il te dira qu'il veut renaître Au monde que ta tendresse lui cache Et sortant de son portefeuille Un vieil horaire de train, il dit : Je t'avais prévenue je suis étranger Je t'avais prévenue je suis étranger... |
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| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 21:05 | |
| Dans la main d'un magicien
by Céline Dion
Dans la main D'un magicien Et des bing bang Des ding dang Et des abracadabra Dans la main D'un magicien Des rêves Se lèvent Des rêves en cinérama
Roule Carabosse Roulent Des carosses Oh... Oh... Tant de merveilles Dans la main D'un magicien
Dans la main D'un magicien Et des flic flac Des tric trac Des truc Qui vous croquent et vous craquent Dans la main D'un magicien Et des bing bong Des ping pong Et un enfant de Hong Kong
Roule Carabosse Roulent Des carosses Oh... Oh... La vie est belle Dans la main D'un magicien
Des jets d'eau Des cerceaux Des pinceaux Des trèfles et des oiseaux Bilingues Et bling et blang Flish flash bang Et tring et trang
Roule Carabosse Roulent Des carosses |
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| Sujet: Re: Les Chansons Mer 10 Sep - 21:09 | |
| Hymne à l'amitié
Céline Dion
Si c'est un ami S'il est pour toi Ce que tu es pour lui
Celui qui peut t'aimer Sans jamais te juger Celui qui reste quand les autres t'ont déjà quitté
Je dis que si c'est un ami Alors tu as bien réussi ta vie Tu as déjà trouvé l'étoile du berger Et tu n'es plus seul sur la route
Si c'est un ami Donne ton pain et ton vin et ta vie Et refais le monde comme l'ont fait trois cents fois Don Quichotte et son vieux Sancho Panza
Si c'est ton ami Dis-lui qu'il chante et puis chante avec lui L'amitié c'est le plus beau pays
Si c'est un ami S'il devient fou quand tu fais des folies S'il te montre parfois qu'il avait peur pour toi Si rien de moins que le meilleur ne le satisfait pour toi
Je dis que si c'est un ami Alors tu as réussi ta vie Chacun de son côté On n'est que deux moitiés A deux on franchit des montagnes
Si c'est un ami Donne ton pain et ton vin et ta vie Et refais le monde comme L'ont fait trois cents fois Don Quichotte et son vieux Sancho Pança
Si c'est ton ami Dis-lui qu'il chante et puis chante avec lui L'amitié c'est le plus beau pays
Si c'est un ami S'il a ton rire, s'il a tes larmes aussi Si les mêmes colères Le prennent quand la Terre Avec ses trompettes et ses guerres S'en va de travers
Je dis que si c'est un ami Tu peux dire un grand merci à la vie Puisqu'elle a fait de lui Un frère que tu choisis Et le compagnon de la chance
Si c'est un ami Donne ton pain et ton vin et ta vie Et refais le monde comme L'ont fait trois cents fois Don Quichotte et son vieux Sancho Pança
Si c'est ton ami Dis-lui qu'il chante et puis chante avec lui L'amitié c'est le plus beau pays
Si c'est un ami Donne ton pain et ton vin et ta vie Et refais le monde comme L'ont fait trois cents fois Don Quichotte et son vieux Sancho Pança
Si c'est ton ami |
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| Sujet: Re: Les Chansons Jeu 11 Sep - 10:38 | |
| Ami chemin
Claude Nougaro
Bel ami, quel bonheur de te voir devant moi Quelle joie, bel ami, te voilà Justement ces jours-ci je ne pensais qu'à toi Laisse-moi te serrer dans mes bras
Que de fois sur mes routes quand il faisait froid Quand le doute et la peur m'étreignaient J'ai senti ta présence et le son de ta voix Me redire encore que tu m'aimais
Ami, quelles que soient nos vies Dans les lignes de nos mains Et l'étoile qui nous lie A nos destins Ami, je viens de la nuit Tu arrives du matin Et nous voici réunis A mi-chemin
On a tous dans le cœur le désir de trouver Un écho, un semblable, l'âme sœur Un sourire, une phrase, une complicité Une rencontre venue d'ailleurs
J'étais mal dans ma tête et je me détestais D'être gris, malheureux et soudain Avec toi, bel ami, la lumière est entrée Me voici redevenu jardin
Ami, quelles que soient nos vies Dans les lignes de nos mains Et l'étoile qui nous lie A nos destins Ami, je viens de la nuit Tu arrives du matin Et nous voici réunis A mi-chemin
Pas besoin de refaire le monde, il est fait Il est fait par chacun d'entre nous Nous serons des enfants dans un conte de fées Que nous raconteront nos nounous
Ami, quelles que soient nos vies Dans les lignes de nos mains Et l'étoile qui nous lie A nos destins Ami, je viens de la nuit Tu arrives du matin Et nous voici réunis A mi-chemin... |
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| Sujet: Re: Les Chansons Ven 12 Sep - 22:06 | |
| Donne-moi la main Pierre Bachelet
On la disait un peu simplette, La fille de l'éclusier du coin, Elle se cachait dans une charrette Avec des yeux qui voyaient loin Et ça faisait peur aux gamins
Elle parlait seule dans sa planète Avec une voix de poupée, Nous, les enfants, on était bêtes On se cachait pour écouter Ce qu'elle disait
Donne-moi du pain Pour manger demain, Donne-moi des yeux Pour voir le ciel bleu, Donne-moi la main
Donne-moi un chien Pour qu'il m'aime bien Et juste un ami Pour qu'il soit gentil, Donne-moi la main
On la disait un peu simplette Mais, quand je vois les yeux perdus Des gens qui peuplent la planète Avec des coeurs de chiens battus, J'entends cette voix qui me revient, Je me souviens
Donne-moi du pain Pour manger demain, Donne-moi des fleurs Pour faire des couleurs, Donne-moi la main
Donne-moi des pierres blanches Pour tous les dimanches, Donne-moi un sourire Pour ne pas mourir, Donne-moi la main
Donne-moi du bois Pour me faire un toit, Donne-moi un chien Pour qu'il m'aime bien, Donne-moi la main
Donne-moi du pain Et un feu de bois, Donne-moi des yeux Pour voir le ciel bleu, Donne-moi la main
Donne-moi des pierres blanches Et des cailloux gris, Donne-moi un sourire Pour ne pas mourir, Donne-moi la main
Dernière édition par faon le Ven 12 Sep - 22:10, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Les Chansons Ven 12 Sep - 22:10 | |
| Prends ton courage Pierre Bachelet Album: Les Corons
Pour tirer ta pauvre charrette Par tous les vents et les tempêtes Pour marcher ton chemin tout droit Sans trébucher à chaque pas Pour ne jamais baisser le front Et sous l'insulte et sous l'affront Pour ne pas suivre les idées Qu'on glisse sous ton oreiller Pour pouvoir regarder en face Cet homme qui vieillit dans ta glace
Prends ton courage à deux mains Suffira-t-il ? Je n'en sais rien Pour faire tourner dans le bon sens La grande roue de l'existence Prends ton courage à deux mains Suffira-t-il ? Je n'en sais rien Pour faire tourner jour après jour La grande roue du temps qui court
Pour aimer ton unique femme Parmi trois cent millions de femmes Pour lui garder le coeur fidèle Malgré le temps et les querelles Ne pas céder aux opinions Des loups qui mènent les moutons Ni des moutons qui mènent les gens Comme ça arrive trop souvent Pour bien savoir pour qui tu roules Sur ce billard rempli de boules
Prends ton courage à deux mains Suffira-t-il ? Je n'en sais rien Pour faire tourner dans le bon sens La grande roue de l'existence Prends ton courage à deux mains Suffira-t-il ? Je n'en sais rien Pour faire tourner jour après jour La grande roue du temps qui court
Prends ton courage à deux mains Suffira-t-il ? Je n'en sais rien Pour faire tourner jour après jour La grande roue du temps qui court Prends ton courage à deux mains ! |
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